
voilà quelque chose qui s’imposait.
Qui vous dit, qui nous dit, de ne pas s’inquiéter de ce qui est en train de se passer ? Car rien ne peut arriver d’autre qu’aimer. C’est simplement à cela que je te conduis.
En vérité, prends juste le temps de voir, de sentir, de regarder et d’observer. La vie et la pleine nature te sont données. La grande ouverture du cœur conduit en vérité.
Quoi d’autre pourrait-il arriver que cela, bien-aimé ?
Sors de ces carcans, de ces passés, sors de ces souffrances qui, un jour, ont été et qui ont eu leur raison d’être. Mais qui sont maintenant invités à disparaître en ces temps particuliers, car la porte d’hier est déjà fermée.
Cela, je te le dis, je te le rappelle bien souvent, mais « ici et maintenant », je te le rends comme un savoir du cœur, qui s’ensuit directement et comme une pleine douceur que je dépose en ton cœur de vivant.
Reçois-la à travers cet enfant, et goûte-la en toi profondément. Jusqu’à laisser fondre ce qui te retient, ce qui te tend, ce qui soutient chaque instant de ta vie.
Maintenant, sois libre comme l’hirondelle, la libellule ou le coquelicot devant toi. Souffle sur le pissenlit fané, et regarde un peu tous les effluves qu’il produit en vérité.
Laisse tout cela partir, s’en aller, et ne garde en toi que la joie de vivre et celle d’aimer. Et encore, ne la retiens pas.
Celle-là, laisse-la vivre son chemin, comme le tien. Je t’invite à réaliser cette foi, remplie d’amour, de tendresse et de joie. Remplie de paix au plus profond de toi.
Car là où tu es, je demeure. Souviens-toi, n’oublie jamais cela. Et surtout, vis-le en toi.
Au bonheur d’être, je te conduis. Tout droit au bonheur d’aimer, je viens te relier.
Car tu es la goutte et la saveur qui accueille le monde en vérité, et qui le contient en son cœur tout entier.
Contemple-le, regarde-le, bien-aimé. Quelle beauté il vient te rendre et te donner.
Accorde-toi cet instant, cet élan que je te rends, pour te sentir toi-même vivant, et au cœur de ceci, tout le temps.
Oh, comme c’est beau, l’instant ! Goûte-le, savoure-le, laisse-le s’en aller.
Ouvre tes ailes en vérité, pour te laisser être aimé par l’amour sans condition que je suis.
Bien-aimé, en relation de toi, je viens te poser. En relation de l’amour infini, je viens te connecter, pour te sentir, au cœur de toi, la vie.
Je te le dis alors : vis.
Grand merci à vous tous, mes amis.
Je vous souhaite une journée de joie, une journée de douceur.
Dès maintenant, à très bientôt sur les ondes du cœur.