Pourquoi devrions-nous arrêter de vouloir gérer nos émotions ?

Quand on résiste a nos émotions

elle crée un tension dans le corps

le jugement qu’on porte sur elle

nous empêche de la vivre intégralement

petit a petit elle deviens une émotion refoulé

et prends de l’ampleur alors qui suffirait 

d’en faire l’expérience 

 

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Les invitations de Nassrine #5 

Pourquoi devrions-nous arrêter de vouloir gérer nos émotions 

Bref, faut gérer les émotions, libérer les émotions, la libération émotionnelle représente le plus haut degré de lutte possible.

Quand je veux libérer quelque chose, c’est que je lutte atrocement contre ces mains. Je n’avais pas envie de libérer 

On vous dit moi, en tant que petit moine. Si tu es inséré dans la société, il faut que tu te comporte comme ceci et comme un master, des programmes et encore plus d’éléments.

Et ça sera. Ça devient encore plus dense, encore plus doux. A chaque pas un mot. Ou alors c’est dur la vie, c’est dur la vie. Non pas parce que ceux qui environne ici ton environnement est lourd. Non, c’est ce qui est ici, à l’intérieur, qui rend la vie indigeste.

Beaucoup trop de contraintes. Enfin, qu’est ce qui est dommage?

La colère, la tristesse, soit la peur et la frustration.

Je ne sais pas quoi, donc, fondamentalement, une émotion et une énergie en une année.

Spassky qui contient une information. Et c’est là la peur plutôt que colère. Pas assez commun avec. C’est la même énergie. C’est juste que cette branche là, c’est dire la colère. Et c’est là à l’appeler comme ceci et comme cela.

Mais ça reste les mêmes, aura la même source d’énergie. Et fondamentalement, ce n’est jamais l’émotion elle même qui pose problème. C’est l’état des lieux de sous jacent face à cette émotion qui est problématique. Mais cette différence là, aussi subtile ou grotesque soit elle, n’a toutefois pas été observée par la majorité.

On en est encore à ça, c’est mauvais avant l’hiver.

Ça, c’est mauvais, allongeait la chose est et à lutter contre lui même ou sur la dizaine 

Vous avez sûrement remarqué non plus en lui entre un triplé et ça vient me chercher.

Oui, ça frappe à la porte. On fait semblant pendant que ça continue à frapper, mais à jouer sa défense, l’apport et ça se trompe.

Écoute moi, c’est moi le père.

Ça fait quinze mille ans. Je frappe à cette pause.

J’ai frappé à la porte à ton arrière arrière arrière arrière arrière grand père sous forme de dinosaure, pouvait pas jouer. J’ai compris.

J’ai attendu une premières, l’humanoïde apparaissent et j’ai attendu la dualité pour pouvoir être accueillis. Mais ils ne m’ont pas ouvert la porte.

La lutte est une histoire.

La lutte est un merveilleux mécanisme de manipulation. N’est pas la peur, vous faites peur. Un mouton, tout le troupeau s’enfuit.

Ce n’est pas la peur, c’est. On ne peut pas avoir peur alors qu’on fuit. On ne fait pas de la peur en parce qu’on ne se donne pas le droit d’avoir peur. Pourquoi priver? Est ce moi aussi, phosphatés d’une expérience?

Cet être humain n’était il pas venu pour goûter toutes les saveurs de la vie?

Or, qu’à la fin, il puisse dire aussi fictif, soit, dit il. Cet être humain, je peux mourir. Peut être parce que je connais vous. J’ai toutes les saveurs en bouche. J’ai tout goûté.

Mais qu’est ce que ta beauté, essentiellement pour savoir? Tu vois cette conscience là qui m’est propre. Cette portion de conscience qui traverse ceci. J’ai goûté ce spectre. Si je connais chaque faisceau lumineux, je sais comment sa danse.

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