Il est facile d’imaginé l’amour
d’un point de vue métaphysique
pour comprendre la sexualité
sous l’angle métaphysique on dois partir
du principe que le masculin
et féminin sont éternel
et concevoir leur interdépendance
ainsi que leur intrication
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julius evola métaphysique du sexe
traduit par philippe baillet quatrième
partie dieux et déesses hommes et femmes
premier chapitre mythologie ontologie
psychologie dans les enseignements du
monde traditionnel le thème d’une
dualité ou polarité originel mise en
relation avec celle des sexes revient
presque partout c’est une dualité qui
est présenté tantôt en des termes
purement métaphysique tantôt comme celle
de figures divines et mythologique
d’éléments cosmique de principe de dieux
et de déesses
hier encore cela était interprétée par
l’histoire des religions comme un cas
évident d’anthropomorphisme l’homme
ayant créé les dieu à son image et à sa
ressemblance pourrait transposer et
projeté en eux la différenciation
sexuelle propre mortels de cette terre
ainsi toutes les dyades et dichotomie
divine ne seraient que des produits de
l’imagination sans autre contenu concret
que l’expérience sexuelle des êtres
humains
la vérité est exactement à l’opposé
l’homme traditionnel chercha à découvrir
dans la divinité le secret et les sens
de la sexualité
pour lui les sexes avant d’exister
physiquement exister comme des forces
supra individuelle et comme des
principes transcendant avant
d’apparaître dans la nature il existait
dans la sphère du sacré du cosmic du
spirituel et dans la riche variété des
figures divines différencier en dieu et
en ds cet homme cherche à saisir
précisément les sens de l’éternel
masculin et de l’éternel féminin dont la
sexualisation des êtres humains n’est
qu’un reflet et une manifestation
particulière
c’est pourquoi il faut adopter le point
de vue inverse de celui de l’histoire
des religions
au lieu que la sexualité humaine soit le
fondement pour saisir ce qu’il y a de
réels et de positif dans les figures
divines et mythologique sexuellement
différencier c’est précisément le
contenu de ces figures qui fournit la
clé de la compréhension des aspects les
plus profonds et les plus universels de
la sexualité de l’homme et de la femme
ce sont ces figures création d’une
intuition clairvoyante et souvent même
de forme effective individuelles ou
collectives de perception supra
sensibles qui peuvent nous indiquer le
sens de ce que nous avons appelé la
virilité absolue et la féminité absolue
sous leurs aspects fondamentaux se sont
aussi est par conséquent qui peuvent
nous rendre capables de reconnaître et
de distinguer certaines constantes
objectif dans les formes dérivées et
hybrides sous lesquelles la sexualité
apparaît chez les individus empirique
selon des modalités dépendant des races
et aussi des divers types de
civilisation plus particulièrement on
pourra tirer du sacrum sexuelle et de la
mythologie du sexe les bases d’une
caractérologie et d’une psychologie du
sexe vraiment profonde
tel est le problème que nous allons
aborder notre étude ne peut pas le
négliger
même si la matière a examiné semblera
parfois aux yeux du lecteur courant
abstruses et inusitées
il faut souligner tout d’abord que le
point de vue traditionnel que nous
suivrons ici s’il est opposé à celui des
interprétations naturaliste dont il
vient d’être question est également très
différent de celui de certains récents
courant psychanalytique
nous avons déjà dit que les principes de
la virilité et de la féminité absolue ne
sont pas de simples concepts utile
certes comme mesure pour l’étude des
formes empirique mixte et partielle du
sexe mais qui serait en eux-mêmes
abstrait et privés de réalité
nous ne les prenons pas non plus pour de
simples idées aux outils idéaux
n’existant qu’en tant qu’ils sont
réalisés de façon plus ou moins
approximative par tel ou tel êtres
humains
ce sont au contraire des principes réel
au sens du terme grec par cheikh nsia
des principes puissance transindividuel
conditionnant selon diverses modalités
ce qui fait que chaque homme est un
homme et chaque femme une femme par
conséquent des principes tels qu’ils
existent avant est au dessus de tout
homme et de toute femme morte elle est
au delà de leurs individuation éphémère
ces principes ont donc une existence
métaphysique
cette idée a été exprimée de manière
particulièrement forte par les écoles
tantrique et saïoua lesquels ont
attribué à la division des créatures en
mal et en femelles un caractère
rigoureusement ontologique dérivé du
caractère métaphysique des principes
simples et shiva et s’active ou de
personnification mythologiques comme
krishna herrada la doctrine
platonicienne des idées interprété dans
un sens réaliste et magique peut donc
s’appliquer à ce domaine particulier
il s’agit de la conception de l’idée aux
archétypes entendu non comme une
abstraction conceptuelle du mental mais
bien comme une racine du réel est une
réalité d’ordre supérieur les forces
dont nous parlons sont invisiblement
présente dans toutes les individus à
sion qu’elle revête dans lesquelles elle
se manifeste où transparaissent ces
dieux ou entités du sexe vivait
apparaissent diversement à différents
degrés d’intensité dans la multitude des
hommes et des femmes dans l’espace comme
dans le temps et cette multiplicité de
formes transitoire approximative parfois
même larvaires n’enlève rien à leur
identité et à leur éternité
la divergence entre le point de vue que
nous adoptons et les interprétations des
courants modernes qui partent d’un plan
psychologique et non métaphysique est
donc bien clair
yum par exemple n’a certes pas ramener
les figures du midd sexuelle à deux
simple fantaisie et inventions poétique
il a même pressenti en elle la
dramatisation d’archétypes précisément
ayant un haut degré d’universalité et
une réalité autonome mais cette réalité
il l’a comprise en des termes purement
psychologique réduisant tout à des
projections mentales de l’inconscient
collectif et aux exigences que ferait
valoir chez l’homme la part obscure et
atavique de son psychisme contre la part
consciente et personnel il n’y a pas là
seulement une évidente confusion de plan
il y à là également à travers le recours
abusif à la notion d’inconscient et la
mobilisation d’une phénoménologie de
psychopathe la confirmation de la
tendance générale moderne a ramené toute
chose à des mesures purement humaine
si tout principe ayant d’une manière ou
d’une autre un caractère transcendant
doit pourtant devenir pour pouvoir être
expérimenté un phénomène psychologique
il y a toutefois une différence
fondamentale entre les deux attitudes
suivante
ou bien l’on fait tous commencer et
finir dans la psychologie ou bien l’on
interprète la psychologie en fonction de
l’ontologie de fait toutes les
interprétations de yum s’achève sur un
plan très banal et son intuition de la
réalité supra individuelle et éternel
des archétypes sexuelle est vaine
ou bien tombe au niveau de quelque chose
de contrefaits à cause d’une déformation
mentale professionnels il s’agit d’un
psychiatre et d’un psychanalyste et de
l’absence de références doctrinal
adéquat
la divergence entre les deux points de
vue est encore plus visible dans l’ordre
des conséquences pratiques
young a en vue le traitement de
névropathe et croit sérieusement que le
but des religions des mystères et des
initiations antique n’était pas
différent tout cela aurait servi à
soigner des individus affectés de
conflits psychiques tenaillé par la
partie inconsciente de leur être
en définitive il s’agit pour lui de
décharger les archétypes de les priver
de leurs charges mythique et fascinante
le mana qui leur confère un caractère
obsédant et de les réduire à des
fonctions psychiques normal et ce jusque
dans le cas de l’archétype masculin et
de l’archétype féminin affleurant çà et
là dans la conscience ordinaire
al’inverse la connaissance de la réalité
métaphysique des archétypes sexuelle fut
pour l’humanité traditionnel la
condition positive des multiples
variantes de la sacralisation du sexe
des pratiques et riz destiné non à
ramener un être déchirés en proie à ses
complexes à une banale normalité mais à
favoriser un système des vocations et de
participation au delà de l’humain a
provoqué des ouvertures du mois propres
à ces charges qui chez yum se réduisent
à de simples et inexplicable reflet des
images de l’inconscient
il faut ajouter qu’en raison de
l’existence dans l’humanité
traditionnelle d’un système de
correspondances entre réalité et
symboles action imite le monde des
figures divines sexuée permis non
seulement de pénétrer les dimensions les
plus profondes de la sexualité humaine
mais implique à des rapports
susceptibles de fournir des principes
normatif pour les relations qui dans
toute civilisation scène doivent
s’établir entre les deux sexes entre
l’homme et la femme
à partir de cela ces relations acquérait
une signification profonde était
conforme à une loi et à une norme
supérieure au monde de la contingence de
l’arbitraire et des situations purement
individuelle
nous envisagerons aussi brièvement cet
aspect de la métaphysique du sexe
deuxième chapitre la dyade métaphysique
en fait de dualité élémentaire nous
traiterons tout d’abord de celles qui
ont un caractère métaphysique encore
libre de la mythologisation et de la
symbolisation
l’idée fondamentale c’est que la
création ou manifestation universelle a
lieu à travers une duplication de
principe compris dans l’unité suprême de
même que la génération animal se produit
par l’union du mal et de la femelle au
sujet de la génération aristote écrit le
mâle représente la forme spécifique
la femelle la matière en tant que
femelles elle est passive tandis que le
mal est actif
cette polarité revient dans les
conceptions de la philosophie grecque
elle dérive des mystères et revêt
différentes formes qui généralement ne
sont plus comprise dans leur
signification originelle et vivante
le masculin est la forme le féminin et
la matière forme signifie ici pouvoir
qui détermine qui suscite le
commencement d’un mouvement d’un
développement d’un devenir matière veut
dire la cause matérielle et instrumental
la pure potentialités indéterminée
substances ou puissance qui en soit
privé de forme peut prendre toute forme
qui n’est rien en soi mais qui une fois
activé et féconde et peut devenir tout
le terme grec il est matière ne désigne
donc ni la matière de l’organisme ni
celle de la nature physique en général
difficilement intelligible pour la
mentalité moderne ce terme s’applique
dans le présent contexte à une entité
mystérieuse insaisissable abyssal qui
possède les traits aussi ne le possède
pas en tant qu’elle est précisément la
possibilité pure et la substance
puissance de la nature comme changement
et devenir pour les pythagoriciens c’est
aussi le principe de la dyade du binaire
du 2 opposé à l’un présenté par platon
comme le haut à theron comme ce qui est
toujours l’autre rapporté au réceptacle
chira de lettres à la mer ou nourrices
du devenir
en règle générale c’est ainsi que se
présente sous leur forme la plus
abstraite l’éternel masculin et
l’éternel féminin dans la métaphysique
traditionnels sur le plan des
déterminations ultérieure on peut faire
correspondre le masculin et le féminin à
l’être au sens éminents et au devenir à
ce qui en soi sont propres principes et
à ceux qui à son principe dans l’autre à
l’être l’immutabilité la stabilité et à
la vie le changement la moue la
substance animatrice substance
maternelle du devenir plotin à ce sujet
par le de lettres ou soon et du
complément féminin de l’éternel masculin
ou si fière de l’être éternelle et de la
puissance éternelle d’une certaine
manière identifié à la nature et à la
psyché divine la psyché ou viso et de
zeus
l’être chez plotin est également mis en
relation avec le moose autre terme
devenu aujourd’hui difficile à
comprendre correctement
c’est le principe intellectuelle conçu
comme principe olympiens présence
immuable et pure lumière qui chez plotin
possède aussi la figure du logos
lorsqu’il est considéré dans l’action
par laquelle il féconde et met en
mouvement la matière ou puissance
cosmique
inversement le féminin et la force vie
en tant que psyché c’est la vie de
l’être éternel puisque lorsque la
manifestation procès de l’un et prend
forme
c’est elle qui chronomètre qui se
développe dans le temps le devenir dans
des situations où les deux principes son
conjoint est diversement mail et le
masculin ou logos se maintenant dans
tout ce qui est dans ce qui reste
identique à soi même qui ne devient pas
qui est le principe pur de la forme la
nature physique n’avait pas pour les
grecs le même sens que celui
matérialiste qu’elle a pris chez les
modernes sens qu’il faut toutefois
garder à l’esprit lorsqu’on identifie le
principe féminin aux principes naturels
en effet dans le symbolisme traditionnel
le principe surnaturel fut toujours
considéré comme masculin celui de la
nature et du devenir comme féminin on
retrouve une polarité du même type chez
aristote
à l’opposé d’une aussi mobile qui est
acte purent se tient la nature dans
laquelle le premier par sa seule
présence en tant qu’ mobilité mouvante
et veille le mouvement effectif
le passage de la possibilité informel ou
matière à la forme à l’individuation la
dyade ciel terre la polarité du principe
pour amiens et du principe tellurique
août au mien en tant qu’image est
cosmico symbolique de l’éternel masculin
et de l’éternel féminin équivalent à
cette dualité
sur ce plan les autres dont nous avons
du reste déjà parlé sont un autre
symbole du féminin elle renferme
plusieurs significations
elle représente avant tout la vie
indifférenciée antérieure à la forme non
encore fixée dans la forme
en second lieu elle symbolise ce qui
s’écoule donc ce qui est instable
émouvant l’origine de tout ce qui dépend
de la génération et du devenir dans le
monde contingent que les anciens
appelaient monde sublunaire enfin elle
représente aussi le principe de tout
fertilité et croissance selon l’analogie
offerte par l’action fertilisantes que
l’eau exerce sur la terre sur le sol
d’un côté on parla du principe humide de
la génération de l’autre des eaux-de-vie
et aussi des eaux divine
ajoutons qu’au zoo fut associé le
symbole de l’horizontale correspondant à
la catégorie aristotélicienne de l’être
étant duc effet opposés aux symboles de
la verticale et à la catégorie dû se
tenir tes chine au sens spécifique de se
tenir droit de boussens dont la relation
avec le principe masculin fut exprimée
notamment dans l’antiquité par le
symbole phallique et ithyphalliques le
phallus en érection
si le principe féminin fut associé au
zoo le principe masculin lui fut
fréquemment associée au feu comme dans
bon nombre d’autres cas il faut
cependant tenir compte de la polyvalence
des symboles traditionnels donc de leur
capacité de servir de support à des
significations assez différente qui ne
s’excluent pas mais suivre la logique de
perspectives multiples ainsi même si
l’on fait abstraction des divers aspects
envisagée du feu comme principe masculin
on peut rappeler dans la tradition
hindoue la double naissance daguier dans
la tradition gréco romaine le
dédoublement du feu en fait et lui
riquet volcanique d’une part en feu au
gagnant ou céleste d’autre part le feu
considéré sous son aspect de flamme qui
réchauffe et alimente a pu être adoptée
aussi comme symbole de l’élément féminin
et a joué comme tel un rôle très
important dans les cultes indo européen
attar l’estia grecque et la veste à
romaine sont des personnifications de la
flamme prises dans ce sens au vidic
vesta et la flamme vivante et le feu
dans le culte tant domestiques que
public le feu sacré qui brille et sans
arrêt dans le palais des césars et
comporter dans les cérémonies
officielles le feu que chaque armée
grecque ou romaine emporter avec soi le
tenant allumé jour et nuit était en
relation avec l’aspect féminin du divin
entendu comme force vis éléments vivifie
catr l’idée antique selon laquelle la
brusque extinction du feu du culte privé
et signe de mort s’inscrit dans ce
contexte ce n’est pas l’être mais la vie
qui s’en va
l’examen des traditions orientales
confirme les cadres symbolique que nous
venons d’indiquer la tradition extrême
orientale connaît la dyade ciel terre le
ciel étant identifié à la perfection
active tiennent la terre à la perfection
passive tue l on lit dans le grand
traité le masculin agit selon la voix du
créatif le féminin opèrent selon la voix
du réceptif et aussi le créatif agit
dans les grands commencement le réceptif
mène les choses devenues à leur
accomplissement
la terre est fécondée par le ciel et
agit en temps opportun
en suivant le ciel elle rencontre son
seigneur et suit sa voie conformément à
l’ordre comme dans le pythagorisme le
binaire le 2 est ici rapporté au
principe féminin et en général les
nombreux impairs sont mis en relation
avec le ciel les nombres pairs avec la
terre
l’unité est le commencement le 2 et le
nombre féminin de la terre le 3 et
masculin en tant qu il représente
l’unité non en soi mais ajoutés à la
terre un plus de égal 3 donc tous ceux
qui dans le monde du devenir porte le
signer la forme imprimée en lui du
principe supérieur comme dans une image
de celui ci
on peut dire que ce symbolisme numérique
a un caractère universel
nous le retrouverons en occident
jusqu’au moyen-âge et à dante
il est aussi à l’origine de la vieille
maxime numéro deus un parigot dette car
dans tout nombre impair l’un revient
pour l’emporter sur le 2 mai dans la
tradition extrême-orientale c’est la
dyade métaphysique exprimée sous la
forme du yang edwin qui est plus
caractéristique ces principes dont nous
avons déjà parlé doivent être entendus
soit comme des déterminations
élémentaire lits soit comme des forces
agissant sur chaque plan de l’être en
tant que détermination le yang à la
nature du ciel ayant tout ce qui est
actif positif et masculin le yin à la
nature de la terre et into ce qui est
passif négatif et féminin dans le
symbolisme graphique owyang correspond
le trait plein au yin le trait brisé qui
contient de nouveaux l’idée du 2 donc de
la puissance platonicienne de l’autre
les tri g et les hexagram formé par les
combinaisons de ces deux signaux
élémentaires sont présentés dans le iie
king texte fondamental de la tradition
chinoise comme les clés des situations
essentiel que peut contenir la réalité
tant dans l’ordre spirituel que dans
l’ordre naturel dans l’univers comme
dans la sphère humaine individuelle ou
collective tous les phénomènes les
formes les êtres et les changements de
l’univers sont considérés comme des
rencontres et combinaisons variées du
yang et d’huisne c’est de cela qu’il
tire leur physionomie ultime sous leur
aspect dynamique le yang et le yin sont
des forces opposées mais complémentaires
également la lumière et le soleil ont la
qualité y en a
l’ombre et la lune la qualité in le feu
et yang les eaux sont in les simpson
yang
les dépressions sont in l’esprit ayant
clamé la force vitale son hymne le pur
et yang
l’abissa line et ainsi de suite enfin
c’est la prédominance en aile du lean
qui fait de la femme ce qu’elle est
c’est la prédominance en lui du yang qui
fait de l’homme ce qu’il est le lignes
pures et le yang purent se présentant
selon ce que nous avons dit plus haut
comme la substance de la féminité
absolue est la substance de la virilité
absolue
en dehors des aspects du symbolisme qui
renvoie à ceux déjà envisagé par nous à
propos de la tradition grecque
il faut insister sur l’attribution ici
de la qualité froide et humide et
obscure aux in de la qualité sèche
claires lumineuses au yang
en ce qui concerne la qualité froid
d’huisne il semblerait y avoir
contradiction avec l’aspect chaleur
flammes et vie rapporté plus hautes au
principe féminin
mais cette qualité doit être interprété
dans le même contexte que celui de la
froide lumière lunaire et de la
frigidité de ds comme diane qui
personnifie le principe de cette lumière
et nous verrons plus loin toute
l’importance de ce trait dans la
caractérologie du féminin de la femme
le yin en outre à en propre l’ombre
l’obscurité par allusion aux puissances
et élémentaire antérieure à la forme qui
correspondent en l’être humain à
l’inconscient et à la partie vitale et
nocturne de son psychisme
ce qui renvoie directement à la relation
dont l’existence fut reconnue entre
certaines divinité féminine et certaines
divinités de la nuit et des profondeurs
de la terre ainsi qu’à la nuit knicks de
hésiode présente comme génitrice du jour
le jour équivalent ici à la qualité
claire éclairé ensoleillée du yang qui
est celle là même des formes manifesté
des formes défini est achevée lesquels
se libère de l’obscurité ambiguë de
l’indétermination de la matrice
génératrice de la substance féminine de
la materia prima
nous trouvons dans la tradition hindoue
des précisions digne d’être notée sur le
symbolisme dont nous parlons le système
sam kia nous présente le thème
fondamental de la dualité de pur ou chat
le masculin primordial et de prat
critique principe de la nature
substances ou nrj primordial de tous de
venir et de tout mouvement pour où
chaque homme le nous grecs et des tâches
et impassible olympien fait de pure
lumière non agissant au même sens que le
moteur immobile aristotélicien c’est
grâce à une sorte d’action de présence
grâce à son reflet qu’il fait contrat
critique il rompt l’équilibré des
qualités gouna de celle ci donnant lieu
ainsi au monde manifesté cette
conception a connu ces développements
les plus intéressants dans le tantrisme
métaphysique et spéculatif le culte
hindou connaissait la figure de chiba
comme dieu androgyne appelée har dan
harris var à l’étang tracé par les
aspects masculin et féminin de la
divinité au port ou chat du sam qui a
correspond ici précisément chiba à la
praille critique ou nature correspond
s’activent comprise comme son épouse et
sa puissance de sens connoté par le mot
sanskrit death acte i
le monde né de leur union de leur
étreinte dans les textes la formule
employée précisément chivas acte isama
yoga jayat thrifty kalpana comme dans le
samc ya ici aussi on attribue à
l’élément masculin achieve à une
initiative non agissante
il provoque le mouvement éveil la saq
team et seule cette dernière est
vraiment agissante mobile est
génératrice cela est indiqué notamment
par le symbolisme d’une union sexuelle
ou c’est la femelle la saq tillenay qui
joue le rôle actif et se meut embrassant
le mâle divin fait de lumière et porteur
du sceptre qui reste lui immobile il
s’agit de ce qu’on appelle la vie paris
tam et una l’étreinte inversée qu’on
rencontre très fréquemment dans
l’iconographie sacré indo tibétaine
spécialement dans les statuts est dit ya
bien une chute pas
dans le domaine des personnifications
divine la saq qui a pour pendant qu’ali
la déesse noire souvent tic n’est elle
aussi ou bien entouré d’un cercle de
flammes
si bien qu elle réunit en soit deux
attributs déjà envisagé par nous de
l’archétype féminin l’obscurité près
formelle et le feu sous son aspect cali
la sakti cependant se présente
essentiellement comme une énergie
réductible à toute forme fini ou limite
par conséquent aussi comme ds
destructrice pour le reste de même que
les chinois voient s’exprimer dans la
réalité le jeu varié de l’union du yin
et du yang de même la tradition en
question voit dans la création une
combinaison d’énergie procédant des deux
principes de l’acide lactique chivas
acte i et ii l’as maya sakti c’est ainsi
qu’un texte fait dire à la ds dans
l’univers tout étant à la fois chiba et
sakti audois maïs barras le dio mal tu
es en tout lieu et je suis en tous lieux
tu es en tout et je suis en tout plus
précisément shiva est présent dans
l’aspect immuable conscience spirituelle
stable s’activent dans l’aspect
changeant inconscient et vital naturel
dynamique de tout ce qui existe
la ds existe sous la forme du temps elle
est sous cette forme la cause de tout
changement est toute puissante au moment
de la dissolution de l’univers
dans le tantrisme spéculatifs enfin maya
et rapporté au féminin à sakti ce terme
bien connu dans la conception la plus
courante et spécialement dans le vedanta
se réfère au caractère illusoire ali
réalité du monde visible telle qu’on
l’expérimentent dans l’état du al
mais il est utilisé aussi pour désigner
les oeuvres de magie et l’association
rappelait plus aux mayas sakti est
précisément destinée à présenter le
féminin comme la magie du dieu la ds en
tant qu elle engendre magiquement les
formes manifester forme qui ne sont
illusoires que dans un sens relatif la
tribu de réalité ne s’appliquant dans la
tradition hindoue qu’à l’être absolue
lumineux éternel privé de devenir et de
sommeil par voie de conséquence une
association dérive de tout cela celle du
principe féminin avec le monde nocturne
association qui est le fondement d’un
type précis de magie d’ensorcellement ou
de fascination
il s’agit d’un thème qu’on retrouve
ailleurs aussi par exemple dans l’un des
aspects de la ds et 4 pelvienne et grecs
et cat est une déesse tantôt souterraine
tantôt lunaire qui confère la puissance
aux techniques d’enchantement et
enseigne les formules magiques
elle protège les ensorceleuses et les
enchanteresse qui ont appris dès leur
art quand elle ne fait pas carrément de
ces femmes cp tresses selon une certaine
tradition mais des étais prêtresse dans
un temps peu des cats comme celle ci
diane elle aussi souvent identifiés à
es4 fut réputé président et aux arts
magiques les vases hamilton montre des
personnages féminins pratiquant des
sortilèges en l’honneur de diane
séductrice de l’ennemi du dieu de
l’amour tel est l’un des qualificatifs
de la grande déesse hindoue toujours
dans le même contexte les doctrines inde
ou en question ont ceci de particulier
qu’elles conçoivent la manifestation
comme un regard vers l’extérieur bayrou
qui donc comme une tendance extraverti
une sortie de soi un détachement de lin
et de l’identique
autre aspect celui là de la nature et de
la fonction de la saq ti puisque la saq
qui est dit aussi qu’à ma rue pini celle
qui est faite de désir et puisque son
symbole et celui de l’organe sexuel
féminin le triangle inversé identifiés
aux symboles du désir on voit par là le
même thème se préciser en tant que tout
désir comporte un mouvement vers l’autre
que soit vers quelque chose d’extérieur
or le bouddhisme tout spécialement à
précisément établie dans le désir et la
soif kama trishna le fondement ultime du
devenir et de l’existence conditionné du
samsara dans les pousses du divin dans
la salle ty de chiba il faut voir la
racine du désir soit comme désir
cosmogonique soit comme ce qui est
consubstantielle au zoo et à la matière
elle-même entendu par les grecs comme
privations comme la peña platonicienne
privé de lettres et désireuse de
posséder l’être par opposition à la
nature sidéral et immobile de la
masculinité métaphysique de l’éternel
nous
cependant il est dit que tu chivas ans
actifs serait incapable de tout
mouvement serait inactifs et que par
contre s’activent auprès critique sens
shiva serait inconscient tu as it donc
privé de l’élément lumineux
les coupes divin unis du panthéon
hindouistes et indo tibétains servent à
désigner l’association constante de
l’élément chiba iq et de l’élément
s’activent dans tout ce qui est
manifestée plots tandis que les dieux
mal sont définis par le nous les déesses
par la psyché et qu’à tout nous c’est
unis une psyché
il ajoute que la psyché de zeus
s’appelle aphrodite déesse qu des
prêtres et des théologiens dit toujours
potins identifie également à herat nous
ne nous attarderons pas sur des
références analogue qui pourrait être
empruntés à d’autres traditions car elle
n’ajouterait pas grand chose aux
structures fondamentales que nous venons
d’indiquer nous ferons seulement
allusion à certaines idées de la kabbale
hébraïque et du mysticisme chrétiens
dans la première la féminité du divin la
nuque qui a opposé à du chra est
généralement représenté par lâcher qui
n’a force ou principe entendu comme les
pousses du roi et il y est question des
noces sacré si vous gâte qadisha du roi
et de la reine de dieu et de sachets qui
n’a ce qui importe surtout ici c’est de
souligner l’aspect de cette hypothèse
féminine éternel féminin sous la
protection du quel se trouvent toutes
les femmes du monde
il nous est présenté comme un équivalent
de l’esprit-saint vivifiant un pouvoir
influence ou gloire immanente à la
création pouvoir distincts donc de la
pure transcendance du divin est
susceptible de se détacher de lui nous
verrons que c’est également le cas de la
saq si un doute dans la phase
descendante de la manifestation c’est
pourquoi la kabbale parle aussi de
l’état d’exil de la schékina mais celle
ci en tant que doit représentant ce
monde mène à une autre relation
la gloire en effet ne fut pas complices
dans l’antiquité comme une abstraction
personnifié mais comme un pouvoir ou feu
divin le hervé reynaud iranien notion
proche de la flamme vivante symbolisée
par vestas qui renvoie par une série de
transition cocumont a mises en relief à
l’idée d’une divinité féminine
complémentaires et d’un pouvoir efficace
comme l’est la fortune spécialement sous
son aspect de fortune à reggio
dans le christianisme religion qui a
intégré et absorber des thèmes empruntés
à des traditions très hétérogène
l’esprit n’a pas de très bien défini il
n’est pas féminin lorsqu’il féconde la
vierge ni lorsqu’ils se présentent dans
l’ancien testament comme principe se
tenant au dessus des eaux
toutefois en hébreu et en araméen le mot
esprits et du genre féminin et dans le
dos this is mme chrétien dans l’évangile
des hébreux on rencontre l’expression
rapporté au christ mamère l’esprit-saint
tandis que le terme grec pur esprit des
vma peut correspondre sanskrit prennent
un souffle force vitale force de vie il
en résulte pour l’esprit saint dont la
descente fut parfois représenté comme
une descente de flammes une convergence
significative avec la chine a par
ailleurs l’esprit sainte a souvent été
symbolisée par la colombe laquelle avait
été auparavant associé aux grandes
divinités féminines méditerranéenne à la
peau tu n’y as crétoise i-stars à berck
et toama élite à aphrodite elle même
comme pour en représenter la force et
l’influencé
et ce sont des colombes qui apporte à
dos sa nourriture l’ambroisie la femme
divine du gnosticisme est
essentiellement sofia entités aux
nombreux visages et aux multiples
dénomination parfois identifié à
l’esprit saint elle est aussi selon ses
divers contenus la mer ou mère
universelle la mer des vivants ou mr
resplendissante la puissance dans au sel
de la main gauche par opposition au
christ entendu comme son époux et celui
de la main droite
la luxurieuse la matrice la vierge les
pousses du mal
la révélatrice des mystères parfait la
sainte colombe de l’esprit la mère
céleste la fourvoyait Hélène c’est à
dire en fait c’est l’aîné la lune
sofia fut conçue comme la psyché du
monde et comme l’aspect féminin du logos
dans la grande révélation de simon
langnau stick le thème de la dyade et de
l’androgyne est présenté en des termes
qui mérite d’être rapportés il est celui
qui fut qui était qui sera pouvoir mâle
femelle comme le pré existants pouvoir
illimité qui n’a ni commencement ni fin
car il existe dans l’ain ce fut de ce
pouvoir illimité que la pensée ce lait
dans l’ain procéda tout d’abord devenant
deux et il advint ainsi que ce qui fut
de lui manifester
bien qu’étant se trouve à être deux
mâles et femelles ayant la femelle en
soi même
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