Vous avez le droit d’Aimer les morts

ne laissez pas la honte cachez la souffrance

ne laissez pas la culpabilitez vous dire

que vous auriez pu faire mieux

ne laissez pas la peur de la mort 

vous gachez la joie de l’amour

que vous avez pour quelq’un.

chérissez son exemple ces qualités même

qui on fait de vous quelqu’un de meilleur.

peu importe en quoi vous avez foi

il existe aujourd’hui des preuves scientifique

qui démontre que la mort n’existe pas.

vous avez déjà vue cette scène d’hopital

ou l’on ramène quelqu’un a la vie.

avec un choc élétrique procuré par défribilateur.

ce miracle est partout tout autour de vous.

des théories disent que certaine forme d’onde son éternel

et cette onde est généré par votre force de conscience.

soyez cette force de volonté éternel.

garder a l’esprit que vous êtes cette esprit immortelle

oui la mort nous arrache le coeur

mais ne laissez pas la nostalgie vous dire

que vous avez le pouvoir de changer le passé.

il n’est pas question d’aimer la mort

ou de toléré la souffrance qu’elle engendre

il est question de continuez a partager 

l’étincelle de lumière qu’il ou elle vous as donnez

de continuez à contriuber a faire grandir l’amour

soyez fier d’incarnez l’espoir 

qu’un jour la médecine transcende la mort

qu’un jour la technologie nous aide a comprendre

choisisez la joie d’avoir eux le privilère

de cotoyer ce personnalité unique

car a travers son petit charactere

c’est la beauté de son âme

que vous avez touchez.

pardonner ces défaults.

c’est la lumière de son esprit

qu’elle vous a partager.

excusez ces faiblesses

pleurer a chaude larme jusqu’à

rechauffer votre coeur

si le temps s’arrête

que l’espace semble vide

que la vie a perdu tout son sens

rassurez vous

la vie au sens large n’a pas de sens

le but est de devenir meilleurs

ne vous torturez pas avec des pourquoi

 la justice a pour principe innocence

ne retourné votre colère contre vous

soyez cette douceur intérieur 

qu’on cherche tous a l’extérieur

soyez cette tendresse de sentiment

pour que son âme puisse trouvé la paix

refusez la souffrance 

ne laissez pas la fin de l’histoire

vous gachez la beauté de celle si

rassemblé toutes vos forces 

rassemblé toutes votre courage

la vie se trouve sur le chemin

continuez d’aimer car aucune force

ne peut vous enlever ce que vous aimer.

le bonheur n’aura plus la même saveur

faite en sorte de continué de l’aprécier.

 

Les 5 phases du deuil décrites par Elisabeth Kübler-Ross sont un modèle largement reconnu pour comprendre comment les individus réagissent face à la perte, en particulier la mort. Ces phases ne sont pas linéaires et peuvent être vécues dans un ordre différent, voire être vécues simultanément. Voici une description complète des cinq phases, ainsi que des stratégies pour les traverser :

1. Le déni (Denial)

  • Description :
    La première réaction face à la perte est souvent le déni. C’est une forme de défense psychologique qui empêche la personne de se confronter à la réalité de la situation. Elle peut être dans l’incapacité de croire que la perte a eu lieu, comme si la situation n’était pas réelle.
  • Stratégies pour traverser le déni :
    • Prendre conscience de l’émotion : Il est important de reconnaître que le déni est une réaction normale et une première étape pour s’adapter à la réalité.
    • Exprimer ses sentiments : Parler de la perte à un proche ou à un thérapeute peut aider à faire face à l’émotion.
    • Réaliser la situation progressivement : Il peut être utile de prendre des petites étapes pour accepter lentement la réalité, sans se précipiter.

2. La colère (Anger)

  • Description :
    À mesure que la réalité de la perte s’installe, elle peut être accompagnée d’une grande colère. Cette colère peut se diriger contre soi-même, contre d’autres personnes ou contre la situation elle-même. La personne en deuil peut se sentir trahie, abandonnée ou frustrée par l’injustice de la perte.
  • Stratégies pour traverser la colère :
    • Reconnaître la colère : Il est essentiel de comprendre que la colère est une réponse naturelle face à la douleur et de ne pas la réprimer.
    • Exprimer la colère de manière saine : Trouver des moyens constructifs de libérer la colère, comme l’exercice physique, l’écriture, ou même l’art, permet de canaliser cette énergie.
    • Accepter et pardonner : Travailler sur la compréhension et l’acceptation de la situation, même si elle semble injuste, peut aider à diminuer la colère.

3. Le marchandage (Bargaining)

  • Description :
    Le marchandage est la tentative de la personne en deuil d’obtenir un retour à la situation antérieure en échange d’un comportement ou d’un sacrifice. Cela peut se manifester sous forme de pensées comme « Si seulement j’avais fait ceci… » ou « Je ferai n’importe quoi pour revenir en arrière ». C’est un moyen de gérer l’impuissance ressentie face à la perte.
  • Stratégies pour traverser le marchandage :
    • Accepter l’impuissance : Comprendre que certaines choses échappent à notre contrôle est essentiel pour sortir de cette phase.
    • Concentrez-vous sur ce que vous pouvez changer : Au lieu de se concentrer sur ce qui est irréversible, il est plus utile de se concentrer sur ce qui est encore sous votre contrôle, comme la manière dont vous réagissez à la perte.
    • Rechercher un soutien émotionnel : Parler à quelqu’un de confiance ou un professionnel peut aider à passer de la phase de marchandage à l’acceptation.

4. La dépression (Depression)

  • Description :
    La dépression dans le deuil se manifeste souvent par un sentiment accablant de tristesse, de désespoir, de solitude, ou de vide. Cette phase peut impliquer des symptômes similaires à ceux d’une dépression clinique, comme une perte d’intérêt pour les activités habituelles, de l’insomnie, ou de la fatigue.
  • Stratégies pour traverser la dépression :
    • Accepter la tristesse : La dépression est une réponse naturelle à la perte et accepter cette souffrance plutôt que la fuir peut aider à la surmonter.
    • Chercher du soutien : Que ce soit auprès de proches ou de thérapeutes, parler de la perte avec quelqu’un qui écoute sans jugement est crucial.
    • Prendre soin de soi : Bien que la dépression puisse rendre difficile l’entretien de soi, il est important de prendre soin de son corps par des activités simples comme marcher, manger sainement et dormir.

5. L’acceptation (Acceptance)

  • Description :
    L’acceptation est la dernière phase du deuil, où la personne commence à trouver la paix avec la réalité de la perte. Cela ne signifie pas oublier ou cesser de ressentir de la tristesse, mais plutôt arriver à un état où la personne peut vivre avec la perte et réorganiser sa vie autour de cette nouvelle réalité.
  • Stratégies pour traverser l’acceptation :
    • Construire de nouveaux sens : Cela peut impliquer de créer de nouveaux rituels ou de redéfinir des objectifs dans la vie, en continuant d’honorer la personne disparue tout en avançant.
    • Accepter le changement : Reconnaître que la vie a changé de manière permanente et qu’il est possible de s’adapter à cette nouvelle situation sans la comparer constamment au passé.
    • Vivre pleinement : Se permettre de vivre des moments de joie, d’accomplissement et de paix, tout en portant la mémoire de la personne disparue.

Conclusion

Les 5 phases du deuil ne sont pas un processus rigide, et une personne peut passer d’une phase à l’autre à tout moment ou sauter une étape. Traverser ces phases de manière saine implique d’accepter chaque émotion, de chercher du soutien et de prendre soin de soi. Ce processus est unique à chaque individu et peut être influencé par de nombreux facteurs, y compris les croyances personnelles, les ressources disponibles et les circonstances entourant la perte.

La première méditation dans Cinq méditations sur la mort de François Cheng explore la question de l’existence humaine face à la mort. François Cheng commence par remercier ses auditeurs et souligne que, même si nous venons de différentes lignées et circonstances, nous partageons tous la même interrogation fondamentale sur la mort. Il évoque le mystère de l’univers et de la vie, rappelant que la question du sens de la vie a toujours tourmenté l’humanité.

Cheng rejette le nihilisme, refusant de voir la vie comme un épiphénomène insignifiant dans l’univers. Il défend l’idée que la vie a un sens profond, inséparable de la mort, et propose une vision où l’esprit est déjà présent dans la matière à l’origine de l’univers. Il avance que la conscience de la mort donne tout son sens à la vie, et qu’au lieu de voir la mort comme une fin tragique, il faut envisager la vie à partir de la mort.

Il cite des poètes, dont Rilke, pour illustrer cette approche. Rilke, par exemple, parle de la mort comme un fruit que chaque personne doit porter en soi, une mort qui appartient à chacun, liée à l’existence même. Cheng conclut que la mort n’est pas seulement une fin, mais une clé pour comprendre la vie, et que nous devrions l’intégrer à notre existence pour vivre pleinement

La deuxième méditation de François Cheng dans Cinq méditations sur la mort poursuit l’exploration de la mort en approfondissant l’idée que la vie et la mort sont indissociables. Il propose une inversion du regard : au lieu de considérer la mort comme une fin, nous devrions envisager la vie à partir de notre mort, non pas comme un néant mais comme le fruit ultime de notre être. Il réitère que la certitude de la mort, même si elle est inévitable, ne rend pas la vie absurde.

Cheng insiste sur l’idée que la vie a une prééminence absolue, car la mort elle-même est une preuve de l’absolu de la vie. Si la mort nous semble une limite, elle ne saurait être pensée sans la vie. La vie ne se résume pas à l’existence physique ; elle engage tout notre être, corps, esprit et âme. Il mentionne que, dans la tradition chinoise, cette reliance profonde entre les individus et l’univers est appelée « mandat du Ciel », et qu’il nous incombe de mener ce mandat jusqu’au bout, sans interrompre artificiellement la vie, ce qui explique la perception négative du suicide.

Dans cette méditation, Cheng aborde également la fragilité de la condition humaine : bien que nous soyons certains de mourir, nous ne savons ni quand ni comment, ce qui génère une angoisse constante face aux maladies, accidents et autres tragédies de la vie. Toutefois, il souligne que la conscience de la mort peut aussi donner à la vie une saveur particulière, une intensité, en la faisant apparaître comme un don précieux et éphémère.

Il évoque ensuite la notion de bonheur, expliquant que le bonheur est rare et souvent accompagné de mélancolie en raison de sa nature éphémère. La conscience de la mort teinte tous les bonheurs d’un voile de regret, mais en même temps, elle confère à la vie une valeur sacrée. Enfin, il revient sur l’idée que chaque vie est unique et irremplaçable, et que cette unicité est ce qui donne à la vie humaine son caractère précieux et digne.

Cheng termine cette deuxième méditation en rappelant que la vie est truffée de miracles et qu’elle est elle-même un miracle, surtout lorsque l’on prend conscience de sa fugacité

La troisième méditation de Cinq méditations sur la mort de François Cheng se concentre sur deux mystères fondamentaux : celui de la beauté et celui du mal. Cheng examine d’abord la beauté, un mystère, car l’univers n’était pas obligé d’être beau. Il voit dans cette beauté un désir, un appel, une intentionnalité cachée qui interpelle profondément. Cheng souligne que la beauté de l’univers semble témoigner d’une profondeur plus grande, ce qui élève la vie humaine au-delà du simple biologique.

Ensuite, Cheng aborde le mal, qui est pour lui également un mystère, mais d’une autre nature. Il souligne que la radicalité du mal dans l’humanité, surtout lorsque l’ingéniosité humaine s’y met au service, dépasse ce qui pourrait être accepté comme des accidents de la vie. Le mal devient alors une force destructrice capable de menacer l’ordre même de la vie.

Ces deux mystères, la beauté et le mal, interfèrent avec notre conscience de la mort et représentent des défis essentiels que nous devons affronter. François Cheng insiste sur le fait que, bien que nous soyons confrontés à ces mystères, ils doivent être intégrés à notre vision du monde et à notre compréhension du sens de la vie et de la mort​

Dans la quatrième méditation de François Cheng, l’auteur approfondit l’idée que la mort corporelle, bien qu’inéluctable, révèle paradoxalement la vie comme un principe absolu. Il explique que la mort n’est que la cessation d’un état de vie et qu’elle n’existerait pas sans la vie elle-même. Cheng explore ensuite l’idée que la vie est une aventure en devenir, pleine de transformations et de métamorphoses, tout en posant la question du rêve d’une vie éternelle.

Cheng invite à méditer sur l’âme, cette part unique et irremplaçable de chaque être humain, qui pourrait concevoir la possibilité d’une survie après la mort. Il reste prudent sur ce sujet, affirmant qu’aucune réponse définitive ne peut être donnée, mais il encourage à continuer à avancer dans la réflexion. Selon lui, la vie est une aventure qui transcende l’expérience corporelle, et c’est l’âme, capable de capturer les dons du corps et de l’esprit, qui peut aspirer à cette survie.

Enfin, Cheng évoque le concept du devenir de l’âme et propose que la vie éternelle pourrait être liée à cette essence spirituelle unique en chaque individu​

La cinquième méditation dans Cinq méditations sur la mort de François Cheng se distingue par une approche poétique. Elle adopte un langage métaphorique et symbolique pour approfondir la réflexion sur la mort. Cheng utilise la poésie pour évoquer la relation complexe entre la douleur et la joie, entre la vie et la mort. Il mentionne que ce qui a été vécu sera rêvé, et ce qui a été rêvé sera revécu, soulignant une continuité entre les expériences passées et futures.

L’auteur aborde également la mort non comme une issue finale, mais comme un élément qui rend chaque moment de la vie précieux et unique. La mort, selon lui, n’est pas une fin, mais une limite qui donne une « exigence extrême » à la vie. Cette méditation suggère que la mort nous pousse à nous dépasser, à creuser en nous-mêmes pour comprendre la profondeur de notre existence et notre relation avec l’au-delà.

La poésie évoque aussi la transformation de l’âme et la notion de désir de vie, qui transcende la mort. Cheng propose que le désir de vie dépasse même la mort, rejoignant celui du « Commencement », une allusion à l’origine de la vie elle-même