Aimer sans amour

il nous arrive d’aimer nos proches

sans ressentir d’amour pour nous mĂȘme 

l’amour Ă©motionnelle est sujet au vague a l’Ăąme

alors que l’amour au niveau de l’esprit englobe

toutes la quintessence dans une liberté total

alors que l’amour astral est attachĂ© par le dĂ©sir

 

[su_spoiler title= »Lire la traduction « ]

DM : Ce soir, nous recevons Bernard de Montréal
pour nous entretenir sur un sujet un petit

peu controversĂ©, « Aimer sans l’amour,
sans amour » et Ă©videmment c’est traitĂ©

avec cette Ă©vidence qu’est l’amour et du
manque d’Ă©vidence qui est de ne pas aimer,

et d’aimer pareil, donc nous recevons Bernard,
ce soir, pour nous entretenir sur ce sujet,

Bernard
 [Applaudissements] [Musique]

Bernard, nous avons un sujet chaud comme la

température : « Aimer sans amour » !

BdM : Ha, c’est intĂ©ressant, ça !

DM : C’est intĂ©ressant, hein ! Si on pose
la premiùre question, est-ce que c’est

pensable de pouvoir ĂȘtre en contact avec
une personne, de l’aimer et de ne pas vivre

d’amour dans la relation ? Est-ce qu’il
y a


BdM : Ce n’est pas ça que ça veut dire
!

DM : ha, ce n’est pas ça que ça veut dire
? (rires public)

BdM : Non, aimer sans amour, ça veut dire

ça veut dire : « Pas savoir aimer »,

puis ne pas savoir aimer, ça veut dire

ça veut dire : « Pas comprendre l’autre »,

puis ça, ça veut dire : « le faire souffrir
pour rien » ! Donc, aimer, aimer, dans l’ordre

de notre temps planĂ©taire, c’est astral
! On aime avec nos Ă©motions, on aime en fonction

de notre personnalitĂ©, mais on n’est pas
capables d’aimer tout le temps, donc on

aime quand ça fait notre affaire ! Si elle
ne brĂ»le pas la soupe, on l’aime, si elle

brĂ»le la soupe, on ne l’aime pas ! S’il
travaille, on l’aime, s’il ne travaille

pas, on ne l’aime pas ! Notre amour est
conditionnel parce qu’on est des ĂȘtres


on est des ĂȘtres qui vibront toujours notre
personnalitĂ©, ce qui fait que l’on ne fonctionne

pas au niveau de l’esprit ; si on fonctionnait
au niveau de l’esprit, on aimerait tout

le temps, mais aimer au niveau de l’esprit,
ce n’est pas comme aimer au niveau de l’ñme,

aimer au niveau de l’ñme, c’est pour
nous autres, tandis qu’aimer au niveau de

l’esprit, c’est un Ă©change perpĂ©tuel,
aimer au niveau de l’esprit, c’est extrĂȘmement

abstrait mais c’est trùs concret, tandis
qu’aimer au niveau de l’ñme, c’est

trĂšs concret mais trĂšs trĂšs trĂšs trĂšs
irréel.

DM : Qu’est-ce qui manque dans l’amour
d’ñme ?

BdM : Ce qui manque dans l’amour d’ñme,
c’est des rapports d’esprit !

DM : Je suppose que dans les rapports d’esprit,
il manque des relations d’ñme ?

BdM : Pas nécessairement. Dans les rapports
d’esprit, il y a des rapports d’ñme,

mais les rapports d’ñme sont assujettis
Ă  une plus haute vibration, dans ce sens,

qu’un ĂȘtre qui a de l’esprit, ou dans
un couple oĂč il y a de l’esprit, les forces

psychiques de l’esprit vont ĂȘtre trĂšs
grandes, puis elles vont avoir le pouvoir

sur les anomalies animistes, ou les anomalies
animiques ou les anomalies animales, autrement

dit, un ĂȘtre humain, dans le sens rĂ©ellement
universel du terme, c’est un ĂȘtre qui n’est

pas affaissé dans sa conscience par des conneries
de la vie de tous les jours, tandis qu’un

ĂȘtre humain qui est animalisĂ©, il est affaissĂ©
dans sa conscience par toutes les conneries

de tous les jours.

DM : Quand vous dites « affaissé » ?

BdM : « Affaissé », je veux dire que
qa conscience n’est pas diminuĂ©e par les

forces astrales, un ĂȘtre qui est conscient,
sa conscience n’est pas affectĂ©e par ces

forces astrales ; Ă  ce moment-lĂ , la subjugation
de l’autre, le manque d’amour pour l’autre

qui est une forme d’assujettissement n’existe
pas parce que l’autre est toujours considĂ©rĂ©

comme Ă©tant la personne maximale, l’ĂȘtre
maximal, tandis que dans l’amour astral,

la personne est maximale quand ça fait ton
affaire, ta Femme est maximale quand elle

veut faire l’amour avec toi, mais quand
elle ne fait plus l’amour, elle n’est

plus maximale, quand tu as trouvé un gros
job, que tu as un gros salaire, ton mari est

maximal, mais quand il perd le job, il n’est
plus maximal, ce qui fait qu’il y a des

variations constantes, tandis que dans l’amour
conscient, autrement dit dans l’amour


dans l’amour qui naüt de l’esprit, de
la lumiùre de l’Homme, à ce moment-là,

il y a une constante universelle.

DM : Vous semblez dire, en tout cas, que l’amour
astral est trĂšs spĂ©culatif, l’ego spĂ©cule

avec l’ego de l’autre tandis que dans
la relation de l’esprit, ça semble ĂȘtre

un investissement Ă  long terme oĂč on supporte
les variations Ă  la baisse ?

BdM : Dans l’amour de l’esprit, il y a
une constante, une constante universelle,

il y a une « superimposition », tandis
que dans l’amour astral
 l’amour astral,

ça fait partie de la personnalitĂ©, c’est
un petit peu comme la conscience ; de la conscience

mentale, quand tu as une conscience mentale,
que tu es en communication avec des plans

universels, tu ne peux pas voir la vie comme
tu la verrais, par exemple, au niveau de ton

ego inconscient, parce que tout est explicable,
au niveau de l’amour c’est la mĂȘme chose,

quand tu as un amour qui est conscient, tu
le vis à travers
 tu le vis à partir d’un

plan qui est supérieur à ton ùme, donc
tu le vis à partir de ton esprit, tu n’es

pas capable de tirer les mĂȘmes conclusions
au niveau de l’expĂ©rience, puis cette sorte

d’amour-là n’est pas pareil comme l’autre,
qui est trĂšs diffĂ©rent de l’autre, substantiellement

diffĂ©rent de l’autre, parce qu’il ne
vĂ©hicule pas les mĂȘmes vibrations ; quant

tu es inconscient, quand tu es astral, quand
tu vis au niveau de l’ñme, de la personnalitĂ©,

tu vibres certaines vibrations, quand tu es
mental ou quand tu as une vibration
 quand

tu vis dans ton esprit, tu véhicules une
autre vibration, donc l’amour ne peut pas

ĂȘtre pareil, ce sont des amours qui sont
trĂšs diffĂ©rents, je ne dirais pas qu’ils

sont dissemblables parce que l’Homme puis
l’esprit se lient quelque part dans l’organisation

psychique de l’ĂȘtre, mais ils sont diffĂ©rents
ces amours-lĂ , par exemple des ĂȘtres qui

vivent l’amour au niveau de l’esprit sont
libres, tandis que des ĂȘtres qui vivent l’amour

au niveau astral, ne sont pas libres, parce
qu’il y a toujours
 il y a des liens ; quand

je dis « libre », je dis « libre »
en esprit, tandis qu’au niveau astral, au

niveau de l’ñme, il y a des liens.

DM : Mais on voit qu’il y a beaucoup de
gens qui vivent des relations d’ñme, exigent

cette liberté-là, mais exigent cette liberté-là
pour
 tu sais, on voit beaucoup de gens

qui ont eu une expĂ©rience de vie oĂč il y
a eu plusieurs couples ou plusieurs types

d’échange affectif, puis en bout de ligne,
ils disent : « bah, dans la vie, je ne veux

pas ĂȘtre possĂ©dĂ©, je ne veux pas qu’on
me contrĂŽle, je ne veux pas qu’on me domine »,

surtout la Femme va souvent dire : « je
ne veux pas ĂȘtre dominĂ©e par l’Homme,

je ne veux pas ĂȘtre contrĂŽlĂ©e par l’Homme »
?

BdM : Oui, mais ça, c’est une indication
du genre de problùme de l’amour humain,

c’est que si la Femme est obligĂ©e de dire
: « je ne veux pas ĂȘtre dominĂ©e », Ă 

ce moment-là, c’est parce qu’il y a domination,
alors dans le fond, elle demande un amour

plus réel, plus fondamental, un amour qui
est basĂ© sur l’esprit plutĂŽt que sur l’ñme,

elle ne le sait pas ça, mais elle l’intuite
Ă  cause de sa souffrance, sa souffrance devient

une mesure, une rĂ©flexion du manque d’amour
qui vient vers elle, sans ça, elle n’aurait

pas cette question-lĂ , une Femme qui serait
aimĂ©e par son mari en esprit n’aurait jamais

à l’esprit cette question-là, de ne pas
vouloir ĂȘtre dominĂ©e, de ne pas vouloir

ĂȘtre ci, de ne pas vouloir ĂȘtre ça, parce
que ça ne fait pas partie du domaine de l’esprit

de dominer l’ĂȘtre.

DM : A ce moment-là, si on dit que l’esprit
laisse libre ou est libre, est-ce qu’on

peut parler que l’esprit dans une relation
est exclusive à l’autre ?

BdM : Si l’esprit est ??

DM : Oui, parce que dans les relations oĂč
les gens souffrent le plus, c’est si vous

avez une relation avec un partenaire puis
que le partenaire a un mouvement d’ñme

vers une autre personne, lĂ  tu souffres de
possession, tu sais la grosse problématique

du cocu, cocu féminin ou cocu masculin, ça
devient une souffrance de perdre l’autre,

ok, est-ce qu’on est en droit d’exiger
ou de s’attendre dans une relation d’esprit

à une relation exclusive ou si c’est une
totale aberrance, puis c’est quelque chose

qui repose juste sur l’ñme ?

BdM : La question d’exclusivitĂ©, c’est
une question astrale, ; une question astrale,

c’est une question de territorialitĂ©, ça
vient avec le territoire ; l’amour astral,

si vous vivez l’amour astral, les conditions
puis les sous-conditions de l’amour astral,

ça vient avec le territoire, si vous vivez
ou si l’Homme vit un amour qui est mental,

au niveau de l’esprit, ces questions n’existent
pas, ça ne fait pas partie de la question

fondamentale du couple, ça ne fait pas partie
de la question existentielle du couple, un

couple conscient ne vit pas, n’exprime pas
ou ne subit pas les restreintes astrales de

la source humaine infĂ©rieure qui est l’ñme,
donc ces questions n’existent pas.

DM : Donc, vous ĂȘtes bien avec une personne,
puis pour le temps que vous ĂȘtes bien, bah,

c’est ce que vous avez à vivre, point final
! Si la personne, deux heures plus tard est

bien avec une autre personne


BdM : Non, non, non, parce que ça ne fonctionne
pas de mĂȘme, il y a une permanence, l’esprit,

ce n’est pas
 l’esprit, ce n’est pas
libertin, l’esprit c’est trùs permanent,

par contre ce sont des questions fondamentales
que l’ñme pose ou que l’ego incarnĂ©

dans une conscience planétaire pose, qui
n’existent pas sur le plan mental.

DM : Est-ce que l’on peut parler de droit
et d’obligation dans une relation intime

?

BdM : Sur quel plan ?

DM : Une relation intime, pas une relation
amicale, une relation intime !

BdM : Ok. Dans une relation intime, les droits
puis les obligations sont en fonction de votre

dysfonctionnalité psychologique.

DM : Ça veut dire que plus vous ĂȘtes conscient,
moins vous avez de droit puis moins vous avez

d’obligation ?

BdM : Plus vous ĂȘtes conscient, moins vous
avez besoin de droit, moins vous ĂȘtes sujet

Ă  des obligations parce que vous ĂȘtes capable
de reconnaßtre la nécessité fondamentale

de l’échange, ça ne se pose pas la question
philosophique, la question philosophique du

droit, quant tu es conscient. il faut comprendre
que l’esprit ne pose pas de question, l’ñme,

oui. L’ego inconscient pose des questions
parce qu’il n’y a pas de lumiùre, l’ego

conscient ne pose pas de question parce qu’il
a sa lumiÚre, donc, il a sa réponse, donc,

les fondamentaux sont lĂ , tandis que dans
l’expĂ©rience planĂ©taire de l’Homme,

les fondamentaux ne sont pas là, l’Homme
est Ă  la recherche du fondamental, on appelle

ça l’évolution philosophique de son moi
par rapport aux différents statuts planétaires,

autrement dit, par rapport aux conventions
sociales qui changent, dépendant dans quel

groupe ou quelle race vous appartenez, tandis
que si vous parlez de la conscience mentale

supérieure, là, dans son esprit
bababababa,
il y a une caractéristique universelle et

dans cette caractéristique universelle-là,
les questions fondamentales n’existent pas,

vous avez des réponses perpétuelles mais
vous n’avez pas de question fondamentale.

DM : C’est une question fondamentale de
demander si c’est valable de vivre une vie

de couple ou si on devrait pas un jour ou
l’autre tous ramasser cĂ©libataire, puis

ĂȘtre bien avec les personnes qu’on rencontre,
au fur et à mesure qu’on les rencontre

?

BdM : C’est une question fondamentale !

DM : C’est une question fondamentale, c’est
une question qui ne se pose pas ?

BdM : C’est une question fondamentale qui
se pose au niveau de l’ñme mais qui ne

se pose pas au niveau de l’esprit !

DM : L’esprit traite quand mĂȘme quelles
questions fondamentales ?

BdM : L’esprit ne traite pas au niveau des
questions fondamentales, il répond à une

question qui vient d’un autre vers lui ; un
Homme qui est dans son esprit ne va jamais

se poser de question, un Homme qui va venir
vers lui va avoir besoin d’une rĂ©ponse,

donc son esprit va lui donner la réponse,
tandis qu’un Homme qui est dans l’incarnation

au niveau de l’ñme, il se pose constamment
des questions. Il y a deux sortes d’Hommes

sur la Terre, il y a des Hommes qui se posent
des questions, puis il y a des Hommes qui

donnent des réponses, la plupart des Hommes
sur la Terre se posent des questions, bon,

avec le temps, avec l’évolution, les Hommes
auront des réponses, mais quand tu as des

réponses, tu ne les a plus pour pour toi,
tu les as pour les autres, parce qu’un Homme

conscient n’a jamais de question pour lui-mĂȘme,
puis il a toujours les réponses pour les

autres, parce que lui automatiquement, il
n’a pas de problĂšme de fondamentalitĂ©.

DM : Donc, il n’y a pas de rĂ©ponse qui
est faite pour tout le monde ?

BdM : Il y a des réponses qui sont faites
pour tout le monde, mais pour que les réponses

soient faites pour tout le monde, il faut
que tout le monde soit conscient du niveau

de l’esprit, des lois de l’esprit, parce
que si on Ă©tait sur une planĂšte ou si on

avait une sociĂ©tĂ© oĂč les Hommes Ă©taient
rĂ©ellement conscients des lois de l’esprit,

autrement dit, oĂč les Hommes avaient un taux
vibratoire suffisamment élevé pour pouvoir

communiquer par télépathie avec ces plans-là,
à ce moment-là, on aurait des réponses

pour tout le monde.

DM : Est-ce qu’il y a un mode de vie, on
va dire, d’amour, et un mode de vie d’affectivitĂ©

qui est au registre des gens d’esprit puis
un autre champ d’affectivitĂ© qui est au

registre des gens qui vivent plus au niveau
de l’ñme ?

BdM : Au niveau de l’esprit, l’affectivitĂ©
est totalement cĂ©rĂ©brale, tandis qu’au

niveau de l’ñme, l’affectivitĂ© est rĂ©ellement
dans le plexus solaire
 l’affectivité 

l’affection d’un Homme conscient est totalement
cĂ©rĂ©brale dans le sens que l’Homme conscient

puise dans
 l’Homme conscient puise dans
sa relation humaine des vibrations qu’il

va transformer
 des vibrations qu’il va
transformer en réponse, et cette réponse-là,

ça devient de l’affectivitĂ©, mais ce n’est
pas une affectivité ou une affection qui

est basĂ©e sur lâ€˜Ă©motion, c’est une affection
qui est basée sur le caractÚre cérébral

de l’amour donc le caractùre mental de
l’amour.

DM : Bon, ça a quoi comme conséquence, parce
que j’imagine assez facilement quelqu’un

de cĂ©rĂ©bral n’aime pas mais convient dans
une construction avec des gens qu’il affecte

bien, il y a une certaine affection, mais
c’est une affection qui doit ĂȘtre conditionnelle

Ă  quelque chose ; dans les gens qui vivent
ça au niveau de l’ñme, il y a des critùres

de beautĂ©, des critĂšres d’attraction

dans le cĂ©rĂ©bral, il doit y avoir d’autres


il y a des critùres aussi mais c’est d’autres
critĂšres ?

BdM : C’est ça !

DM : C’est quoi ces critùres ?

BdM : C’est des critĂšres qui sont basĂ©s
plutÎt sur la beauté, des critÚres qui

sont basĂ©s sur l’harmonie, des critĂšres
qui sont basés sur la réalité de la personnification

de l’ĂȘtre, donc la personne, au lieu de
la personnalitĂ©. Un ĂȘtre qui est conscient

puis qui est trùs trùs vibrant
 je vous
donne un exemple, bon, je prends ma Femme

par exemple, si je passe dans la cuisine puis
je dis à ma Femme : Toto (ça, c’est mon

caractĂšre cĂ©rĂ©bral d’affection), je dis
Toto, comment ça va ? ou je vais mĂȘme dire

: Toto ! Souvent je n’ai pas parlĂ© pendant
une heure parce que j’étais dans le jardin,

je suis rentré dans la maison, alors pour
signifier ma présence puis pour signifier

que tout est correct : Toto, puis elle va
me rĂ©pondre dans la cuisine pendant qu’elle

fait ses patates, elle va dire: Toto ! Mais
si elle ne me dit pas Toto, il y a quelque

chose qui ne marche pas, je m’attends à
ce qu’il y ait un retour d’intention qui

est : Toto, il faut qu’elle m’envoie le
signal : Toto, parce que si elle dit Toto,

tout est correct, mais si elle ne disait pas
Toto, là, je serais obligé, je serais amené

par mon Ă©nergie dans la cuisine, voir qu’est-ce
qu’il y a qui ne va pas, puis ça rendrait

instantanĂ©ment qu’il y a quelque chose
qui ne va pas, parce qu’elle est supposĂ©e

dire : Toto, ça fait partie du caractÚre
occulte de notre amour mental sur le plan

de l’esprit.

DM : C’est exclusif ?

BdM : Ça fait partie, disons, de notre registre
Ă  nous autres, chacun a son registre, mais

plus l’Homme va entrer dans une conscience
mentale, plus il va développer des principes

de communication trĂšs trĂšs subtils qui sont
liĂ©s Ă  l’harmonie, la beautĂ©, la prĂ©sence

d’esprit, ainsi de suite


DM: Bernard, je reviens
 votre Femme, elle
rencontre quelqu’un, puis ça « placote »

un petit peu chez vous, puis ça va bien,
puis elle pourrait dire : Toto ?

BdM : A qui ?

DM : A la personne qui vient d’arriver dans
le salon ? (rires public)

BdM : Non, non, c’est que pour moi !

DM : C’est ça que je voulais savoir ! (rires)

BdM : C’est exclusif par vibration !

DM : C’est ça que je voulais savoir, je
voulais savoir s’il y avait dans le cĂ©rĂ©bral,

que vous dites, de l’exclusivitĂ©, que si
vous perdez, ça va « toto-yé » d’une

autre façon ?

BdM : Ha, ça va ĂȘtre une autre sorte de
« toto », c’est pas le mĂȘme, effectivement

!

DM : Parce que
 ça veut dire qu’il y
a des lois de l’ñme, dans un sens
 puis

des lois de l’esprit qui ont une drîle
de similarité 

BdM : ouais, ouais
 des taux vibratoires
différents !

DM : Il y a des exclusivitĂ©s ! C’est intĂ©ressant
! J’aime ça, savoir que c’est normal

(rires public), j’aime ça, savoir que c’est
normal !

BdM : C’est trùs normal !

DM : ouais ouais, tu sais, il y en a bien
qui se la jouent, qui se diffusent Ă  45 exemplaires,

ce n’est plus le mĂȘme bec sur la joue,
quand ils te « revivent », tsé, tandis

que le bec sur la joue qui est exclusif, on
dirait qu’il a de la valeur, celui-là,

c’est comme une piùce rare, c’est quelque
chose qui
 mais est-ce que c’est de la

personnalitĂ© d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ© sur l’exclusivitĂ©
?

BdM : L’exclusivitĂ©, ça fait partie des
lois territoriales, mais Ă  un niveau qui

varie selon la nature des forces en action,
l’exclusivitĂ© pour un couple inconscient,

ça existe, puis l’exclusivitĂ© pour un
couple conscient ça existe, mais ce qui change

dans le caractĂšre de l’exclusivitĂ©, c’est
la non possession ou la non possessivité

du droit.

DM : Ça, c’est des beaux mots, mais quand
ça frappe, « cùlisse » !

BdM : Oooooo !

DM : C’est violent
 on rit tous les deux,
là ! mais je sais que c’est violent !

BdM : Ouais, ça peut ĂȘtre violent pour toi,
mais pour moi, ça n’existe pas !

DM : Parce que vous n’avez pas à le vivre
!

BdM : Mais non, je ne le vivrais pas non plus.

DM : C’est chanceux, comment vous avez rĂ©ussi
?

BdM : Parce que ça fait partie de l’amour
de l’esprit !

DM : Quand une personne aime en esprit, il
est protégé contre toute forme de


BdM : Ouais, ouais


DM : C’est intĂ©ressant ! (rires)

BdM : C’est intĂ©ressant !

DM : Parce que, je suppose que vous avez des
cĂ©libataires dans la salle, j’imagine,

et puis ils rencontrent quelqu’un, puis
s’ils rĂ©ussissent Ă  aimer quelqu’un

en esprit, ça devient comme une plateforme
pour bĂątir quelque chose ?

BdM : Aimer quelqu’un en esprit, c’est
pas l’affaire que tu ne vas pas chez Eaton,

comme chercher une ligne !

DM : Non, j’imagine !

BdM : Parce que ça réclame beaucoup de transmutation
du corps Ă©motionnel


DM : Puis beaucoup de temps aussi ?

BdM : Beaucoup de temps, beaucoup de conscience

conscience
 Donc, quand le travail a été

fait sur les corps subtils Ă©ventuellement,
et bien l’amour en esprit fait partie de

la réunion des deux ùmes, mais sur un plan
supérieur, donc à ce moment-là, les questions

fondamentales n’existent plus. Mais il y
a un travail Ă  faire.

DM : Puis ça, ça peut ĂȘtre plus ou moins
long dépendant de la personne ?

BdM : C’est long parce que je vais vous
dire une chose, l’ĂȘtre humain sur la Terre

vit dans sa personnalité une grande partie
de sa vie, puis quand vous vivez dans votre

personnalité, vous ne réalisez pas les affronts
que vous faites à l’autre constamment,

constamment, constamment, constamment, constamment,
on fait constamment des affronts, regardez

vos couples, puis vous allez voir que dans
l’histoire de vos couples, il y a toujours

un affrontement quelconque, « elle brûle
la soupe, puis elle est maudite, il perd son

job etc
 il y a toujours quelque chose qui
se passe, tandis que dans un couple conscient,

ça n’existe pas ça, cette dialectique-là,
cette bataille de deux personnalités, ça

n’existe pas ! Ça serait terrible ! Moi,
vivre ça avec ma Femme, ça serait abominable

la souffrance que je vivrais, ça défait
toute ta vibration, c’est abominable, tu

ne peux pas te permettre, quand tu as une
conscience mentale, de vivre au mĂȘme niveau


au mĂȘme niveau de relation dynamique que
tu vis dans une conscience inférieure, tu

ne peux pas, parce que tu es trop
 premiùrement,
tu es trop magnétique, tu es trop sensible,

tu es trop vibrant, tu es trop centrique,
tu es trop voyant, tu ne peux pas vivre ça,

alors quand tu es conscient, tu es obligé
de transmuter tout ton ĂȘtre infĂ©rieur par

rapport à l’autre, sans ça, l’autre
ne le prendrait pas. Moi, ma Femme, elle ne

prendrait absolument pas que je me comporte
par rapport Ă  elle comme un Homme inconscient

se comporterait vis-Ă -vis de sa Femme inconsciente,
parce qu’il y a des registres de vibrations,

lĂ , qu’elle serait obligĂ©e de rejeter
simplement pour protéger son plexus solaire

de la violence de mon comportement humain


DM : Oui, je comprends !

BdM : tu ne peux pas faire ça ! (Bernard
crie), quand vous faites ça, là
 là,

c’est parce que c’est purement mĂ©canique,
mais quand tu vis ça, quand tu vis dans un

couple, ça Ă©quivaut Ă  la mĂȘme chose, donc
si tu es conscient, là
 ! Moi, si j’étais

dans ma famille, lĂ , si je violentais ma
Femme psychiquement, ça équivaudrait à

un choc comme ça ! Puis tu es « débalancé »
pendant des heures de temps, c’est pour

ça que l’amour mental, c’est d’un autre
ordre, ça fait partie de l’évolution de

l’Homme, ça fait partie de la transmutation
de l’Homme, ça fait partie de l’initiation,

c’est le rĂ©sultat bĂ©nĂ©fique de l’initiation
solaire, puis c’est le raccordement de deux

esprits, ce n’est pas rien que l’engendrement
ou le raccordement ou la relation de deux

ùmes, ça va beaucoup plus que ça ! Ma Femme
n’a pas à souffrir de ma personne, si ma

Femme souffre de ma personne, c’est parce
que ma conscience n’est pas assez grande,

parce que tu es obligĂ© de partir d’un absolu,
pour pouvoir connaĂźtre, puis ĂȘtre gratifiĂ©

d’une expĂ©rience qui est absolue, dans
le sens
 Ă  l’intĂ©rieur de laquelle il

n’y a pas de variation, parce que c’est
plaisant d’avoir
 d’avoir une Femme

avec laquelle tu ne vis pas de variation dans
ce que vous appelez l’amour, puis encore,

le mot « amour », c’est un mot qui fait
partie
 le terme « amour », le mot « amour »,

c’est un mot qui fait partie des conventions
humaines en ce qui concerne le partage des

Ă©motions ; dans le fond, sur le plan mental,
le terme « amour » est absolument non

nĂ©cessaire, parce que l’on n’a pas besoin
de s’aimer dans le sens astral pour convenir

qu’on est bien ensemble ; ça, c’est un
des grands piĂšges de l’expĂ©rience de l’Homme

sur la Terre. Pour ĂȘtre bien ensemble, vous
ĂȘtes obligĂ©s de convenir que vous vous aimez,

mais vous n’ĂȘtes pas capables de convenir
que vous vous aimez parfaitement, donc vous

ne pouvez pas ĂȘtre parfaitement bien ensemble
tout le temps, tandis que dans l’amour mental,

vous n’avez pas à convenir que vous vous
aimez, c’est pour ça que vous ĂȘtes capables

d’ĂȘtre bien ensemble tout le temps, donc
le terme de l’amour, le mot « amour »,

le concept de l’amour qui fait partie de
la conscience de la race sur la Terre, fait

partie de la conscience planĂ©taire, c’est
une convention psychologique, qui aide l’égo

ou qui aide l’ĂȘtre incarnĂ© Ă  pouvoir
se donner le droit d’ĂȘtre en prĂ©sence

d’un autre, dans une intimitĂ©, dont la
configuration psychologique ou psychique,

statue qu’ils sont l’un à l’autre,
liés. Mais dans le fond, sur le plan mental,

dans la conscience mentale, dans l’esprit
de l’Homme conscient, ces conventions-là

qui font partie des paramùtres de l’amour
de l’involution, n’existent pas, parce

que dans un amour mental, dans une conscience
mentale, la convention de l’amour est inexistante,

la seule chose qui existe, c’est l’harmonie,
donc, c’est une force dynamique qui crĂ©e,

j’appellerais ça la beautĂ© des rapports,
c’est la seule chose qui existe. Pour moi,

de dire que j’aime ma Femme, c’est purement,
c’est purement humain, c’est purement

technologique, c’est purement psychologique,
c’est purement dynamique, c’est tout simplement

pour exprimer quelque chose que les Hommes
ont besoin de comprendre pour pouvoir mettre

la main sur quelque chose, mais dans le fond,
pour moi, de dire que j’aime ma Femme, ça

ne veut rien dire parce que je n’aime pas
ma Femme astralement, je n’aime pas ma Femme

au niveau de l’ñme, j’aime ma Femme au
niveau de l’esprit, alors à ce moment-là,

c’est dans les rapports, c’est dans les
rapports dynamisés de nos deux consciences

qu’il existe cette harmonie-là, qu’on
appelle planĂ©tairement de l’amour. Si j’arrivais

vers ma Femme, puis je me comporterais par
rapport Ă  ma Femme comme vous autres, vous

vous comportez par rapport Ă  vos Femmes que
vous aimez : « chĂ©rie, je t’aime »,

bah, elle rirait, elle dirait : « veux-tu
ĂȘtre correct, as-tu besoin d’une petite

(??) » (rires public), pourquoi, parce que
c’est une convention qui fait partie de

la conscience de la cinquiĂšme race racine,
alors que sur le plan mental, cette convention-lĂ 

n’existe pas, pour la simple raison que
tu ne peux pas utiliser de l’affection dans

l’esprit !

DM : Ha, c’est intĂ©ressant !

BdM : Oui, c’est Ă©vident, c’est ça qui
donne de la permanence ! Qu’est-ce qui donne

de l’impermanence à votre amour, c’est
parce qu’il y a toujours de l’affection

dedans, il y a toujours de l’émotion dedans,
tandis que dans l’amour mental, il n’y

en a pas de l’affection liĂ©e Ă  l’émotion,
il y a de l’affection qui est purement cĂ©rĂ©brale,

dans le sens que c’est un jeu corporel qui
fait vibrer le corps, qui fait vibrer les

fesses ou qui va faire vibrer d’autres choses
situées ailleurs, comprends-tu !

DM : Pour vous, la convention qu’il y a
au niveau de l’ñme, entre deux individus,

c’est simplement une gestion des Ă©motions
?

BdM : C’est simplement une gestion des Ă©nergies
Ă©motionnelles, donc, si tu es conscient,

tu n’as pas de gestion des Ă©nergies Ă©motionnelles

Ma Femme, si elle est dans son cycle menstruel,

je sais que dans ce temps-lĂ , elle est plus
dĂ©licate, je vais ĂȘtre plus dĂ©licat, parce

que dans un cycle menstruel, la Femme est
plus délicate, mais ça, ça fait partie

de la science de l’esprit, ça fait partie
de la sensibilitĂ© de l’ĂȘtre conscient,

etc
 tandis que vous autres, quand votre
Femme est dans son cycle menstruel, vous allez

au contraire arriver avec des situations qui
vont la mettre encore plus en crise, vous

allez dire : « ha ma Femme elle est dans
son cycle menstruel, puis blablabla », tsé

! Alors que l’amour de l’esprit, c’est
bien diffĂ©rent de l’amour astral !

DM : Bon, l’amour
 l’amour de l’ñme,
là, parce que ça, c’est celui qu’on

connaüt le plus, vous semblez dire qu’il
y a une convention puis que la convention

est basée sur cette gestion du corps émotionnel,
là ! Bon, est-ce que
 ou plutît, je pose

la question diffĂ©remment, c’est quoi la
convention d’une relation permanente entre

deux individus en esprit ?

BdM : Il n’y en a pas de convention dans
l’esprit, c’est sur le plan de l’ñme

qu’il y a une convention !

DM : Il n’y a pas de convention, là, mais
il y a quand mĂȘme du monde qui reste ensemble

longtemps !

BdM : Ça ne nĂ©cessite pas une convention,
c’est justement parce qu’il n’y a pas

de convention qu’ils restent ensemble longtemps
! A partir du moment oĂč vous avez des conventions,

vous avez des conditions, Ă  partir du moment
oĂč vous avez des conditions, vous avez des

besoins de rapports, vous avez des besoins
! Tandis que dans le monde mental, dans l’esprit,

tu n’en as pas de besoin, il y a un plaisir
fondamental de vivre ensemble parce que sur

le plan mental, tu peux communiquer avec l’autre,
mais il n’y a pas le besoin astral, animiste

que tu as comme quand tu es inconscient, ça
ne fonctionne pas pareil, ça ne veut pas

dire que 
 ça ne veut pas dire que
 quand
je dis qu’il n’y a pas de besoin, je veux

dire qu’il n’y a pas de besoin au niveau
de la conscience astrale planétaire, il y

a besoin de vos esprits, deux esprits, ça
veut parler ensemble, mais deux ùmes, ça

veut se pogner ensemble, ça veut se tenir
ensemble : « lĂąche-moi pas
 ensemble,

laisse-moi pas
 ensemble, reste avec moi
tout le temps
 ensemble », tandis que

dans le monde de l’esprit, c’est pas de
mĂȘme !

DM : Ok. Si dans le monde de l’esprit, c’est
pas de mĂȘme, ça veut dire que ce n’est

pas nĂ©cessaire pour une personne d’établir
une forme quelconque d’appartenance à un

autre ?

BdM : LĂ , vous niez
 lĂ , ça Ă©quivaut
à nier la convention pour en créer
 là

ça équivaut à nier la convention pour en
créer une, négative, vous faites encore

le mĂȘme jeu ! Il n’y en a pas de convention
!

DM : Ok. Il n’y a pas de convention
 Il
y a quoi qui Ă©tablit la permanence ?

BdM : Ce qui Ă©tablit la permanence, c’est
le plaisir que deux esprits ont Ă  vivre ensemble.

Moi, la seule raison pour laquelle ma Femme
reste avec moi, c’est parce que il y a de

l’harmonie entre nos deux esprits, sans
ça, on partirait !

DM : Ok. Puis dix personnes qui sont bien
d’ĂȘtre ensemble, ça va faire dix personnes

qui ont la mĂȘme relation ?

BdM : Dix personnes qui sont bien ensemble
vont ĂȘtre bien ensemble, ça ne va pas ĂȘtre

la mĂȘme relation, mais il va y avoir une
grande proximitĂ© d’esprit.

DM : Mais Bernard, je veux savoir qu’est-ce
qui fait la particularité ?

BdM : De quoi ?

DM : D’une relation avec une autre personne,
moi je n’ai pas la relation, avec vous du

mĂȘme registre qu’avec votre Femme


BdM : Parce que
 tu ne peux pas avoir

tu ne peux pas avoir dans la vie deux ĂȘtres

pareils !

DM : Ça, c’est correct ! On n’a pas de
problĂšme avec ça ! Mais il y a quand mĂȘme

des gens qui ont une priorité dans notre
vie, qui sont au niveau de


BdM : Les ĂȘtres qui ont la prioritĂ© dans
la vie quand tu es conscient, c’est des

ĂȘtres qui ont le taux vibratoire le plus
ajusté au tien !

DM : Ok. Ça, c’est dĂ©jĂ  beaucoup.

BdM : Moi, si tu me trouves une Femme demain
matin qui aurait un taux vibratoire semblable

à ma Femme ou plus élevé que ma Femme,
ma Femme, elle serait partie !

DM : C’est terrible ! Il n’y a pas de
permanence (rires)

BdM : Non, non, non, non, c’est une façon
de parler, tu regardes ça encore avec les

yeux de la personnalité, avec les yeux de
l’ñme, avec le territoire, avec l’affaire

de « je ne veux pas te perdre, puis je veux
garder ma Femme, blablabla », ça ne marche

pas de mĂȘme. Moi, je n’ai pas d’inquiĂ©tude
que je vais rencontrer une Femme qui a un

taux vibratoire plus élevé que ma Femme,
parce que ma Femme a vécu trop de transmutation,

ce qui fait qu’il n’y en a pas !

DM : C’est correct !

BdM : J’explique le problùme, que c’est
d’ordre vibratoire.

DM : Ça veut dire que si moi je suis dans
une relation, ça se peut que je gagne par

défaut, parce que les autres ne sont pas
capables de pogner mon taux vibratoire ?

BdM : Que tu gagnes par défaut ?

DM : ouais, je veux gagner, je vais ĂȘtre
dans une relation par défaut, elle va en

avoir brĂ»ler 45, lĂ , mais les 45 n’auront
pas mon taux vibratoire, donc je gagne par

défaut !

BdM : C’est trùs possible, (rires public)

DM : Non non, mais c’est important que vous
riez, mais c’est votre cas aussi !

BdM : C’est trùs possible, c’est trùs
possible !

DM : Parce que ça semble ĂȘtre une affaire
de vibration


BdM : C’est trùs possible par contre dans
le processus d’en avoir brĂ»lĂ© 45, elle

va avoir transmuté ces niaiseries !

DM : C’est ça !

BdM : Eventuellement, « elle » va avoir
un taux vibratoire qui va coĂŻncider plus

avec le vĂŽtre, ça revient avec la mĂȘme
affaire !

DM : Ça revient, que de l’esprit, ça brĂ»le
de l’ñme, puis ça devient gagnant par

défaut !

BdM : Ça devient gagnant, point final. Par
défaut, la seule raison que vous parlez « par

dĂ©faut », c’est parce que vous ĂȘtes
obligĂ© d’attendre que ça arrive !

DM : Bah, c’est ça ! C’est sĂ»r que ça
donne pareil !

BdM : Bah oui, qu’est-ce que vous voulez
que je vous dise ! On a tous nos mesures de

temps différents ! Mais ça, ça dépend
comment est-ce que vous ĂȘtes vouĂ©, vous,

en tant qu’Homme de prĂ©cĂ©der l’alliance
au lieu d’attendre qu’elle vienne à vous,

ça veut dire, vous vous transformez vous-mĂȘme
par rapport à l’autre. Si vous, vous restez

sur votre position par rapport Ă  la Femme,
c’est Ă©vident que vous allez ĂȘtre obligĂ©

de vivre le couple dans un temps plus lointain,
mais si vous vous transmutez par rapport Ă 

la Femme, vous allez vivre votre couple plus
vite !

DM : C’est vrai pour la Femme aussi.

BdM : C’est vrai pour la Femme aussi.

DM : Il faut changer par rapport à l’autre
?

BdM : Il faut se changer soi-mĂȘme par rapport
à l’autre !

DM : Pourquoi, par rapport à l’autre ?

BdM : Il faut se changer soi-mĂȘme, si l’autre,
il est là, bah c’est par rapport à l’autre

; moi, j’ai Ă©tĂ© obligĂ© dans ma vie de
me changer moi-mĂȘme par rapport Ă  ma Femme,

parce que j’étais trop trop impliquĂ© avec
les forces occultes, parce que si je ne l’avais

pas fait, j’aurais perdu ma Femme, vis-à-vis
de ma Femme, je me change moi-mĂȘme, autrement

dit, le contrat que j’ai avec les forces
occultes, je le tasse de cĂŽtĂ© puis je m’occupe

de ma Femme, c’est ça qu’il fallait que
je fasse ; bon, c’est ça qu’il faut qu’on

fasse en tant qu’Homme mĂȘme si on n’est
pas des initiĂ©s, c’est la mĂȘme chose,

il faut qu’on regarde toujours l’Homme
plutĂŽt que les forces en nous autres qui

nous motivent, qui nous poussent et ainsi
de suite
 Ă©trangement.

DM : Qu’est-ce que l’Homme a à changer
par rapport Ă  la Femme ?

BdM : Bien comprendre que la Femme ne doit
ĂȘtre aucunement dominĂ©e, aucunement, puis

quand je dis aucunement, lĂ , si vous saviez
ce que je veux dire, vous verrez, ça va ĂȘtre

bien long avant que ça arrive
 aucunement
dominĂ©e ! La Femme doit ĂȘtre un ĂȘtre en

esprit comme l’Homme doit ĂȘtre un ĂȘtre
en esprit, la Femme doit recueillir chez l’Homme

ou dans l’expĂ©rience avec l’Homme, elle
doit recueillir ce qu’elle n’a pas, donc,

sa force, toutes ces choses, puis l’Homme
doit recueillir chez la Femme ce que lui n’a

pas, c’est-Ă -dire sa sensibilitĂ©, puis
ses autres perceptions. Les deux doivent converser

ensemble mĂȘme s’ils ont deux langages diffĂ©rents,
ils doivent converser ensemble parce que la

Femme voit des choses, sent des choses, perçoit
des choses que l’Homme, à cause de son

véhicule, ne perçoit pas, et vice versa
pour la Femme, donc il va falloir que l’Homme

comprenne la Femme, que la Femme comprenne
l’Homme, ça fait partie de l’évolution,

sans ça, vous allez avoir des guerres de
territoire ou vous allez avoir des dissolutions


des dissolutions de vos couples, que vous
appelez vous autres, dans le temps moderne

des divorces puis des séparations, ce qui
est une perte d’énergie Ă©norme, autant

pour vous autres que pour vos enfants.

DM : On dit souvent que les Hommes sont chasseurs,
est-ce que c’est la Femme qui rend l’Homme

chasseur ou si l’Homme est chasseur parce
qu’il doit ĂȘtre chasseur, et puis la Femme,

elle est ce qu’elle est, victime, dans un
sens, lĂ  ?

BdM : On dit que l’Homme est chasseur parce
qu’on Ă©tablit une catĂ©gorie, on est obligĂ©s

d’établir une catĂ©gorie pour donner Ă 
l’Homme une caractĂ©ristique sociologique,

puis on veut dire que la Femme, elle aime
ça, se faire chasser, parce qu’on est obligĂ©s,

pour elle aussi, de donner une catégorie
pour Ă©tablir une fonction sociologique, pourquoi,

parce qu’on est obligĂ©s, parce qu’on
est des ĂȘtres pensants, de situer un par

rapport Ă  l’autre afin de crĂ©er une polaritĂ©
qui est suffisamment dĂ©veloppĂ©e pour qu’il

y ait un magnétisme quelconque qui se crée,
ok. Ça, ça fait partie des lois biologiques,

mais sur le plan mental, sur le plan mental,
quand tu es conscient, il n’y a plus l’affaire

d’ĂȘtre chassĂ© puis de chasser. Moi, je
ne me rappelle pas d’avoir chassĂ© ma Femme,

je ne me rappelle pas ma Femme d’avoir Ă©tĂ©
chassĂ©e par moi, tsĂ©, parce que c’est

trÚs astral ce concept de « je te chasse »
puis « tu me chasses », tsé, quand tu

es conscient, tu te rencontres, puis il se
crée un développement dans cette rencontre-là.

Moi, je ne me rappelle pas avoir chassé ma
Femme, je lui ai dit
 je ne me rappelle

plus ce que je lui ai dit, j’ai dit une
chose comme
 je ne me rappelle pas ce que

j’avais dit
 j’avais dit : « aimez-vous
le thĂ©Ăątre, aimez-vous les voyages, aimez-vous  »

Puis elle, elle dit : « oui », ha, là,
j’ai dit : « il y a une possibilité »,

c’est le plus loin de la chasse que je suis
allĂ© ! (rires public). Puis quand je l’ai

sorti le soir, on est allés au Parc La Fontaine,
parce qu’il faisait chaud, puis elle s’est

assise sur une balançoire, puis j’ai poussĂ©
sur la chaĂźne, pas ses fesses, sur la chaĂźne,

puis je suis sĂ»r qu’elle, elle n’était
pas intéressée à se faire pousser ses fesses

non plus, tsĂ©, ce n’était pas une affaire
de chasse, ni de pourchasse, ça, ça fait

partie des conventions de l’ñme ; au niveau
de l’esprit, je voulais simplement crĂ©er

un petit peu d’ambiance mentale, lĂ , « t’aimes
ça aller au thĂ©Ăątre, t’aimes-tu voyager »,

elle a dit oui, c’était rĂ©glĂ© notre affaire
!

DM : C’est pas compliquĂ© ! Et ça dure
longtemps !

BdM : Pas compliqué ! Tandis que vous autres,
lĂ , c’est compliquĂ©, les roses, le vin,

baisse la lumiĂšre, il faut que le gars arrive
dans l’appartement un petit peu avant le

temps, vous ĂȘtes rĂ©ellement
 vous travaillez
bien fort vous autres pour chasser, pourchasser

! Parce que pour moi, c’est une grosse perte
de temps. Continuez ! Mais je n’ai rien

contre ça, c’est « cute » ; ma fille,
elle s’en va là, se faire chasser tout

Ă  l’heure, lĂ , elle commence Ă  ĂȘtre
grande, elle commence Ă  avoir des petites

jupes courtes, c’est « cute », elle
a des grandes jambes, elle s’en va en Californie

tout à l’heure
 lui, il va la chasser
! Mais elle, elle ne vivra pas l’affaire

d’ĂȘtre chassĂ©e, elle va avoir le plaisir,
par exemple, de son intention, puis si son

intention est bien placée, puis il est délicat,
à ce moment-là, ça va faire son affaire

! Mais elle, dans son mental, elle a dépassé
l’affaire d’ĂȘtre chassĂ©e, mais lui,

il ne la connaĂźt pas, il va chasser, il va
savoir ce soir que quand il va chasser, il

y a d’autres conditions, pour düner avec
ma fille, que c’est pas rien que de la chasser,

il faut qu’il y ait d’autres choses dans
l’équation. Ça va ĂȘtre intĂ©ressant de

voir ça tout à l’heure. Quand tu es conscient,
tu ne fonctionnes pas comme quand tu es inconscient.

DM : C’est ça qui est intĂ©ressant, c’est
de savoir comment ça fonctionne quand on

est conscient, parce qu’on commence
 en
tout cas, il y en a quelques uns que je connais,

que je connais au féminin aussi, qui sentent
un changement et puis qui ne supportent justement

plus le chasseur, ils ne sont plus capables
d’endurer des chasseurs, puis qui n’endurent

plus aussi les conditions d’attendre aprùs
une situation pour que ça se développe et

que ça s’enclenche ; là, on est dans une
société, en tout cas, pour les gens qui

développent un certain niveau de conscience,
oĂč il y a une problĂ©matique profonde, comment

s’engager, puis sur quelle base ?

BdM : Haa ! C’est ça le problùme, parce
que là on est obligés de tout refaire ce

qu’on a dĂ©fait, on est obligĂ©s de tout
restructurer ce qu’on a dĂ©fait, puis on

a défait beaucoup, vous savez que les Hommes
puis les Femmes, depuis 20, 25 ans, ont défait

beaucoup dans leur relation humaine, parce
qu’il y a eu des avantages, dans le passĂ©,

qui sont maintenant des désavantages, puis,
par exemple, la Femme a été tellement dominée

pendant l’involution, qu’avec tout ce
qui se passe aujourd’hui Ă  la tĂ©lĂ©vision,

l’information, blablabla, la Femme n’est
plus capable d’en prendre, elle ne veut

plus en prendre mais elle demeure inconsciente,
mais au moins, elle ne veut plus en prendre,

ça, c’est dĂ©jĂ  trĂšs bon, mais Ă  partir
du moment oĂč une Femme n’est plus capable

d’en prendre puis elle ne veut plus en prendre,
puis qu’elle düne avec un Homme, l’Homme

est trĂšs dĂ©muni, pourquoi, parce qu’une
Femme, ça a tous les atouts de la beauté,

donc la sensualitĂ©, donc il n’y a pas une
Femme
 une Femme, si ça veut, ça peut

avoir un Homme, dans le sens de temporairement
parlant, je veux dire, une Femme, la Femme,

elle va au bar, puis elle prend un Gin Tonic,
puis elle attend, elle se tient Ă  la table

un petit peu de mĂȘme, lĂ , je parle d’une
Femme qui a une certaine apparence, et puis

encore, il y a toujours « chaque torchon
trouve sa guenille », elle s’installe

à la table un petit peu comme ça, il est
Ă©vident qu’il y a un vendeur qui va arriver

ça ne sera pas long ! Bon, ce n’est pas
un gars qu’elle va vouloir marier, mais

le principe que je veux dire, c’est qu’une
Femme, ça peut toujours trouver un son de

cloche à son talon, tandis qu’un Homme,
c’est pas trop pareil, un Homme s’en va

au bar, il a beau trouver la Femme, si elle
ne veut rien savoir, il est fait puis la Femme,

si elle le retourne de bord, l’ego, il va
prendre une claque, tandis que la Femme, elle

n’a pas de problùme d’ego, elle, elle
joue de son petit talon, puis ça va venir,

l’un va venir, puis l’autre va venir,
puis elle va tous les voir, parce que la Femme,

elle a une différence psychologique ??, elle
sait qu’on est tous ?? parce qu’il y en

a un qui va arriver : « c’est quoi ton
signe astrologique », l’autre va dire

: « c’est quoi que tu fais dans la vie »
puis on a tous nos petites games, là, qu’on

joue, les Hommes, parce qu’on est rĂ©ellement,
réellement pas en possession de nos moyens,

on est réellement gelés devant la Femme,
on ne sait pas quoi faire, alors la Femme

qui sait moindrement ça, qui est moindrement,
un petit peu allumée, là, le gars, il est

fait à l’os ! comprends-tu ce que je veux
dire !

DM : Ouais !

BdM : Bon, ok. Ce que je comprends, c’est
qu’il y a bien des Femmes qui sont Ă©cƓurĂ©es

de jouer du talon ! Ça, je comprends ça
aussi !

BdM : Il y a bien des Femmes qui quoi ?

DM : de jouer du talon !

BdM : Ha oui ! Mais lĂ , je viens de vous
expliquer qu’il y a tellement de choses

qui ont Ă©tĂ© mal faites qu’aujourd’hui
les Femmes sont tannées de jouer du talon

puis les gars sont tannĂ©s d’ĂȘtre des Ă©talons,
comprends-tu ! On est tannĂ©s mais ça s’explique,

on doit payer pour passer de l’involution
Ă  l’évolution ; quand on rencontrera


quand les Femmes seront intelligentes, qu’elles
n’auront pas d’émotion sur le bras, puis

que les gars seront respectueux de la Femme,
puis qu’ils ne seront pas dominateurs, puis

que les deux se rencontreront ensemble, ça
se fera bien bien facilement, ils partiront

facilement ensemble mais ils ne partiront
pas ensemble avec les mĂȘmes paramĂštres qu’il

y avait dans le passĂ©, c’est pour ça que
je dis, il va falloir que l’Homme change,

il va falloir que la Femme change, il va falloir
que l’un connaisse, comprenne l’autre,

puis aprÚs ça, quand ils vont se rencontrer,
la Femme n’a pas besoin de jouer du talon,

puis le gars, il n’a pas besoin d’ĂȘtre
un étalon, mais tant que ça, ça ne sera

pas fait, il va falloir que la Femme joue
du talon puis que l’Homme soit un Ă©talon,

pourquoi, parce qu’il n’y a plus de respect
entre les ĂȘtres, il y a simplement des avantages

que l’un veut par rapport à l’autre,
il y a simplement des dĂ©savantages que l’un

perçoit par rapport à l’autre, il n’y
a plus de respect, tant qu’il n’y aura

plus de respect entre les Hommes puis les
Femmes, on vivra les conditions de l’involution

du XXĂšme siĂšcle, puis Ă  ce moment-lĂ ,
il y aura beaucoup de solitude, beaucoup de

Femmes seules, beaucoup d’Hommes seuls.

DM : Oui, parce que les gens ne savent pas
sur quelle base s’engager !

BdM : Exactement.

DM : Puis, c’est pourquoi qu’on ne sait
pas comment sur quelle base s’engager ?

BdM : Moi, j’étais sur la rue Ste Catherine
un soir, puis il y avait trois filles, trois

petites juives, lĂ , puis il y en a une qui
pleurait, puis moi, engager une conversation,

ce n’est pas difficile, je dis à la fille,
en anglais : « qu’est-ce qui ne va pas,

puis-je vous aider », puis il y en a une
qui vient à la rescousse de l’autre qui

pleurait et elle me dit : « non non, elle
pleure, pourquoi, parce que les Hommes ne

sont pas gentils »  sur la rue, trois
petites filles qui sortent, lĂ , pour avoir

du fun, pour rencontrer quelqu’un pour aller
danser
 puis aller manger
 puis il y en

a une qui pleure, je ne sais pas ce qui est
arrivé dans la soirée, mais elle pleurait

profondément, pourquoi, parce que les Hommes
n’étaient pas gentils, c’est triste ! Tu

ne vas pas voir un Homme pleurer parce que
les Femmes ne veulent pas de lui, mais l’Homme

va se sentir seul, les Hommes peuvent vivre
la solitude parce que les Femmes ne veulent

pas d’eux ou les Femmes vont pleurer parce
que les Hommes manquent de gentillesse, alors

quand ça sera éliminé tout ça, ça sera
tassé, puis que les Hommes seront réellement

bien dans leur peau, puis les Femmes bien
dans leur peau, ça va ĂȘtre trĂšs trĂšs facile

d’avoir des couples, puis d’avoir ce que
l’on appelle un amour conscientisĂ©.

DM : On creuse ça un petit peu parce que
c’est toujours bien prĂ©sent
 La Femme,

elle, que les Hommes n’ont pas Ă©tĂ© gentils,
quand ça fait un gros dixiùme qui n’est

pas gentil, tous les Hommes sont dans le mĂȘme
portrait, ce qui fait que le gars, quand il

rencontre la fille, il est toujours pris avec
la mĂ©moire qu’elle a des Hommes, puis mĂȘme

si lui veut changer, ou s’il est en changement
ou s’il a changĂ©, il est toujours taxĂ©

avec la mémoire de la Femme ?

BdM : Je vais vous dire une chose, une Femme
qui rencontre un Homme qui trĂšs gentil, mĂȘme

si elle a été bafouée par cinquante Hommes
qui n’étaient pas gentils, elle va le reconnaĂźtre

!

DM : Elle va le reconnaĂźtre !

BdM : Ha oui ! Un Homme qui est gentil a un
comportement qui est bien différent des Hommes

qui ne le sont pas !

DM : C’est quoi ?

BdM : Tout dĂ©pend de l’Homme, il y a un
comportement qui n’est pas pareil. Un Homme

qui est dans son identitĂ©, un Homme qui n’a
rien Ă  prouver, un Homme qui est bien dans

sa peau, il va se manifester par rapport Ă 
une Femme, d’une façon qui va automatiquement

lui convenir, pourquoi, parce qu’il ne va
pas la mettre sur sa défense, pourquoi, parce

qu’il ne jouera pas les lois de territorialitĂ©,
pourquoi, parce qu’il va faire un Ă©change,

pourquoi, parce qu’il va ĂȘtre rĂ©ellement
gentil, c’est-à-dire qu’il va utiliser

de l’affection sociale, c’est ça la gentillesse,
c’est de l’affection sociale, puis avant

de rentrer de l’affection rĂ©ellement intime,
il va rentrer dans de l’affection sociale,

je vous donne un exemple, la politesse, la
fille elle s’en vient à son auto, il va

lui ouvrir la porte, elle est grosse la porte
d’auto, elle a des grands ongles, elle s’est

mis belle pour lui, elle risque de casser
ses ongles si elle ouvre les portes, surtout

si c’est un char amĂ©ricain, ce qui fait
qu’à ce moment-là, elle va le savoir,

ça, mais si le gars, il a ses vieilles mémoires,
puis le gars
 « les Femmes aujourd’hui

ne veulent pas se faire ouvrir les portes,
etc  », Ă  ce moment-lĂ , il va peut-ĂȘtre

tomber sur une Femme qui a une grande sensibilité
puis qui sait apprécier se faire ouvrir une

porte
 il y a des petites choses qui sont
naturelles, on a beau dire, on est modernes

nous autres, là, on est modernes puis

je vais te donner un autre exemple, parce

que lĂ  le cerveau marche, tu me poses une
question
 J’ai regardĂ© la tĂ©lĂ©vision,

puis Lana Turner est morte, Lana Turner, pas
Tina, Lana
 une actrice des années 40/50,

puis le journaliste il disait, il parlait
des stars, puis il disait : dans ce temps-lĂ ,

les Femmes Ă©taient belles, puis l’autre,
il demandait : pourquoi est-ce que les actrices

ne sont plus belles, puis élégantes, il
n’y a rien que dans les films, qu’elles

sont belles et Ă©lĂ©gantes
 il s’en va
sur la rue chez Starbucks, puis il disait

: il n’y a plus de monde Ă©lĂ©gant pour
recevoir des artistes élégants, autrement

dit, la masse n’est plus Ă©lĂ©gante, comment
tu veux que des acteurs ou des gens qui sont

lĂ , qui font partie de toute la dynamique
artistique, comment tu veux que des gens de

mĂȘme soient intĂ©ressĂ©s Ă  ĂȘtre Ă©lĂ©gants,
quand il n’y a plus de monde Ă©lĂ©gant dans

la rue, alors c’est un petit peu la mĂȘme
chose au niveau de la relation avec l’Homme

et la Femme ; si le gars arrĂȘte d’ĂȘtre
élégant, autrement dit, devient médiocre,

parce que l’élĂ©gance, ça fait partie
de l’artistique, ça fait partie de l’harmonie,

ça fait partie de la beautĂ©, ce n’est
pas une affaire qui appartient rien qu’au

19Ăšme siĂšcle, l’élĂ©gance, parce que
si le gars, il a perdu ça, l’élĂ©gance,

Ă  ce moment-lĂ , bah, il y a quelque chose
dont elle, elle a besoin pour reconnaĂźtre

sa dĂ©finition, qu’elle ne pourra pas avoir,
tu perds ça, tu perds ça, tu perds ça,

tu mets toutes sortes de choses de cÎté,
alors la Femme, qu’est-ce qui lui reste,

rien que l’affaire de la chambre d’hîtel
le soir, ce n’est pas assez pour une Femme,

une Femme qui a une chambre d’hîtel, elle
peut en avoir 75, mais une Femme, elle aime

ça ĂȘtre approchĂ©e parce qu’elle est dĂ©licate,
la Femme, elle est sensible la Femme, dans

un sens, elle est petite la Femme par rapport
Ă  l’Homme, puis elle aime ça, ĂȘtre protĂ©gĂ©e,

elle aime ça
 elle aime ça, ĂȘtre perçue
comme Ă©tant rĂ©ellement l’expression de

la beauté, délicate, sensible, parce que
si le gars ne l’a pas ça, parce que les

mƓurs au fil du temps l’ont convaincu que
ça ne fait plus partie de notre temps, la

gentillesse puis la délicatesse, pour ouvrir
les portes, bah, Ă  ce moment-lĂ , la Femme,

qu’est-ce que tu veux qu’elle fasse, elle
n’a plus de mesure, elle n’est plus capable

de mesurer l’Homme qui vient vers elle,
mais si un jour, il y en a un qui vient vers

elle, elle va le voir, parce que ça fera
toujours partie de sa psyché, ça ; la Femme,

c’est un ĂȘtre qui sert bien quand elle
t’appartient et c’est un ĂȘtre qui aime

ĂȘtre bien servie avant qu’elle t’appartienne,
c’est intĂ©ressant ça ! Ça, vous appelez

ça, vous autres (??), comment on dit en français
?

DM : Fréquentation !

BdM : FĂ©quentation ! Une Femme avant qu’elle
« t’appartienne », elle aime ça, ĂȘtre

servie, ça, ça fait partie des lois de la
frĂ©quentation, puis quand vous ĂȘtes mariĂ©,

whatever, vous ĂȘtes bien ensemble, Ă  ce
moment-là, ça continue, tous les rapports

continuent, Ă  ce moment-lĂ , elle est contente.
Ma Femme, elle me sert, mais elle ne me sert

pas dans un sens que je la domine, elle ne
me sert pas dans un sens oĂč elle perd son

identité, elle me sert dans un sens qui équivaut
au fait que moi aussi, je la sers, je suis

capable de la servir !

DM : Vous aussi, vous lui appartenez ?

BdM : C’est ça !

DM : Il y a une appartenance mutuelle !

BdM : Il y a une appartenance mutuelle, Ă 
ce moment-là, tu n’as plus de problùme

de personnalitĂ©, tu n’as plus de confrontation
entre le sexe mĂąle puis le sexe femelle.

DM : Le phĂ©nomĂšne d’appartenance est important
?

BdM : Il est trÚs important, le phénomÚne
d’appartenance, parce que c’est ça qui

dĂ©limite
 c’est ça qui dĂ©limite

c’est ça qui dĂ©crit ou qui dĂ©finit votre

territoire, le caractùre
 le caractùre
particulier de votre territoire. Moi, ma Femme

et moi, on a un caractĂšre particulier de
notre territoire, ma Femme, par exemple, s’il

fait froid dans la chambre, elle va dire : « il
fait froid », moi je suis supposĂ© ĂȘtre

assez intelligent pour me lever et aller fermer
la fenĂȘtre, elle n’a pas besoin de dire

: « ferme la fenĂȘtre », elle n’a pas
besoin de me faire un dessin « ferme la

fenĂȘtre », elle n’a pas besoin de dire
: « tabarnack, vas-tu la fermer la crisse

de fenĂȘtre », elle n’a rien qu’à dire
: « il fait froid », puis je me lÚve

puis je vais fermer la fenĂȘtre, bon bah ça,
ça fait partie de tout ça !

DM : Il y a des Femmes qui m’ont dit, le
temps oĂč l’Homme est Ă  son meilleur, c’est

le « (??) » dont vous avez parlé, « fréquentation »,
j’aime mieux en avoir dix qui me frĂ©quentent

au maximum que d’en avoir un, que je suis
obligé de ramasser ses « boots », ce

qui fait qu’il y a des Femmes qui ont appris
Ă  voir que l’Homme, il Ă©tait dans son

meilleur quand il ne possédait pas, quand
elle, elle n’appartenait pas au gars, c’est

intelligent une Femme ?

BdM : Ouais ! TrĂšs !

DM : Tu ne bùtis pas grand chose avec ça,
hein ! Puis rendue Ă  50 ans, elle a un problĂšme

parce qu’elle est seule !

BdM : Ouais ! Effectivement !

DM : C’est quoi le problùme ?

BdM : C’est un problùme d’adaptation
personnelle de ses Ă©motions par rapport au

genre humain mĂąle, autrement dit, tu ne peux
pas lire les heures, tu peux reconnaĂźtre

que les Hommes ne sont pas intelligents, tu
peux reconnaĂźtre que les Hommes sont brutaux,

tu peux reconnaßtre que les Hommes sont réellement
(??), mais, tu attires toujours ce que tu

dĂ©gages, puis ça, c’est vrai, tu attires
toujours ce que tu dégages, il y a des lois

d’impressions, il y a des lois d’impressions

Tu attires ce que tu dégages, parce que si

une Femme dĂ©gage une agressivitĂ© vers l’Homme,
elle va attirer une vibration en retour, si

l’Homme a une vibration par rapport à la
Femme qui est particuliĂšre, il va attirer

une vibration en retour, tu attires ce que
tu dégages, puis ça, il faut le reconnaßtre

parce que ça fait partie de la loi des auras.
Si une Femme veut aborder quelqu’un, et

elle dit : « Je ne sais pas pourquoi, ça
ne marche pas avec lui » ou « ça ne marche

pas avec elle », c’est des auras, il faut
que vous soyez capables de réellement prendre

conscience de vos auras, puis de sentir, de
savoir quand vos auras sont stables ensemble,

puis quand vos auras sont instables, bah

parce que c’est ça qui va dĂ©terminer demain

si vous ĂȘtes capables d’ĂȘtre ensemble,
ce n’est pas nĂ©cessairement les fruits

de vos passions qui vont déterminer votre
capacitĂ© d’ĂȘtre ensemble tout Ă  l’heure,

c’est vos auras, c’est trùs occulte un
Homme qui rencontre une Femme, c’est trùs

occulte ce qui se passe au niveau de l’esprit,
ce qui se passe au niveau de l’ñme, ce

qui fait que si vous n’avez pas assez d’esprit,
à ce moment-là, vous ne serez pas capables


vous ne serez pas capables
 vous ne serez
pas capables d’interprĂ©ter l’aura de

l’autre, ça prend de l’esprit pour interprĂ©ter
l’aura de l’autre, je te donne un exemple,

un gars rencontre une « bonne femme »,
une bonne femme, quand je dis une bonne femme,

lĂ , je dis une Femme qui ne va pas lui casser
les pieds, une Femme avec laquelle il va avoir

la paix, et ainsi de suite, bon ! Une Femme
qui est de mĂȘme, elle ne va pas ĂȘtre Ă©nervĂ©e

trop trop trop trop trop trop trop trop ! Le
gars, il la rencontre au niveau de l’ñme,

il n’a pas assez d’esprit pour interprĂ©ter
son aura, ?? elle ne parle pas, elle, ??, parce

que s’il interprùte mal, à ce moment-là,
il va y en avoir une autre, ???, aprÚs ça,

tu t’en vas avec ça, tu vas avoir ???, il
faut que tu sois capable d’interprĂ©ter

l’aura d’une personne, pour ça, il faut
que tu aies de l’esprit, c’est trùs facile

d’interprĂ©ter l’aura d’une personne
si tu as de l’esprit, si tu n’as pas d’esprit,

c’est trùs dur, pourquoi, parce qu’une
aura, c’est une Ă©nergie astrale de l’ñme

qui ne peut ĂȘtre percĂ©e que par ta lumiĂšre,
alors une aura, ce que ça fait quand tu rencontres,

ça, ça crĂ©e une rĂ©action, tu l’aimes,
tu ne l’aimes pas, il est fin, il n’est

pas fin etc
 il y a toujours cette affaire,
tandis que si tu l’interprĂ©tais au niveau

de l’esprit, à ce moment-là, les deux
auras, la tienne et la sienne, se stabilisent,

puis les mécanismes psychologiques de la
personnalité qui défont la réalité, qui

cachent, parce qu’on a des choses dont on
veut se cacher, il y a des choses qu’elle,

elle veut se cacher, on veut montrer le meilleur
de nous-mĂȘme au lieu de montrer notre rĂ©alitĂ©,

parce que si on montrait notre réalité,
à ce moment-là, ça serait parce qu’on

est capables d’interprĂ©ter l’aura de
l’autre, tu n’as pas de problùme ; quand

tu es capable d’interprĂ©ter l’aura d’une
personne, tu n’as pas de problùme de te

montrer rĂ©el devant elle ; moi, quand j’ai
rencontrĂ© ma Femme, j’ai dit : « on va

se prendre une petite marche au parc La Fontaine »,
je n’avais pas peur qu’elle me dise : « ouais

ouais, tu ne vas pas m’emmener au parc La
Fontaine, tu vas m’amener dans le bas de

la ville au ‘stock club’ », je n’avais
pas de problĂšme avec moi, parce que j’étais

dans ma réalité, je vais interpréter son
aura puis je savais qu’en l’amenant au

parc La Fontaine, assise sur une petite balançoire,
la pousser un petit peu
 elle serait trùs

contente puis trùs bien parce qu’elle est
trĂšs simple, elle n’est pas compliquĂ©e,

mais si je n’avais pas pu interprĂ©ter son
aura, je me serais dit : « il ne faut pas

l’emmener au parc La Fontaine, je vais l’amener
chez ‘stock club’ », on fait constamment

des erreurs, c’est pour ça que l’amour
humain, c’est rĂ©ellement
 c’est rĂ©ellement

une expĂ©rience d’ñme, puis quand tu es
conscient, tu n’es pas intĂ©ressĂ© Ă  l’amour

humain, tu es intéressé à un amour universel,
tu es intéressé à un amour mental, tu es

intĂ©ressĂ© Ă  un Ă©change d’énergie au
niveau de deux esprits oĂč tu n’as pas besoin

d’appeler ça, de l’amour ! C’est simplement
un rapport d’énergie qui est perfectionnĂ©

Ă  un point oĂč tu es bien, point final ! Tu
es toujours bien avec la personne, puis ça,

ça prend de la conscience, ça prend de la
lumiùre, ça prend de l’esprit, puis il

faut que tu sois capable de dépasser les
conventions de l’HumanitĂ© ; si tu n’es

pas capable de dépasser les conventions de
l’HumanitĂ©, parce que l’on vit dans des

cycles historiques, dans des périodes, ce
que vous appelez vous autres, des modes, si

tu n’es pas capable de sortir de la conscience
de la mode, bah, lĂ , tu es fait, parce que

tu es drapé dans un comportement sociologique
qui t’impose de te conduire par rapport

à la Femme ou la Femme par rapport à l’Homme,
d’une certaine façon et automatiquement,

tu vas ĂȘtre restreint parce que tu n’auras
pas assez d’esprit pour casser les conventions

donc tu ne pourras pas vibrer puis interpréter
l’aura de la Femme que tu rencontres ou

l’aura de l’Homme que tu rencontres, puis
c’est pour ça qu’on a de la difficultĂ©

à rencontrer du monde, parce que c’est
plein de monde dans le monde qui veulent se

rencontrer, c’est plein de Femmes qui veulent
ĂȘtre rencontrĂ©es, c’est plein d’Hommes

qui veulent ĂȘtre rencontrĂ©s, mais les mĂ©canismes
sont tellement tordus entre les deux personnalités,

que c’est rendu à un point aujourd’hui
que c’est redu à un tour de force de se

rencontrer, puis mĂȘme quand les gens se rencontrent,
ils ne savent plus si ça va durer, ils ne

savent plus comment s’ouvrir, ils ne savent
plus comment se fermer, ils n’ont plus de

mesure d’eux-mĂȘmes, pourquoi, parce qu’ils
ne sont pas capables d’interprĂ©ter l’aura

de l’autre, pourquoi, parce qu’ils vivent
selon la mode, il n’y a rien de pire


il n’y a rien de pire pour dĂ©faire l’esprit
ou pour paralyser l’esprit ou pour empĂȘcher

que l’esprit se manifeste dans un ego ou
dans un ĂȘtre que la mode, parce que la mode,

c’est une convention, la mode c’est une
conscience infĂ©rieure, la mode c’est une

conscience astrale, la mode c’est de la
médiocrité, mais étendue à une grande,

grande Ă©chelle !

DM : Bon, lĂ , on en vient au fait que si
on attend qu’une personne ait la bonne aura,

ça va ĂȘtre long, on en vient Ă  poser la
question, est-ce que les gens qui ont une

aura perturbée peuvent éventuellement se
balancer, puis nous autres aussi se balancer,

parce qu’avec la vie turbulente qu’on
a, on a comme Ă©ventuellement besoin de rencontrer

quelqu’un qui nous ressemble un peu ?

BdM : Je vais vous dire une chose, vous semblez
mettre ça comme si c’était difficile !

DM : Ça l’est, difficile !

BdM : C’est bien moins difficile que vous
pensez ! La raison pour laquelle c’est difficile,

ou ça semble ĂȘtre difficile, c’est parce
qu’on a Ă©tĂ© mal Ă©duquĂ©s, on a Ă©tĂ©

mal éduqués dans la société, on a été
mal Ă©duquĂ©s par ce qu’on voit, on a Ă©tĂ©

mal éduqués, point final. Il va falloir
un jour que l’Homme comprenne ou la Femme

comprenne ou l’ĂȘtre humain comprenne que
c’est lui qui doit ajuster sa vibration,

pas l’autre, si tu ajustes ta vibration,
automatiquement, tu vas interprĂ©ter l’aura

de l’autre, mais si tu n’ajustes pas ta
vibration, parce que tu vaux que l’autre

l’ajuste avant toi, t’es fait ! Puis,
c’est ça qu’on ne comprend pas, on ne

rĂ©alise pas que c’est nous autres qui devons
ajuster notre vibration !

DM : On s’ajuste à l’autre ou si on s’ajuste
Ă  ce que nous autres, on vit comme changement

?

BdM : Il faut qu’on s’ajuste Ă  nous-mĂȘmes,
pas Ă  l’autre, Ă  nous-mĂȘmes, parce qu’on

a des fractures dans notre personnalité,
il y a des choses dans notre personnalité

qui ne sont pas réelles, puis ces choses-là
qui ne sont pas réelles font partie de la

façon dont on pense, alors on veut
 automatiquement
on assujettit l’autre à cette contrefaçon-là,

puis on veut avoir du
 on veut avoir du
résultat, tu ne peux pas faire ça ! Avant,

on avait l’église qui nous imposait des
conditions, on avait les systĂšmes qui nous

imposaient les conditions, ce rîle n’est
plus ! Avant, tu mariais quelqu’un, c’était

forever, mais ce n’est plus de mĂȘme maintenant,
alors Ă  ce moment-lĂ , on va ĂȘtre obligĂ©s

maintenant de réellement corriger cette conception-là
qu’on a de nous-mĂȘmes puis qu’on a de

l’autre, puis rĂ©aliser que c’est nous-mĂȘmes
qui devons ajuster notre vibration pour que

l’autre puisse nous lire facilement, sans
ça, on va avoir
 on va le vivre longtemps

notre dilemme de la solitude puis le dilemme
de l’incompatibilitĂ© puis le dilemme du

retournement, puis le dilemme de tout ça,
de tout ce qu’on vit, de toute la vie moderne

!

DM : C’est parce qu’il y a un facteur,
c’est que les gens qui n’ont pas bñti

ensemble pendant 10, 15 ans, quelque chose,
quand ils se rencontrent puis qu’ils ont

une expérience de vie, ils ne veulent plus
changer pour l’autre, ils sont prĂȘts Ă 

changer mais quand ils rencontrent quelqu’un
en ne voulant pas changer pour l’autre


BdM : Daniel MĂ©nard, vous parlez encore qu’ils
ne veulent « pas changer pour l’autre »,

changez donc pour vous-mĂȘme, laissez-les
donc faire le monde, vous revenez toujours

à l’affaire de l’autre, puis l’autre,
puis l’autre, puis l’autre, qu’il mange

la merde, l’autre ! Arrangez votre vibration
puis l’autre, il va suivre !

DM : mais je n’avais pas fini
 Ce que
je voulais dire, c’est que justement les

gens ne veulent plus changer pour l’autre,
ils sont conscients de ça !

BdM : Ha d’accord !

DM : La connexion, ils veulent que ça se
fasse sur un « quick » !

BdM : Je n’ai pas compris ça dans ce que
vous avez dit !

DM : Parce que je n’avais pas fini de parler
!

BdM : Ha ! Ok.

DM : On reprend ça en deuxiÚme partie, dans
une petite demi-heure ! Applaudissements

 

 

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