Les amours de Psyché et de Cupidon

Un poème de Jean de la Fontaine

qui a inspiré milles et un artistes

« Tout l’univers obéit à l’amour 

Aimez Aimez tout le reste n’est rien. »

Les amours de Psyché et de Cupidon

est une oeuvre emblématique 

qui soulève encore des passions 

 

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[Musique]

une musique de lutte et de voix se fit

entendre à l’un des coins du plafond

sans convient ni centre ni instruments

musicaux si douce et aussi charmante que

si orphée et amphion en eussent été les

conducteurs parmi les airs qui furent

chantés il y en eut teint qui plus

particulièrement à ben si j’ai je vais

vous sentir les paroles que j’ai mis

dans notre langue au mieux que j’ai pu

tous les numéros pays de l’amour

belle psyché soumettez lui vaudra mme

les autres dieux à ce dieu font la cour

et leur pouvoir et moins d’eau que sa

place mais jeunes au coeur c’est le

suprême bien aimé aimer tout le reste

n’est rien

sans cet amour dans d’objets ravissant

lambris dorés bois jardin et fontaine

non point d’un pas qu’ils ne soient

languissant et leur plaisir est moins

doux que ces bennes des jeunes au coeur

et le suprême bien aimé aimer tout le

reste n’est rien

[Musique]

dès que la musique us essais m’ont dit

t’as psyché qu’il était temps de se

reposer il lui prit alors une petite

inquiétude accompagné de crainte est

telle que les filons d’ordinaire le jour

de leurs noces sans savoir pourquoi

la belle-fille toutefois ce goal ont

voulu on la met au lit et on se retire

un moment après celui qui on devait être

le possesseur arriva et s’approcha

d’elle elle n’a jamais su ce qu’il se

dire ni même d’autres circonstances bien

plus importante que celle là seulement

at on remarqué que le lendemain les

nymphes rillettes entre elles et que

psyché rougissait dont les voyants en

rire

la belle ne s’ennuie pas forte en peine

et n’en parle pas plus triste qu’à

l’ordinaire pour revenir à la première

nuit de ses noces la seule chose qui

l’embarrassait et que son mari l’avait

quittée devant qu’il fût jour il lui

avait dit que pour beaucoup de raisons

ils ne voulaient pas être connu d’elle

qu’il a priés de renoncer à la curiosité

de le voir

[Musique]

ce fut ce qui viendra davantage quelles

peuvent être ses raisons disette en soi

même la jeune épouse et pourquoi se

cache-t-il avec tant de soin ses

réflexions temporaire pour quelques

moments la joie de psyché enfin elle

trouva à propos denis plus penser de ne

point corrompre elle-même les douceurs

de son mariage

dès que son mari lui quitté elle tira

les rideaux rappelle le jour commençait

à poindre

en attendant notre héroïne se mit à

rêver à ses aventures particulièrement à

celle de cette nuit ce n’était pas

véritablement les plus étranges quelques

couru mais elle en revenait toujours à

ce mari qui ne voulait point d’être vu

cichy sampon s’assied avant dans ses

rêveries qu’elle en oublie à ses ennuis

passé et là dessus elle s’endormit

aussitôt le son je lui représente son

mari sous la forme d’un jouvenceau de 15

à 16 ans beau comme l’amour et qui avait

toute l’apparence d’un dieu

[Musique]

transportée de joie l’appel lembras il

veut s’échapper elle crie mais personne

n’a court aux bruits

[Musique]

qui que vous soyez dit elle et vous ne

saurez des êtres qu’un dieu je vous

tiens au charmant époux et je vous

verrai temps qu’il me plaira l’émotion

l’ayant éveillé il ne lui donnera que le

souvenir d’une illusion agréable et au

lieu d’un jeune mari la pauvre psyché ne

trouvant dans cette chambre que des

dorures ce qui n’était pas ce qu’elle

cherchait ses inquiétudes recommencèrent

le sommeil ou encore une fois pitié

d’elle il l’a replongée dans les charmes

de ces pavot est la belle h 20 si la

première nuit de ses noces

[Musique]

[Musique]

moment

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