nous avons exploré plusieurs aspects liés à l’art, la créativité, les émotions et l’expression de soi. L’artiste décrit son processus de connexion avec les besoins des personnes qu’elle représente dans ses portraits, soulignant l’importance de briser l’image narcissique pour atteindre une authenticité profonde.
L’auteur aborde également la notion de narcissisme dans le monde artistique, en mettant en évidence la collaboration entre artistes pour réaliser leurs projets et en valorisant les créations authentiques d’artistes singuliers.
Elle est également question de l’évolution du regard dans l’art au fil des siècles, où les artistes ont progressivement déplacé leur attention vers leur propre intérieur plutôt que vers des représentations extérieures.
Une personne sensible partage son expérience de reconnexion avec ses émotions après les avoir anesthésiées, en utilisant notamment un tarot des émotions pour se rapprocher d’elles.
Dans une histoire, une mère exprime son agacement envers un homme conduisant un 4×4, réalisant finalement que ce sentiment cache des émotions plus profondes qu’elle doit explorer pour son épanouissement personnel.
L’auteur insiste sur l’importance d’exprimer toutes les émotions, positives ou négatives, pour parvenir à une véritable liberté intérieure et dénonce la fausse positivité répandue dans la société.
Elle est également souligné que se sentir chez soi implique d’être libre d’exprimer ses émotions et que la créativité et le jeu peuvent être des outils pour dépasser les tensions et les frustrations dans une communauté.
Enfin, l’ouverture d’un espace d’écoute sans jugement est mise en avant pour permettre à chacun d’exprimer ses émotions et d’atteindre un équilibre émotionnel.
Le mythe de Pinocchio est évoqué, illustrant comment l’expression des émotions peut transformer un être artificiel en être humain, rappelant l’importance de reconnaître et d’exprimer ses émotions pour se reconnecter à soi-même.
Dans l’ensemble, cette synthèse explore la profondeur des émotions, la créativité authentique, l’importance de l’expression de soi et la nécessité de briser les barrières narcissiques pour atteindre une véritable liberté intérieure.
texte aborde le concept de dissociation et son impact sur l’être intérieur. Elle souligne l’importance de la communication réelle, de l’observation des émotions et de l’utilisation correcte des mots pour se comprendre. L’auteur propose une méthode de jeu de rôle pour aider les personnes à se libérer de leur drame personnel et à se réactualiser dans le présent.
Elle met en évidence les conséquences de la dissociation, notamment la projection de mal-être sur les autres, les oppressions, la torpeur et l’angoisse. L’auteur souligne l’importance de reconnaître nos droits fondamentaux et de ne pas porter la responsabilité du mal-être causé par l’agression ou le harcèlement subi.
Le texte aborde également la manière dont les enfants portent souvent le mal-être des adultes, créant ainsi des dynamiques problématiques. Elle encourage à développer la connectivité intérieure, l’intelligence et la compréhension réelle pour apporter sa singularité et sa richesse au monde.
Pour mettre un terme à la dissociation et développer son intelligence, l’auteur propose d’informer les adultes sur ces phénomènes, de verbaliser les problèmes et de mettre en lumière les aspects occultes. Une communication réelle et une écoute des besoins véritables des enfants sont essentielles pour leur permettre de se construire et de se sentir en sécurité.
En conclusion, le texte insiste sur l’importance de se reconnecter à son être intérieur, de développer son intelligence et son potentiel, et de promouvoir une communication réelle pour construire des relations épanouissantes et apporter des contributions positives au monde.
La synthèse aborde le lien entre la discipline et l’écoute dans l’éducation des enfants. L’auteur insiste sur l’importance d’écouter les besoins de l’enfant pour favoriser son développement intellectuel et émotionnel. Elle souligne que les enfants ont besoin d’une guidance bienveillante plutôt que d’un traitement animal. L’auteur utilise l’exemple de son chien pour illustrer comment la confiance et l’écoute ont transformé son comportement.
En outre, l’auteur évoque la déportation du mal-être, en expliquant comment cela peut affecter les enfants de manière profonde. Elle explique comment les enfants développent des stratégies de survie, comme « faire le mort », pour dissimuler leurs difficultés et leur souffrance. Ces stratégies peuvent être malaisantes et peuvent même conduire à une mise en scène de la joie sur les réseaux sociaux.
Le texte souligne également l’importance de se guérir soi-même et de ne pas déporter son mal-être sur les autres. Elle critique le fait de construire une identité artificielle pour plaire aux autres, ce qui peut entraîner une perte de confiance en soi dans certaines situations.
Le texte aborde également le sujet du harcèlement, expliquant comment il fonctionne sur la base de rumeurs déformées par la jalousie et le sentiment d’infériorité. Elle encourage à se protéger de ces dynamiques destructrices et à verbaliser son refus de se laisser porter les problèmes des autres.
Enfin, le texte évoque la dépendance aux écrans et l’utilisation des réseaux sociaux pour obtenir reconnaissance et amour. Elle souligne l’importance d’exprimer et de reconnaître toutes nos émotions, même celles perçues comme négatives, pour être véritablement en accord avec nous-mêmes et avec les autres.
En conclusion, le texte met en avant l’importance de l’écoute, de la bienveillance et de la guérison personnelle dans l’éducation et les relations sociales. Elle encourage à ne pas déporter son mal-être sur les autres et à se protéger des dynamiques destructrices tout en étant authentique dans l’expression de ses émotions.
La synthèse ci-dessus traite de différents aspects liés à la vie réelle, notamment l’impact négatif des réseaux sociaux sur notre bien-être, l’importance de ne pas chercher constamment la validation des autres pour agir, et la capacité de changer le monde en tant qu’artiste en se connectant à son être véritable. Voici les principaux points abordés dans chaque partie :
1. Conséquences néfastes des réseaux sociaux sur notre bien-être : L’utilisation excessive des réseaux sociaux, tels qu’Instagram, peut nous éloigner de nos véritables besoins et de notre identité. En cherchant constamment à se comparer aux autres, nous renforçons notre complexe d’infériorité et nous enfermons dans une forme artificielle, ce qui nuit à notre bien-être.
2. Importance de ne pas chercher la validation des autres pour agir : L’auteur critique ceux qui créent des œuvres artistiques uniquement pour plaire au public et obtenir des succès. Elle soutient qu’il est essentiel de se concentrer sur ses propres besoins authentiques plutôt que de rechercher constamment l’approbation des autres, évitant ainsi de perdre sa propre identité.
3. Changer le monde en tant qu’artiste : L’auteur exprime son point de vue sur la possibilité de changer le monde en mettant en lumière l’inconscience des êtres humains et en les reconnectant à leur être véritable. Elle affirme que c’est en développant son propre art et en s’épanouissant que l’on peut améliorer son environnement et devenir plus intelligent.
4. La connexion à soi pour améliorer le monde : L’idée que le royaume de Dieu se trouve en nous et autour de nous suggère que chacun est en réalité son propre Dieu. En se reconnectant à soi-même, les êtres humains deviennent plus intelligents, épanouis et améliorent naturellement leur environnement.
En somme, cette synthèse met en évidence l’importance de se reconnecter à soi-même, de se concentrer sur ses propres besoins authentiques et de ne pas chercher constamment l’approbation des autres pour vivre une vie plus épanouissante et influencer positivement le monde qui nous entoure.
l’artiste remercie Nicolas et Héloïse d’avoir commandé un portrait. Elle explique que lorsqu’elle réalise un portrait, elle se connecte avec le besoin de la personne à un moment précis. Pour le portrait de Nicolas, elle a ressenti que son besoin ressemblait à celui d’un guide. Pour celui d’Héloïse, elle avait des envies artistiques mais a ressenti une peur qui lui a fait comprendre qu’elle devrait déconstruire son image idéale et se concentrer sur les besoins authentiques de la personne. Elle présente ce processus comme une façon de casser l’image narcissique parfaite que l’on a de soi-même. Finalement, l’artiste explique que les représentations artistiques peuvent prendre différentes formes pour refléter les besoins de l’être.
La fantaisie est décrite comme une folie douce, une manifestation de l’autocontrôle et du perfectionnisme. Elle est considérée comme un art médiumnique, bien que le terme ne soit pas apprécié. L’art sympathique est préféré, symbolisant la connexion et la légèreté. L’art contemporain et l’art singulier sont explorés, avec une préférence pour ce qui est authentique et vrai plutôt que formel et artificiel. L’artiste souligne l’importance de suivre ses ressentis pour créer et se connecter à son être intérieur.
Dans cet extrait, l’auteur exprime sa compréhension de la notion de narcissisme dans le monde artistique. Il observe que les artistes narcissiques ont besoin du soutien et de la contribution d’autres personnes pour réaliser leurs projets. L’auteur prend l’exemple de David Bowie pour illustrer cette idée, soulignant que son entreprise artistique s’est poursuivie après sa mort grâce à la collaboration de nombreux individus. Il remarque également que dans le monde contemporain, les artistes se soutiennent mutuellement, créant ainsi un réseau de narcissisme où chacun trouve sa place. Toutefois, l’auteur fait remarquer que les projets artistiques authentiques, tels que l’œuvre du facteur Cheval, sont souvent le résultat du travail d’un seul individu et expriment la singularité de cet être. L’auteur insiste sur l’importance de se questionner sur les motivations profondes de ses propres créations artistiques, afin de distinguer entre une recherche de reconnaissance narcissique et un épanouissement personnel sincère. Il souligne également que le narcissisme privilégie le court terme et peut être prêt à exploiter les autres pour réussir, tandis que la recherche de l’être véritable demande du temps et une vision à long terme. Enfin, l’auteur met en avant les artistes singuliers, considérés comme des avant-gardistes, qui montrent que le véritable chemin créatif réside dans l’expression de son intériorité.
l’auteur parle de l’évolution du regard dans l’art au fil des siècles. Il explique que progressivement, les artistes ont déplacé leur attention de Dieu et de l’extérieur vers leur propre intérieur. Ils ont cherché à exprimer ce qui émanait d’eux-mêmes, sans se soucier de représenter des formes spécifiques. L’auteur critique également le narcissisme et la quête de reconnaissance dans l’art contemporain, en soulignant l’importance de la singularité et de la libération artistique sans conditionnements. Il envisage également un futur où l’art sera un moyen pour les individus non conditionnés de célébrer leur existence et de se libérer à travers leur créativité. L’auteur aborde également la notion de verbalisation des émotions, affirmant que cela permet de se sentir libre et dégagé. Il remet en question le concept de personne éveillée sans émotions et souligne l’importance de la conscience et de l’expression émotionnelle pour la liberté intérieure. Finalement, il aborde le sujet de la honte associée à certaines émotions et rappelle l’importance de l’authenticité et de l’acceptation de soi.
L’affirmation de soi et la maturité dépendent de notre capacité à accepter les émotions négatives et la négativité. L’auteur reconnaît que certaines de ses vidéos peuvent susciter de la gêne voire du dégoût, mais il considère que c’est précisément le but de son travail artistique : exposer cette négativité pour libérer les tabous qui l’entourent. Il mentionne l’exemple de l’acteur Jean-Pierre Bacri, qui montrait que la négativité fait également partie de l’humanité. Il soutient que l’enfant est souvent empêché d’exprimer sa négativité pour ne pas ajouter de complications à la vie de ses parents, mais que cela peut causer plus de dommages en la refoulant. Il encourage donc la verbalisation des émotions négatives comme un droit fondamental et un moyen de se transformer et de devenir transparent. Les émotions peuvent être complexes et superposées, et il existe toute une gamme d’émotions subtiles difficiles à percevoir et à identifier. Les adultes ont souvent gelé leur système sensoriel pour survivre, mais il est important de reconnaître et de ressentir ses émotions pour gérer efficacement les informations qu’elles fournissent. Enfin, la société actuelle encourage souvent une fausse positivité et une image de joie simulée pour survivre et se conformer aux attentes.
la personne sensible aborde la difficulté de reprendre contact avec ses émotions après les avoir anesthésiées. Elle explique son choix de commencer par exprimer « rien » ou une absence d’émotion, car cela peut indiquer un blocage émotionnel. Elle parle ensuite de sa création d’un tarot des émotions, un outil qu’elle utilise pour se rapprocher de ses émotions lorsqu’elle se sent déconnectée de soi-même. Elle mentionne certaines émotions souvent négligées, telles que la jeunesse, l’embarras, la confusion et la honte, et l’importance d’apprendre à les identifier et à les verbaliser dès le plus jeune âge. Elle explique que la honte peut conduire à la dissociation et à la dissociation de soi. Elle souligne l’importance d’accepter toutes les émotions, qu’elles soient positives ou négatives, car elles sont toutes liées. Elle mentionne également que l’agacement est souvent une émotion qui cache la jalousie, et que la jalousie est une émotion qu’elle a longtemps refusé d’accepter, mais qu’elle a finalement dû faire face à elle-même lorsqu’elle se retrouvait seule. Finalement, elle explique que l’agacement cache souvent un interdit, qui est en réalité un besoin authentique qu’il faut déverrouiller pour se libérer. Elle donne l’exemple d’une femme qui élève ses enfants de manière très saine, mais qui se sent agacée par une personne qui conduit un 4×4 en polluant l’air, ce qui cache son besoin de protéger l’environnement.
Dans cette histoire, la mère est agacée par un homme qui conduit un 4×4 et elle lui crie dessus car elle pense qu’il contribue à la dégradation du monde et à l’intoxication de ses enfants. Cependant, elle réalise ensuite qu’elle est jalouse de lui, non pas à cause du véhicule en lui-même mais parce qu’elle-même s’oublie en se concentrant trop sur ses idéaux et les besoins de ses enfants. Elle s’aperçoit alors qu’elle doit d’abord penser à son propre épanouissement plutôt que de vivre pour ses idéaux, et cela commence à changer sa vie et à être bénéfique pour ses enfants. Elle envoie même une carte de remerciement à l’homme du 4×4. L’histoire explore également les émotions refoulées et les émotions refuges, qui peuvent conduire à l’autodestruction ou à l’entretien de comportements négatifs. L’orgueil est également mentionné comme une carapace qui peut être nourrie par ces émotions refuges. Finalement, il est rappelé que chacun a sa propre temporalité pour se développer et qu’il ne faut pas forcer une ouverture qui n’est pas prête à se produire.
Dans cette synthèse, il est expliqué que se sentir chez soi signifie se sentir libre d’exprimer nos émotions. L’auteur souligne que toutes les émotions peuvent nous traverser, mais que l’expression de celles-ci peut engendrer de nouvelles émotions. Il partage également son expérience de réalisation de vidéos, expliquant qu’il peut sembler tourmenté lorsqu’il parle, mais une fois qu’il a exprimé ses sentiments, il se sent libéré et joyeux. L’auteur critique également le fait que de nombreuses personnes montrent de fausses illusions de bonheur sans exprimer leur mal-être intérieur, ce qui nourrit le mal-être. Il évoque ensuite l’importance d’exprimer nos émotions et de ne pas mentir envers soi-même, car cela peut créer des bombes émotionnelles en nous. Il explique également que nous pouvons ressentir les émotions des autres, mais cela ne signifie pas que ce sont les nôtres. Enfin, il parle de la créativité et du jeu comme outils pour dépasser les tensions et les frustrations au sein d’une communauté, et donne l’exemple d’un groupe de personnes qui fabriquent une « boule de non-dits » pour exprimer leurs émotions et retrouver leur état d’enfance.
L’auteur parle de l’importance d’ouvrir un espace d’écoute où les gens peuvent exprimer leurs émotions sans être jugés. Il souligne que la honte et l’interdiction d’être mal sont des blocages qui empêchent les individus de se libérer émotionnellement. Il fait également le lien entre les chakras et les émotions, suggérant que l’équilibre émotionnel peut être atteint en verbalisant et en prenant conscience de ses émotions. Il mentionne également une interview de Jane Birkin dans laquelle elle exprime sa peur de ne pas être assez et souligne l’importance de pouvoir exprimer ce sentiment de vacuité pour renouer avec soi-même.
Le mythe de Pinocchio raconte l’histoire d’un pantin qui se transforme en petit garçon. Il a connu plusieurs adaptations, dont une réalisée par Spielberg ou Cameron appelée « IA Intelligence Artificielle », où un robot devient humain grâce à l’arrivée de l’émotion en lui. Ce phénomène est similaire à celui observé chez les enfants victimes de harcèlement, qui adoptent souvent une attitude de simulation pour survivre. Dans ces cas-là, les parents peuvent ne pas remarquer les signes ou ne pas être conscients de l’agression psychologique subie par leur enfant. L’expression des émotions permet de transformer la peine en renouvellement, tandis que la non-expression peut conduire à une pétrification de l’être intérieur. Le tarot des émotions est un outil utilisé pour prendre contact avec ses propres émotions et son intériorité. Il existe différents états intérieurs représentés par des couleurs et des dessins dans le jeu de cartes, qui permettent de communiquer sur son état émotionnel avec les autres.
Dans cette communication, l’auteur parle de l’importance de la communication réelle qui part de l’intériorité et de l’observation des émotions. Il explique que les mots ont un sens et qu’il est important de les utiliser correctement pour se comprendre. Il aborde également la dissociation et comment elle est renforcée par la dépendance passive aux écrans. L’auteur précise ensuite sa méthode pour aider les gens à se libérer de leur drame personnel, en ajustant ses mots et en mettant en place un jeu de rôle basé sur l’intelligence et la compréhension réelle de l’événement dissociatif.
La personne souligne l’importance d’agir en conséquence lorsqu’on subit une agression ou un traumatisme. Elle explique que lorsqu’on est enfant, on n’a pas toujours conscience de nos droits et on ne verbalise pas nécessairement ce que l’on a subi. En conséquence, on ne peut pas agir adéquatement et la personne responsable de nous ne dépose pas nécessairement plainte. Cela maintient notre statut de victime et nous portons la faute toute notre vie. L’agression, qu’elle soit physique, intimidation, humiliation ou harcèlement, peut causer un mal-être profond et la personne victime se retrouve à porter la responsabilité du mal-être de l’agresseur. L’auteure propose une méthode de résolution par le biais d’un jeu de rôle, où la personne peut se libérer de son drame personnel et se réactualiser dans le présent. Elle remet en question l’utilisation du mot « traumatisme » car il renvoie à des accidents physiques violents, alors que les événements traumatiques dont elle parle peuvent être plus subtils et avoir un impact profond sur notre être. Elle préfère utiliser le terme de dissociation pour décrire le processus de séparation de soi et de son vrai moi.
La dissociation est un processus qui se produit en réaction à une situation d’intimidation ou de subjugation par une personne plus puissante. Cela crée une paralysie émotionnelle et sensitive pendant laquelle l’individu n’est plus vraiment lui-même. Cette expérience de non-être peut être associée à une sensation de mort intérieure. La vie et la mort sont en réalité des états ressentis en nous et ne dépendent pas des activités extérieures. La dissociation peut avoir des conséquences durables sur notre façon d’être et nous amener à chercher la reconnaissance à travers des comportements manipulateurs ou narcissiques. Il est important de prendre conscience de ce processus pour se libérer de l’emprise qu’il peut avoir sur nous.
L’intervenant aborde plusieurs concepts liés à la dissociation et à ses conséquences sur les individus. Il mentionne que la dissociation peut survenir en raison de la subjugation, de l’intimidation et de l’humiliation, qui entraînent l’introduction de la honte. Il souligne l’importance d’expliquer aux enfants ce qu’est la honte et d’aider à verbaliser cette émotion. La honte est décrite comme l’émotion la plus destructrice, car elle conduit à se fuir soi-même et à rejeter son propre être. L’intervenant parle également de la déportation du mal-être, qui consiste à projeter ses propres problèmes sur autrui. Il souligne que la compréhension de la dissociation est essentielle pour la stopper et rappelle que le silence et le secret entourant les agressions peuvent être également destructeurs. L’intervenant évoque également le conditionnement qui nous pousse à croire que nous méritons ce qui nous arrive de mal. Il souligne l’importance de reconnaître nos droits fondamentaux et d’informer les enfants de ces droits. Enfin, il mentionne, entre autres, la nécessité de prendre conscience de l’agression subie et de prendre des mesures appropriées, même si la plainte peut être impossible.
Les enfants portent souvent le mal-être de leurs parents ou grands-parents, ce qui perpétue une tradition où ils sont instrumentalisés pour porter les souffrances et les dossiers que les adultes ne peuvent pas gérer. Les adultes ont facilement l’ascendant sur les enfants car ces derniers sont isolés et vulnérables, tandis que les adultes ont des alliés. Cette dynamique est basée sur un complexe d’infériorité qui pousse les individus à prendre l’ascendant sur d’autres pour compenser leur propre souffrance. Cependant, il est important de connaître nos droits fondamentaux en tant qu’être humain, notamment le droit à la dignité, qui interdit à quiconque de prendre l’ascendant sur nous ou de nous humilier. Si cela se produit, la personne responsable nous doit des excuses et des réparations.
Il existe un conditionnement religieux qui empêche souvent les gens de chercher à comprendre, en leur demandant simplement de croire sans questionner. Cependant, la compréhension réelle et juste est libératrice. Il est important de se comprendre soi-même en observant nos ressentis, en mettant des mots sur nos expériences et en faisant des liens entre celles-ci et les conséquences dans notre vie. Il ne faut pas avoir peur d’être créatif en créant de nouveaux concepts pour donner sens à de nouvelles expériences.
Tout le monde est dissocié, pas seulement ceux ayant vécu des traumatismes graves dans leur enfance. Cela est dû au fait que chaque individu porte en lui un aspect authentique et un aspect artificiel, un « double quantique ». Ce dernier est un personnage menteur, artificiel et séducteur. Si les gens étaient réellement en contact avec leur véritable être, le monde ne serait pas tel qu’il est aujourd’hui, où les individus cherchent à prouver leur valeur plutôt qu’à apporter leur singularité et leur richesse au monde.
Ce texte souligne l’importance de la connectivité intérieure et de l’intelligence dans le monde. Il aborde également la destruction de l’environnement, la prédation et l’instrumentalisation comme étant des conséquences du système dans lequel nous vivons. L’auteur met en avant l’impact de la déportation du mal-être sur les autres, notamment dans les relations familiales. Il explique que cette déportation crée une matière invisible qui engendre des oppressions, de la torpeur et de l’angoisse. Il propose de verbaliser cette matière afin d’en prendre conscience et de la maîtriser plutôt que de la déporter sur les autres. L’auteur souligne les conséquences destructrices du harcèlement et soutient que les relations doivent être basées sur des échanges créatifs et épanouissants plutôt que sur la récupération du mal-être de l’autre.
Le fait de se mettre en colère contre quelqu’un montre que l’on se soucie de cette personne. Cependant, il est important de ne pas prendre les problèmes des autres sur soi, car cela peut nuire à notre propre bien-être. Il ne faut pas penser que pour être proche de quelqu’un, il faut résoudre ses problèmes. Au contraire, prendre les problèmes de l’autre ne l’aide pas à les résoudre et peut même les nourrir. Il est nécessaire de se poser la question si une relation ne nous épanouit pas parce que nous avons pris les problèmes de l’autre. Il faut être capable de bien être dans sa solitude et laisser l’autre résoudre ses propres problèmes. Les femmes sont souvent conditionnées à attendre que les hommes les aident et les protègent, ce qui peut créer des dynamiques problématiques. La liberté d’expression ne signifie pas la liberté de nuire et il est important de comprendre la différence entre les deux. La nuisance consiste à décharger son propre mal-être sur quelqu’un d’autre, ce qui peut être destructeur, notamment chez les jeunes en construction de leur identité.
Il m’a pris beaucoup de temps pour intégrer toutes ces informations et synthétiser mes pensées. La meilleure façon de comprendre les phénomènes est de s’observer soi-même à travers l’observation réelle de nos propres mécanismes. J’ai dû observer mon propre harcèlement pour le comprendre.
Il est important de noter la différence entre le harcèlement exercé par un adulte sur un enfant et le harcèlement entre adultes. Entre adultes, la dissociation est déjà présente, il y a un transfert de mémoire du passé sur la personne en face de nous, mais qui n’est pas notre agresseur réel. Cela ravive simplement des blessures déjà existantes. Entre adultes, le système accusatoire s’active.
Le harcèlement exercé par un adulte sur un enfant est encore plus grave, car cela crée une agression intérieure et une fracture qui peut mener l’enfant à mener une vie où il se détruit, que ce soit dans des relations toxiques ou en s’acharnant au travail. Cela peut entraîner toute une série de comportements destructeurs.
La question que je me pose est comment mettre un terme à cela. La dissociation détruit nos rencontres et nous pousse à faire des choses inutiles et à prouver constamment notre valeur. Comment faire pour se reconnecter à notre être, pour développer notre intelligence et notre haut potentiel, et ainsi s’épanouir et apporter des choses nouvelles et intelligentes au monde ?
Une solution serait d’informer les adultes sur la dissociation et la déportation du mal-être, de verbaliser les problèmes et de mettre en lumière les phénomènes occultes. Plus on en parle, plus les enfants pourront développer leur autorité et leur intelligence pour dire non. Il ne s’agit pas simplement de dire oui à tout, mais de communiquer et d’écouter réellement les besoins des enfants.
Aujourd’hui, nous voyons des enfants qui pètent les plombs dans les supermarchés car ils n’obtiennent pas un jouet, ou des enfants nourris d’un mal-être constant. Il manque une communication réelle et une écoute des besoins véritables de l’enfant, car même les parents sont déconnectés de leurs propres besoins. Il est donc essentiel de fournir un cadre solide à l’enfant pour qu’il puisse se construire et se sentir en sécurité.
Le passage évoque le lien entre la discipline et l’écoute dans l’éducation des enfants. L’auteur souligne l’importance d’écouter les besoins de l’enfant pour favoriser son développement intellectuel et son épanouissement. Il insiste sur le fait que les enfants ont besoin de discipline, mais pas au sens de traitement animal, mais plutôt d’une guidance bienveillante. L’auteur utilise l’exemple de son chien pour illustrer comment la confiance et l’écoute ont transformé son comportement.
L’auteur aborde également la déportation du mal-être, en expliquant comment il a été victime de la jalousie d’un adulte pendant son enfance, ce qui a entraîné des traumas et des dissociations. Il souligne que cette déportation est motivée par la jalousie de l’adulte envers l’enfant qui ne partage pas son mal-être, ainsi que par le besoin de compenser un complexe d’infériorité. L’événement dissociatif vécu par les enfants est complexe et peut les affecter profondément, entraînant une paralysie, une incompréhension, une humiliation et une déportation du mal-être.
L’auteur explique ensuite comment l’enfant développe des stratégies inconscientes de survie en adoptant un comportement de « faire le mort », c’est-à-dire de simuler le bien-être et de chercher à dissimuler ses difficultés et sa souffrance. Cette stratégie, ancrée dans notre cerveau primaire, est comparable au réflexe de certains animaux qui font le mort pour échapper à un prédateur. L’auteur souligne que cette simulation de bien-être peut être malaisante, car elle dissimule la véritable souffrance et peut même conduire à une « mise en scène » de la joie sur les réseaux sociaux.
En résumé, l’auteur met en évidence l’importance de l’écoute et de la bienveillance dans l’éducation des enfants, tout en expliquant les conséquences néfastes d’une déportation du mal-être sur eux. Il souligne également le rôle des stratégies de survie, telles que « faire le mort », qu’ils adoptent pour dissimuler leurs difficultés.
La personne se sent très mal à l’aise lorsqu’elle croise des gens de son âge car elle ressent une identification directe et un faux sourire de leur part. Elle évite donc de passer devant chez eux pour ne pas se sentir mal. Elle aurait aimé leur dire qu’ils la mettent mal à l’aise avec leurs sourires faux qui cachent leur mal-être, mais elle n’en a pas eu le courage. Elle constate également que les gens sont constamment gênés et ont toujours besoin de sourire pour paraître bien, ce qui rend la situation encore plus inconfortable. Elle explique que nous construisons une identité artificielle pour plaire aux autres, mais cela nous fait perdre confiance en nous dans certaines situations. Elle insiste sur la responsabilité individuelle et critique ceux qui se laissent manipuler par d’autres pour se reprogrammer. Elle conclut en expliquant que ce système de victimisation et de recherche de perfection mène à des problèmes tels que le burnout. Elle prend Madonna comme exemple d’une personne obsédée par la recherche de perfection et de reconnaissance, mais qui manque de confiance en elle.
La dissociation est un phénomène récemment abordé qui nécessite une observation précise de soi-même pour être compris. Beaucoup de professionnels citent Freud, ce qui est obsolète. Il faut être présent à soi-même pour se rappeler de cet événement dissociatif. Les techniques d’accompagnement comme l’hypnose peuvent ne pas permettre un rappel précis car elles placent la personne dans un état de semi-veille. L’aide à l’identification d’un événement dissociatif est plus efficace lorsque la personne est énervée ou en colère, car elle est plus présente et peut mieux se rappeler. La dissociation a été minimisée et il est nécessaire de raviver sa sensibilité pour s’en rappeler. L’exemple est donné d’une personne qui minimise un événement traumatisant de sa vie. Il est important de reconnaître ses droits en tant qu’être humain, notamment le droit de dire non et de mettre en lumière les mécanismes d’agression subis. La parole est l’arme de défense ultime. Il ne faut pas permettre à quelqu’un de déporter son mal-être sur soi, car cela détruit petit à petit une personne. Dans de nombreuses familles, le mal-être des parents est déporté sur les enfants, qui croient le mériter et acceptent de le prendre sur eux.
Le texte parle notamment du fait que déporter son propre mal-être sur quelqu’un d’autre peut soulager la personne qui l’a fait, mais qu’en réalité, un adulte doit être capable de se guérir lui-même et de traiter son propre poison. L’auteur affirme que toute personne qui déporte son poison sur quelqu’un d’autre doit présenter des excuses sincères et offrir des réparations financières. Il souligne également l’importance de la compensation financière pour replacer la faute sur la bonne personne et débarrasser la victime du mal-être qui ne lui appartient pas.
Par la suite, le texte aborde le sujet du harcèlement, en particulier chez les enfants. Il explique que le harcèlement fonctionne sur la base de la construction d’une rumeur basée sur des informations erronées ou obsolètes. Ces rumeurs sont souvent déformées par la jalousie et sont motivées par le fait de se sentir inférieur à la personne harcelée. L’auteur souligne que le harcèlement est une déportation du mal-être d’une personne sur une autre.
En résumé, le texte met en évidence l’importance de se guérir soi-même et de ne pas déporter son mal-être sur les autres. Il explique également comment le harcèlement est motivé par la jalousie et la perception de singularité chez la personne harcelée.
Il est important de savoir dire non et de faire part des situations de harcèlement ou de mal-être à des personnes responsables, que ce soit en tant qu’enfant ou en tant qu’employé. Faire cela ne fait pas de nous une mauvaise personne, il s’agit d’affirmer notre dignité et notre amour-propre. Il ne faut pas se laisser porter les problèmes des autres, car cela devient rapidement un problème pour nous. Il est essentiel de verbaliser notre refus, d’interdire à autrui de décharger son mal-être sur nous. Ce mécanisme de déportation est possible tant que nous ne comprenons pas ce qui nous arrive et que nous l’acceptons inconsciemment. Les réseaux sociaux peuvent amplifier les situations de mal-être en propageant des rumeurs et en permettant aux sentiments négatifs des uns de se joindre à ceux des autres pour s’en prendre à une personne ciblée. Cela peut conduire à une diminution de l’estime de soi et à des doutes quant à la vérité des rumeurs. Il est essentiel de se protéger de ces dynamiques destructrices et de ne pas croire aux fausses croyances telles que la loi du karma. Ces croyances peuvent avoir un impact destructeur sur les enfants et les adolescents qui croient les mériter tout mal qui leur arrive.
La personne exprime le fait qu’elle se sent responsable de la situation difficile dans laquelle elle se trouve. Elle souligne que le mal-être qu’elle ressent est causé par des adultes qui sont coupés de leurs émotions et ne réalisent pas l’impact de leurs actions sur les enfants. Elle affirme que personne ne lui a jamais enseigné ses droits fondamentaux et le droit de dire non à la souffrance imposée par les autres. Elle demande donc un pardon sincère et des réparations concrètes de la part de ceux qui ont contribué à son mal-être. Elle critique également la loi du karma et l’association de la colère avec un péché, considérant que ces concepts religieux servent à maintenir les gens dans un état de soumission et de victimisation. Elle remet en question l’idée que l’ego est quelque chose de négatif et dénonce le fait que la société encourage souvent les victimes de harcèlement à minimiser leurs souffrances. Elle évoque également la dépendance aux écrans et le culte du positif artificiel sur les réseaux sociaux, regrettant que la négativité soit ostracisée.
L’utilisation d’outils visuels tels que les réseaux sociaux permet de communiquer efficacement à travers des images. Cependant, cela peut également devenir une forme de prison lorsque l’outil est utilisé de manière narcissique pour obtenir l’amour et la reconnaissance des autres. Sur les réseaux sociaux, les utilisateurs cherchent principalement à obtenir des likes et des commentaires positifs, donc la négativité est souvent évitée. Cependant, la négativité a son importance car elle permet de véhiculer certaines émotions telles que le dégoût, la colère ou la jalousie. Il est essentiel d’apprendre à exprimer et reconnaître ces émotions, même si elles sont perçues comme négatives. En refoulant ces émotions, on bloque également les autres émotions, ce qui peut conduire à une certaine inauthenticité dans nos expressions sur les réseaux sociaux. Il est donc important d’accepter et de reconnaître toutes nos émotions pour être véritablement en accord avec nous-mêmes et avec les autres.
Le texte parle de la simulation et de la dépendance aux écrans. L’auteur explique que lorsqu’on est en train de vivre un moment intense, on ne pense pas à prendre des photos pour le prouver ou montrer notre bonheur, et que c’est grâce à cette spontanéité que l’on peut vraiment vivre et ressentir les émotions. Il affirme que souvent, les gens se bloquent sur les émotions négatives, mais que ce sont toutes des émotions qui font partie de la vie.
En ce qui concerne la dépendance aux écrans, l’auteur explique que l’utilisation excessive des écrans crée un événement dissociatif dans le corps, qui fige toutes les sensations, émotions et pensées. Il compare cette paralysie sensorielle à une drogue, car elle crée une stimulation intense et constante dans le cerveau, avec des images et des stimulations visuelles impressionnantes. Il souligne que cette dépendance aux écrans crée une sorte de récompense rapide et artificielle, ce qui rend ensuite la vie quotidienne ordinaire et terne par comparaison. L’auteur affirme également que cette dépendance est dangereuse car elle rend les personnes passives et les empêche de participer activement à leur vie réelle.
L’utilisation des réseaux sociaux, tels qu’Instagram, peut avoir des conséquences néfastes sur notre bien-être. En passant trop de temps sur ces plateformes, nous pouvons devenir déconnectés de nos véritables besoins et de notre identité. Cela peut nous conduire à nous comparer constamment aux autres, renforçant ainsi notre complexe d’infériorité. En cherchant à être quelqu’un d’autre, nous nous enfermons dans une forme artificielle, ce qui nuit à notre système sensoriel et nous empêche de suivre nos propres besoins. De plus, les réseaux sociaux peuvent nous donner l’illusion d’être proches des autres, alors qu’en réalité, nous sommes seuls derrière nos écrans, en quête constante de reconnaissance et d’attention. Nourrir notre besoin de reconnaissance ne fera que le rendre plus insatiable, créant ainsi une insécurité permanente en nous. En résumé, l’utilisation excessive des réseaux sociaux peut nous éloigner de nous-mêmes, de nos véritables besoins et de notre bonheur authentique.
Dans cette conversation, l’auteur souligne l’importance de ne pas attendre la validation des autres pour agir. Il critique ceux qui développent une œuvre artistique uniquement pour plaire au public et obtenir des succès. Selon lui, cela conduit à perdre sa propre identité et à devenir esclave de l’opinion des autres. Il soutient qu’il est essentiel de créer son propre cadre de vie et de se concentrer sur ses propres besoins authentiques plutôt que de rechercher constamment l’approbation des autres. L’auteur mentionne également l’impact négatif des réseaux sociaux et de la dépendance aux notifications, soulignant que cela peut entraîner une reprogrammation de notre cerveau et une obsession narcissique. Enfin, il insiste sur l’importance de comprendre le véritable objectif de nos actions et de se reconnecter à soi-même pour éviter de vivre dans le drame personnel et la recherche perpétuelle de reconnaissance.
Dans ce discours, l’auteur exprime son point de vue sur le fait de changer le monde en tant qu’artiste. Selon lui, le monde extérieur ne peut pas être changé de manière significative, mais on peut mettre en lumière l’inconscience des êtres humains et promouvoir leur connexion à leur être véritable. C’est en développant son propre art et en s’épanouissant que l’on peut améliorer son environnement et devenir plus intelligent. L’épanouissement est différent du bonheur, car il est indissociable de ce que l’on crée par soi-même et cela constitue notre identité réelle. Les souvenirs et le passé ne sont que de la poussière qui disparaîtra, tandis que ce que l’on crée est éternel.
Il est évoqué l’idée que le royaume de Dieu se trouve en nous et autour de nous, et que cela implique que chacun est en réalité son propre Dieu. Il est suggéré que certaines passages ont été retirés qui confirmeraient cette idée. L’idée de reconnecter avec notre être intérieur est présentée comme essentielle pour changer le monde ; en se reconnectant à soi, les êtres humains deviennent plus intelligents, épanouis et améliorent naturellement leur environnement.