L’amour sans fin

Content d’avoir trouvé dans le livre l’amour sans fin

de l’artiste Glenda Green des informations

chapitre quatre sur les particules d’adamantine

ça serait une sorte de lumière primordiale

qui serait régit par l’amour 

et donc la vie c’est l’amour en action

[su_spoiler title= »Lire la traduction « ]

Le tableau de Glenda Green
Le 23 novembre 1991, elle fut réveillée par une vive lueur qui brillait dans la pièce, un doux rayonnement lumineux qui baignait de lumière toute la pièce.
« Bien que la pièce fût tranquille, des ondes vibraient dans l’air comme si elles provenaient de la chaleur d’une flamme. Elles fusaient dans toutes les directions, emplissant la pièce d’énergie. Alors que j’identifiais du regard l’origine de ces mouvements ondulants argentés et rayonnants, c’est-à-dire dans l’embrasure de la porte en forme d’arche, je constatai qu’ils émanaient d’un point d’extrême luminescence presque aveuglant. Ce resplendissement n’avait rien de commun avec une flamme puisque la pièce tout entière bénéficiait de la même intensité lumineuse. Ce qui était particulier, c’était l’intensité de la luminosité elle-même et les éblouissants motifs argentés et dorés nuancés d’un blanc opalescent et de touches lumineuses couleur lavande, bleu et rose.
Je ne pus fixer l’origine de cette luminescence qu’une seconde, car son éclat remplit mes yeux de larmes. Renversée, je dus détourner le regard. A cet instant-là, j’entendis des sons qui se conjuguèrent pour créer la structure et la cadence d’un langage, même s’il s’agissait d’un langage que je n’avais jamais entendu auparavant. Alors que ces ‘‘mots’’ s’articulaient dans mon esprit pour former une signification, le message devint ‘‘Salutation’’ et j’entendis aussi mon nom.
Sans aucun doute, cette présence était de nature divine. Je tournai la tête pour regarder à nouveau, mais la lumière était tout simplement trop intense. Je fermai les yeux aussi bien pour les protéger que pour pleurer. A peine m’étais-je réfugiée dans ce sanctuaire émotionnel que la Présence m’envoya un rayon d’énergie entre les deux yeux. La pression ressentie m’obligea à les rouvrir et à vérifier si ce que je sentais était vrai. Je vis un flot d’énergie me pénétrer par le front. Je revins ensuite à ma réconfortante vision intérieure et observai une image se détacher dans ma conscience. Il lui fallut environ cinq secondes pour être complète. J’eus même l’impression que cette vision était gravée dans mon nerf optique. Elle était fixée et disponible à mon regard à n’importe quel moment.
Subjuguée par sa beauté, je dirigeai mon attention vers l’intérieur pendant quinze à vingt minutes pour contempler cette vision de Jésus-Christ achevée, tridimensionnelle et holographique. Celui-ci se tenait majestueusement sur le sommet d’une colline surplombant une verte vallée fluviale. Il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait du paysage déjà vu alors que nous traversions le désert du Nouveau-Mexique. Mais maintenant ce paysage était achevé, car le Maître y figurait. De plus, des moutons paissaient et un nuage en volute avait la forme d’un lion. Je n’aurais pu demander de représentation plus vivante ou réaliste à peindre. A part le fait de l’avoir, lui, devant moi pour le peindre, c’était ce qu’il y avait de mieux.
Lorsque je revins à la conscience du monde extérieur, je découvris que la Présence radieuse avait disparu et que tout était redevenu normal. Néanmoins, je savais que j’avais changé à tout jamais. Et cette intuition s’avéra juste, car tout fut différent dans ma vie après ce moment sacré. »
Elle fut ultérieurement informée, sur un mode télépathique, que la toile devait avoir 80 centimètres carrés. Glenda Green pouvait « consulter » la vision à son gré et des détails se mirent à prendre forme, cette vision devenant de plus en plus vivante. C’est le 2 janvier 1992 qu’elle commença à peindre celle-ci. Ce qui lui posait un problème, c’était le fait embarrassant qu’elle devait « se consulter » pour voir Jésus sur son écran intérieur et regarder ensuite vers l’extérieur pour transposer ce qu’elle avait vu. A peine avait-elle eu la pensée de cette difficulté que la vision intérieure se transforma en vision extérieure pour venir s’installer dans la pièce même ! Par la suite, chaque fois que Glenda Green s’installait devant son chevalet, Jésus faisait son apparition en tant que présence tridimensionnelle. Il fallut à Glenda Green 2 ou 3 jours pour finaliser le croquis et elle ne commença donc pas à peindre avant la semaine suivante. L’œuvre était réalisée avec la peinture à l’huile et l’artiste fut étonnée de constater la rapidité avec laquelle elle séchait : la toile sécha toujours en quelques heures (et non pas en quelques jours) pendant toute la période pendant laquelle cette toile fut réalisée.
Glenda Green supposa que son chat pouvait voir Jésus puisqu’il s’installait sur le carton à dessin juste en face de la vision, qu’il fixait chaque jour pendant des heures. Jésus avait parlé à plusieurs reprises au chat et l’avait même caressé une fois. Elle demanda à Jésus si le chat (Gunnar) pouvait le voir. Il répondit par l’affirmative et ajouta que si Gunnar n’appréciait pas sa présence ou ne sentait pas son amour pour lui, il ne verrait rien du tout. Le chat aurait juste remarqué que quelque chose dans la pièce le mettait mal à l’aise et il serait parti. Le chat était là parce qu’il aimait la présence de Jésus et voulait la partager avec Glenda Green.
Le travail fut achevé le 12 mars 1992. La vision disparut alors en un nuage de lumière étincelante. Le tableau fut nommé : « L’Agneau et le Lion ». Nombreux sont ceux qui, l’ayant vu, ont senti en lui une présence vivante. Au cours des 2 années suivantes, cette peinture fit le tour de 5 Etats et visita plus de 80 églises appartenant à la plupart des confessions religieuses : protestante, catholique, charismatique, épiscopale, et même l’Eglise des cow-boys du Christ !
Un jour, un projecteur tomba sur la peinture. Il y eut une bosse de 10 cm avec une déchirure et un accroc de 2,5 cm au milieu de celle-ci. Le lendemain, Glenda Green eut la surprise de constater que le dommage avait disparu ! Elle passa délicatement ses doigts sur la surface, examinant attentivement l’endroit qui avait été déchiré la veille. Tout était parfait : aucune bosse, aucune déchirure, aucun accroc, aucune peinture écaillée. Retournant le tout, elle constata que la trame et la chaîne de la toile étaient aussi tendues et serrées que le jour où elle avait monté et étiré celle-ci sur son cadre. La regardant à contre-jour, Glenda Green ne put voir aucune lumière la traverser ni une seule écaille de peinture enlevée. En examinant l’arrière avec une loupe, elle constata que pas même une fibre n’était entamée.

« La Flamme d’Amour » et l’apparition angélique :
Glenda Green associa la présence de Jésus à une agréable et fraîche senteur qui s’apparentait à celle de l’air frais montagnard que l’on respire après une chute de neige, « un air riche en ozone et imprégné du vivifiant parfum des conifères ». A l’automne 1992, elle détecta, dans une petite église rurale où elle venait de présenter la toile du Maître, le parfum unique qu’elle avait toujours humé lorsque Jésus se trouvait dans son atelier. Elle perçut Jésus. A chaque seconde qui passait, celui-ci rajeunissait, jusqu’au point où il atteignit l’âge d’un nourrisson que sa mère tenait dans ses bras. Marie était jeune et son allure dénotait ses origines hébraïques.
La vision se stabilisa et resta ainsi durant les 2 mois au cours desquels Glenda Green la peignit. « La Flamme d’Amour » fut le nom donné à la peinture. Elle fut achevée 9 mois après l’achèvement de « L’Agneau et le Lion ».
Il arriva à Glenda Green d’être une nouvelle fois réveillée, dans sa maison, par une « lumière sacrée », à 3 h du matin. En l’espace de quelques minutes, la lumière se concentra dans un coin de la pièce et prit la forme d’un ange. Ce dernier lui dit que ses prières avaient été entendues et que des dispositions étaient prises pour que sa toile (« L’Agneau et le Lion ») puisse trouver sa place quelque part. Elle entendit une superbe musique céleste, son esprit percevant simultanément des mots prononcés en anglais. Elle eut la nette impression que la musique que l’ange « parlait » était un langage universel qui aurait pu être traduit, par la personne l’entendant, dans n’importe quelle langue lui étant propre. Elle eut l’impression que cette apparition resta environ 20 minutes, mais ce fut probablement moins que cela, dit-elle. Avant de s’en aller, l’ange posa sa « main » sur le cœur de Glenda Green et dit qu’il lui laissait ce « germe de conscience » à partir duquel elle recevra d’autres visions et instructions. Ultérieurement, elle entendit à nouveau la musique et des paroles lui parvinrent, l’ange lui précisant qu’elle devait faire un « paravent à prière ». La seule conclusion logique qu’elle pouvait tirer de cette idée de paravent à prière est qu’un tel objet pourrait susciter l’esprit de révérence permettant de prier et de méditer avec plus d’efficacité. Un jour, elle trouva une porte creuse en frêne de 60 cm de large. Avec des charnières, elle pouvait accoler 3 de ces portes et en faire un superbe paravent (avec quelques décorations et du vernis). Elle peignit des anges sur les portes.
La peinture « L’Agneau et le Lion » finit par se retrouver dans une chapelle. Debbie Truman, la personne qui avait acheté à Glenda Green les premiers anges, fit un rêve au cours duquel il lui fut dit que la toile « L’Agneau et le Lion » avait enfin trouvé sa demeure définitive. « L’Agneau et le Lion » et « La Flamme d’Amour » furent installés dans leur nouvelle demeure. Glenda Green eut, au fil des années, de brefs contacts avec le Maître, contacts qui s’accompagnèrent de « moments de communion éclairants et réconfortants ».

L’enseignement :
Pendant la période où Jésus lui apparut, Glenda Green prit de nombreuses notes, parfois même pendant qu’elle peignait, et souvent le soir, dans son journal personnel. Elle n’avait soufflé mot à personne de ces notes. Mais au printemps 1996, Jésus lui demanda de parler de celles-ci, et elle commença à transmettre les messages dès mai 1996.
Ayant entamé une conversation avec Jésus, elle lui a posé des questions sur divers sujets d’ordre métaphysique et sur sa vie. Jésus a ainsi commenté les Béatitudes (qui font partie du Sermon sur la montagne), ainsi que les 10 Commandements. Il a évoqué Judas, les 3 composantes de l’Univers (l’amour, l’esprit et les « particules adamentines »), certaines questions de physique (la théorie du « Big-Bang », les « trous noirs », l’antimatière et la matière), et divers sujets métaphysiques ou spirituels comme la réincarnation, l’Amour, la notion de « Cœur sacré », les 7 dimensions d’intelligence ayant leur source dans le cœur : l’unité, l’amour, la vie, le respect, l’honnêteté, la justice et la bienveillance. Ces 7 passions constituant la COMPASSION, qui est le véritable savoir de l’âme. Jésus évoque aussi les prophéties, le Livre des révélations (l’Apocalypse de saint Jean)… Je développe, dans mon livre, divers aspects de cet enseignement.
Evoquons seulement, ici, ce que Jésus a dit à propos des déplacements dans l’Espace et des autres planètes habitées :
A propos des déplacements dans l’Espace, Jésus précise qu’il est impossible de voyager dans l’Univers « avec la technologie du génie aéronautique fondée sur la force ». La force fonctionne sur des distances limitées (dans le système solaire), mais l’humanité ne pourra pas traverser la galaxie grâce à la force. Nous entrerons bientôt dans un monde de technologies très avancées non fondées sur cette force. Glenda Green eut l’impression que Jésus ne voulait pas aborder un sujet aussi vaste que celui des autres planètes habitées, même s’il était clair qu’il en savait plus qu’il ne voulait le reconnaître. Il déclara que nous avons « des frères plus jeunes et plus vieux ailleurs ».
« Il faut tout d’abord que survienne un changement sur le plan de la conscience avant qu’une grande avancée technologique soit possible. Votre planète et d’autres du genre sont comme des îles flottant dans un immense océan où la distance entre elles ne peut être couverte mécaniquement. Les êtres qui y arrivent ont développé la conscience qui leur permet de voyager dans l’espace sans faire appel à la force. Bien plus que les habitants de votre planète, ils respecteraient le besoin de communiquer et d’échanger par consentement mutuel. Cet esprit de mutualité constitue la loi des échanges intergalactiques. Les civilisations qui sont vos égales ou vos inférieures ne peuvent pas plus vous atteindre que vous ne le pouvez. La distance qui vous sépare est suffisamment grande pour faire en sorte que cela reste ainsi, du moins jusqu’à ce que le paradigme de la force ait été délaissé.

Je vous induirais en erreur si je vous disais que la collectivité galactique est dénuée d’agitations et de mauvaise conduite, car le libre arbitre est TOUJOURS une constante. Cependant, une règle s’applique en général, sur laquelle vous pouvez compter pour trouver un certain réconfort. Ceux qui pourraient vous faire du mal ne peuvent pas arriver jusqu’à vous. Et ceux qui le peuvent ne vous feraient probablement aucun mal. Dans son immense sagesse, le Créateur jugea bon de suffisamment espacer les planètes porteuses de vie pour que cette règle prévale toujours. Ceci se combine avec le fait secondaire que toutes les véritables technologies de pointe sont fondées sur les principes de la synchronicité, le modèle holistique et le respect des mécanismes de la vie. L’idée que des maraudeurs voyagent à la vitesse de la lumière ou plus vite, par pur besoin de conquête, est de la pure fiction. La synchronicité requise pour aboutir à cette technologie ne pourrait pas provenir d’une conscience basée sur le conflit. » (4)

 

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