Les amoureux de Rûmî

Rûmî est un poète émérite 

qui a l’audace de manié la plume

avec réflexion et délicatesse 

dans la souplesse des émotions

et la fluidité des sentiments 

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Rûmî  Les amoureux 

Les amoureux. Ces lots de numéros 900 septembre 2 que j’ai choisi de vous partager aujourd’hui. Parce qu’il parle de la mort en apparence. Rûmî nous relate ici la manière dont les amoureux meurent à cette vie. Pour renaître à la réalité du bien aimé. Les amoureux meurent avec la pleine conscience de mourir. Ils. Comme il l’otite aussi. Les amoureux ouvrent les yeux, qui voient l’invisible. Il nous interpelle indirectement à travers cette ode. Et vous, êtes vous un amoureux? Vous envols rivés vers le firmament. Rêveurs, aveugles, les sourds? Il n’est jamais trop tard pour s’interroger. Sur le lien que l’on désire entretenir avec le bien aimé. 

Les amoureux meurent avec la pleine conscience de mourir, mais c’est devant un bienaimé plein de douceur.

Ils ont mis au jour Prématernelle l’eau de la vie.

Il est inéluctable qu’ils meurent d’une autre manière.

Puisqu’ils font partie de la cohorte des désarmants. Il ne quitte pas la vie comme des gens ordinaires.

Il surpasse la dignité des anges par la grâce, puisqu’il ne pas leur arriver de mourir comme des humains. Crois tu donc que les lions meurent comme des chiens hors de la maison?

Le roi de la Corée leur rencontre les amoureux meurent pendant le voyage.

Tous rayonnent comme le soleil s’ils meurent au pied de ces clowns.

Les amoureux qui sont là l’un de l’autre meurent tous par amour l’un de l’autre.

L’amour rafraîchit leur cœur embrasé. Et pourtant, ils meurent de la brûlure de ce coeur. Tous sont pareils à la perle solitaire.

Ils meurent comme des orphelins, sans leur père et sans leur mère.

C’est vers le firmament que sont bonnes les amoureux, les négateurs meurent dans les profondeurs de l’enfer.

Ouvrent les yeux qui voient l’invisible.

Mais les autres hommes meurent aveugles et sourds.

Ce qui ne dormait pas la nuit par crainte de Dieu meurt tous sans danger et sans crainte.

Ce qui bat adoreraient de l’herbe semblables à des vaches meurent comme des animaux qui aujourd’hui cherchent de ce regard, meurent sous ce regard plein de joie et de rire.

Le roi les place à côté de la grâce.

Il ne meurt pas. Humble et méprisé.

Ce que cherche à acquérir les qualités du prophète meurt pareil à Aboubacry, à Omar. Puisse t il être loin de l’anéantissement de la mort?

Mais ce n’est qu’une forme de langage.

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