les pensées ont tendance a révasé fantasmé
c’est les sentiments qui nous pousse à agir
quand il y’a cette fusion entre
les qualités du coeur et l’esprit
que l’amour deviens complet.
c’est l’esprit qui aime d’une bienveillante
l’amour a besoin d’intelligence
pour être a la hauteur
des responçabilités qui lui incombe
Vous avez des idées? C’est entendu.
Et elles sont magnifiques.
Mais avez-vous des résultats? Aucun !
Alors cela prouve que vous devez encore travailler
pour faire descendre ces idées
jusque dans la matière.
Eh oui, voilà la question,
il faut les faire descendre.
Vous dites : » j’ai des idées « . Bravo !
C’est très bien.
Mais ces idées vous feront mourir de faim et de soif,
tout simplement.
Ah, si vous ne savez pas les faire descendre ensuite,
dans le cœur et dans les actes.
Il ne suffit pas d’avoir des idées,
beaucoup de gens les possèdent,
mais ils vivent de telle sorte
qu’il n’existe aucune correspondance,
aucune communication entre ces idées,
leurs sentiments et leurs actes.
Il faut un lien, il faut une communication, un pont.
Il faut brancher les circuits.
La pensée n’a pas la priorité
de toucher la matière pour la transformer.
Il faut mettre entre elles un intermédiaire
qui est le sentiment.
A travers le sentiment,
les idées prennent chair et os
et viennent toucher la matière.
Malgré que j’aie déjà insisté
sur cette question, sur ce sujet,
mes chers frères et sœurs,
cette page restera incompréhensible,
bizarre, si je ne l’explique pas.
Eh oui, moi, combien de gens j’ai vu,
j’ai rencontré, ils avaient des idées !
C’était formidable.
Mais elles restaient comme ça,
non réalisées, quelque part,
dans le monde invisible.
Ils étaient fiers, ils étaient heureux,
ils se promenaient avec ces idées,
et voilà que, ils étaient dans la misère, dans la pauvreté,
dans les maladies, dans la faiblesse,
et ils ne se rendaient pas compte que les idées
peuvent souvent perturber, troubler.
Comme il y a quelques jours,
je vous ai déjà expliqué
il faut maintenant les faire descendre,
les concrétiser, les matérialiser,
ici, dans le plan physique.
Et voilà ce que les humains ne pensent pas,
ne connaissent pas.
Tous sont content d’avoir des idées.
C’est tellement vrai.
Et il n’y a que dans l’Enseignement
de la grande Fraternité Blanche Universelle,
qu’on nous éclaire, on nous explique,
des choses dont beaucoup de personnes
ne se rendent pas compte.
Maintenant vous êtes étonné que,
les idées pour se réaliser sur la terre,
ont besoin d’un intermédiaire.
Ça, on ne voit pas la raison,
on ne voit pas pourquoi
le sentiment doit être intermédiaire.
Pour vous éclairer maintenant,
je vous montrerai de nouveau
quelque chose, une image…
Certains frères et sœurs
connaissent déjà cette image
parce que j’en ai déjà parlé dans le passé.
Alors, je m’amusais à présenter à un frère
qui revenait de la plage,
et je lui posais la question
Alors, qu’est-ce que vous avez vu ?
Qu’est-ce que vous avez rencontré ?
Qu’est-ce que vous avez découvert ?
Et il ne dit rien.
Et où étiez-vous ?
Ah, sur un rocher,
et la mer, les vagues arrivaient jusqu’à moi.
Alors je regardais,
j’étais content, j’étais dans la paix,
la tranquillité, je réfléchissais,
et maintenant je suis revenu.
Comment ! J’ai dit,
vous n’avez rien vu?
Mais rien ! Il n’y avait rien à voir.
Tout le livre de la nature vivante était étalé devant vous
et vous n’avez rien lu.
Eh bien, si c’est comme ça,
toute la vie, on la passe comme ça !
Mais je ne comprends pas, il dit,
expliquez-moi ce qu’il y avait à voir ?
Mais j’ai dit : Vous étiez sur un rocher.
Oui !
Et comment était ce rocher?
Oh, il était creusé, il y avait des images,
des formes, même souvent j’ai constaté
qu’il y avait des visages qui ressemblaient
aux frères et aux sœurs de la fraternité.
Ah, ah, j’ai dit, très bien, très bien !
Et après ? Qu’est-ce qu’il y avait après,
ce qui arrivait vers le rocher?
Ah, ben c’était de l’eau, c’était de l’eau,
c’était la mer, c’était…
Ah, et il y avait donc des vagues qui venaient ?
« Oui ». Et qui les poussait maintenant ces vagues-là ?
C’était le vent.
Il y avait… sûrement c’est le vent, c’est l’air. Bon.
Ah ! Et qui poussait l’air maintenant pour venir agiter l’eau,
et l’eau se jeter sur le rocher pour creuser, pour façonner,
pour modeler, depuis des siècles ?
Il réfléchit et il dit
Ça doit être le soleil.
Ben voilà, j’ai dit, voilà.
Maintenant il faut déchiffrer.
Et qu’est-ce qui est maintenant toi ?
Qu’est-ce que c’est, toi ?
Ben, c’est la même chose,
tu es un rocher creusé, modelé, un peu mal formé,
mais ça ne fait rien ! Creusé, oui !
Et qui a fait ça ?
Oh, il dit : « Je ne sais pas ! «
Ben l’eau, et l’eau, c’est le sang ;
c’est le sang qui a modelé ça.
Il a apporté des matériaux le sang
et il les a déposé dans un endroit et pas dans un autre,
et voilà pourquoi il y a des formes, il y a des trous,
il y a des aspérités invraisemblables.
Et après, qui a agité l’eau, le sang,
la circulation du sang, l’eau.
Ah, c’était l’air, c’était la respiration.
Oh, et la respiration alors, le vent, qui a poussé ça ?
Oh, quelque chose en dedans,
c’était l’esprit, c’était cette force-là.
Et voilà, j’ai dit
Vous voyez, le rocher, c’est le corps physique,
le sang, c’est le sentiment,
et l’air, c’est la pensée,
et alors le soleil, eh bien c’est l’esprit.