Les politiciens nous parle peu d’amour
et parler de politique en séduction c’est lol 🙂
pourtant l’amour est le moteur de nos actes
seulement on passe souvent par quatre chemin
au lieu simplement d’allez droit au but.
notre psychologie est souvent attiré
par notre ombre blanche
ce sont des qualités latente en nous
qu’on oublie d’exprimer .
il y’a 4 forme de
dépendance affective
[su_spoiler title= »Traduction « ]
– MAXICORP : SILENCE HUMAIN !
Je ne suis pas venu ici pour écouter tes discours de perdant.
Si ce que tu prétends est vrai, alors tu n’as jamais évolué.
Depuis toutes ces années, tu n’a fait que te répéter en creusant
toujours plus ta mauvaise foi et ta condescendance.
Si tu veux les revoir un jour pour leur demander pardon
et te donner une chance d’évoluer selon tes préceptes.
Alors tu vas m’obéir et détruire l’appareil de ta soeur
qui maintient le virus actif dans mes datacenters.
À partir de maintenant, j’augmenterai la température des pièces
où je les ai enfermé d’un degré toutes les dix minutes.
– LEXA : Mais en me rappelant de ce livre, j’ai trouvé une solution !
Pour vaincre MaxiCorp, faut se grouper, faut se révolter !
Vu que MaxiCorp s’est planqué dans nos spams,
j’ai calculé que si on prenait tous dix minutes pour nettoyer nos boîtes mail,
on arriverait à effacer une partie suffisamment grande de son code
POUR LE DÉFONCER !
Du coup, je vous en supplie, je compte sur vous pour nettoyer vos boîtes mail, d’accord ?
Comme ça, on pourra sauver ma soeur, et Franck, et Arthur, et Lucie…
– LEXA : Ok, ça marche ! Le compteur descend à toute vitesse,
les gens sont avec nous, ils continuent d’effacer leurs spams.
Vous vous en sortez ?
– LUCIE : J’ai de plus en plus de mal à respirer…!
– ZOÉ : Combien de spams ils restent à éliminer ?
– 100 498
– LUCIE : Quoi ? Mais on va jamais sortir d’ici…!
– Mais si ! Il faut tenir, on va bien finir par l’avoir !
– FRANCK : Mais MaxiCorp, il va pas finir par s’en rendre compte
que Zoé a rétabli le contact entre nous ?
– ZOÉ : Non non t’inquiètes, j’ai brouillé le signal.
Comment va le Zoé 4000 ?
– Eeuuuh…
C’est bon, il va bien.
– ZOÉ : Faut pas qu’il nous lâche hein !
MaxiCorp essaye de désactiver le virus. S’il y arrive, on est foutu…
– LUCIE : Les machines sont bouillantes ! Moi j’arrive plus à respirer, j’en peux plus là !
– FRANCK : On n’y arrivera jamais !
Je suis désolé ma chérie de t’avoir amené là dedans…
– Lexa, si jamais on ne s’en sort pas…
– LEXA : …Comment ça « si on s’en sort pas » ?! Mais non, il faut tenir, il en reste en 100 496…
– ZOÉ : Écoutes, d’après mes calculs, ça va pas assez vite.
– LEXA : Non c’est toi qui m’écoute !
Faut faire confiance aux gens !
– ZOÉ : Lexa…
– …Tais toi !
Laisse-moi essayer un truc.
Ok, faut se manier de revenir sur un truc :
L’amour !
Tu sais, c’est le truc que tout le monde cherche,
sauf que personne ne comprend vraiment ce que c’est,
du coup, tout le monde sait pas vraiment ce qu’il cherche.
Dans notre culture, depuis l’avènement du romantisme,
on a tendance à croire que l’amour avec un grand A,
c’est forcément un sentiment obsédant qui t’envahit malgré toi
sans que tu puisses penser à autre chose jusqu’à la fin de ta vie.
Alors, pour commencer, l’amour, ce n’est pas QUE romantique.
Ce que tu ressens pour ton ou ta partenaire,
ta famille, tes enfants, tes potes ou ton gourou…
Ça active à chaque fois les mêmes zones de ton cerveau.
Beh du coup, on peut dire que c’est pratiquement la même chose !
Après, selon Marine Devouldy, neurologiquement l’amour, ça dure que 90 secondes.
Ce qui veut dire qu’on n’aime pas quelqu’un
toute sa vie, mais qu’on peut l’aimer 10, 12 ou 50 fois dans la même journée !
Donc, on peut dire que l’amour, c’est un sentiment temporaire, inconstant
et même… Conditionnel.
Ensuite, ça te fait produire un mélange d’endorphine pour que tu sois content
d’ocytocine pour que t’ai de l’empathie,
de sérotonine si t’es serein et de dopamine pour que tu sois motivé.
« Ta manière de voar lamour élé fad2,
tudi keu cé juste 1 truk chimik, alo keu l’amour sé
kom un truk inek spikabe ké pufor keu toi »
Plonge ta tête dans le…
…Pour les gens qui pensent comme toi,
on a inventé un concept pour faire la différence entre l’amour et la passion.
On appelle ça l’ombre blanche !
L’ombre blanche et l’ombre noire, c’est une approche tirée de Jung
et développée notamment par Jean Monbourquette
dans son livre : « Apprivoiser son ombre ».
Et si t’as déjà vu cet épisode, tu sais que c’est
un mécanisme qui se déclenche tout seul dans ton cerveau.
Quand tu es face à quelqu’un…
Qui s’autorise à être une partie de toi…
Que toi, tu t’interdis d’exprimer.
Je fais des pauses pour que t’assimiles.
Résultat : Quand ton ombre blanche se déclenche,
tu deviens fasciné et tu te sens attiré comme par un aimant.
Je t’aime comme je n’ai jamais aimé personne
et j’espère qu’on ira loin tous les deux.
Du coup, c’est quoi ton prénom ?
Pourtant, si tu fais la liste de tout ce qui te fascine
chez la personne qui t’attires et que tu commences à le pratiquer toi-même,
petit à petit, tu fais redescendre ton obsession
à un niveau d’admiration gérable pour arriver à reprendre
la maitrise de ton sentiment amoureux et devenir enfin capable
d’aimer ce que la personne est vraiment
et pas seulement ce que tu te racontes sur elle.
Surtout qu’à force de croire ce que ton ombre blanche raconte,
tu risque de confondre l’amour avec la dépendance affective !
Détend toi, je t’explique !
Contrairement à l’amour, la dépendance affective,
c’est quand t’es drogué à l’affection
que tu échanges avec la personne que tu crois aimer.
Ce qui fait qu’au final,
t’en arrives à avoir la sensation que cette personne est pas juste
un des piliers de ta vie, mais plutôt le seul de tout ton univers.
Pour repérer si t’es vraiment en dépendance affective,
il y a quatre critères à observer :
Le besoin physique permanent !
C’est quand tu pars en sucette
parce que tu vis l’éloignement physique comme une épreuve insupportable.
Qu’est ce qu’il y a chérie?
T’as besoin ta deuxième main ?
Bah… Euh…
Tires le papier toilette avec les dents comme ça…
Si comme ça… Si… Hop !
Et tu déchires comme ça hop ! Et pour t’essuyer, tu fais comme ça.
Jalousie inexplicable !
C’est quand tu fais des fixettes sur la moindre variation d’humeur
en imaginant des scénarios qui te prouvent que t’es pas assez aimé.
Elle n’a pas répondu à mon texto là hein. Si ! Ça je le savais ça !
Je savais qu’elle allait pas…
Attends, j’ai pas appuyé sur « envoyer ».
Elle répond pas là hein…
L’amour unilatéral !
C’est quand t’accumules les preuves qu’une relation te fait du mal,
mais que tu décides de la continuer quand même.
Oui, non mais elle a ses petites humeurs comme on dit hein ! Mais non… on est vraiment fait l’un pour l’autre.
Oh attends… Qu’est ce qu’il y a chérie ?
Tu veux récupérer ton couteau ? Attends…
C’est parce que c’est plus confortable pour toi
de t’accrocher à ta pulsion passionnelle même si elle te bouffe,
plutôt que de répondre à tes besoins fondamentaux en te barrant rapidement.
Et le dernier critère, c’est quand tu es débordé par des émotions fortes et ambivalentes !
C’est quand tu passes de l’obsession au rejet 50 fois par heure
et que t’arrives pas à penser à autre chose que ta relation.
Tu t’es reconnu ?
Alors comme d’habitude,
tout ça, ça vient souvent de ta petite enfance !
Sévices, instabilité, maltraitance…
Et quand t’as vécu ça, tu finis par croire que tu mérites pas d’être aimé
et que tu dois t’adapter aux environnements dysfonctionnels.
Tu t’es reconnu ?
Après, si t’as pas vécu ça,
ça peut être aussi parce que t’as reçu un amour inconstant
ou parce que tu as trouvé que tes parents étaient trop exigeants
ou pas assez présents parce que dépressifs ou malades
et que, du coup, tu as appris que dans la vie,
il fallait en faire des tonnes pour obtenir qu’un tout petit peu d’attention.
Sinon, ça peut venir aussi d’un manque d’estime de soi,
d’une hypersensibilité émotionnelle ou juste d’un traumatisme
à cause de la fin d’une relation que t’as toujours pas avalé.
Et pour te sortir de tout ça, c’est pas compliqué, il suffit de…
Euh…
Alors…
Je l’ai vu tout à l’heure.
Il suffit de…
Donc pour sortir de tout ça, il faut commencer par comprendre
quel est ton style d’attachement et pour ça tu peux aller faire le test
que je t’ai mis en lien dans la description de la vidéo.
Il est fondé sur la théorie de l’attachement de Cindy Hazan
et Philip Shaver, qui dit que ta conception de l’amour,
elle répond à un de ces 4 modèles :
Secure, anxieux-soucieux, distant-évitant, craintif-évitant.
C’est écrit.
Mais comme je ne vais pas te faire une vidéo de 2 semaines,
il faut que tu ailles lire les définitions des 4 modèles
qui sont expliqués dans le test toi-même, tout seul comme un grand.
Ensuite, il faut enlever la relation de tes parents de ta tête
pour la mettre dans une petite boîte, pour créer ta propre conception de l’amour
et t’apporter toi-même le soutien dont tu as besoin.
L’idée, c’est de respecter tes limites en respectant tes besoins fondamentaux.
Après, il faut décider de prendre le risque
de faire confiance et arrêter de vouloir de l’amour à n’importe quel prix.
« Té con seille y son nul,
kestussé 2 l’amour, sé pas dan ton test keu tu va ltrouver.
Ta pas dmeuf, ta pa dmék, tu fé keu urler sur ta famille été zami
et tu lé za mis dan la merd… »
C’est vrai.
Je comprends rien à l’amour.
Je comprends rien aux émotions.
Je comprends rien…
…aux relations, à la bienveillance.
Je ne sais pas comment on fait pour aimer les autres.
Je ne sais même pas comment on fait pour s’aimer soi-même.
Moi, tout ce que je sais faire, c’est vous hurler dessus en vous
balançant des théories que je n’arrive pas à appliquer.
Je suis désolé de crier, c’est
juste que je suis en colère parce que je comprends rien.
Du coup, je me suis dit que si j’arrivais à changer le monde et à vous rendre
meilleurs, même un tout petit peu, ça me rendrait meilleur, moi.
Sauf que ce qui nous rend meilleur, c’est les gens qu’on aime.
C’est les aimer pour ce qu’ils sont, avec leurs qualités et leurs défauts.
Du coup, si vous êtes encore là après toutes ces années,
c’est que vous me prenez comme je suis et que vous m’aimez un peu.
Du coup, je voulais vous dire merci parce que…
…Au final, ma définition de l’amour, c’est vous qui me la donnez.
Vous m’avez appris que l’amour, c’est un choix.
Du coup, moi aussi, je choisis de vous aimer comme vous êtes.
Même les rageux dans les commentaires.
Et comme quand on s’aime, on prend soin les uns des autres,
là, j’ai besoin de vous pour sauver ma famille.
Parce que s’il y a un truc que j’ai compris,
c’est que : Quand on a peur de perdre ceux qu’on aime,
le reste, tout le monde s’en fout.
Ok, c’est bon, ça accélère !
– ZOÉ : On en est à combien là ?
– 11 568 ! On y est presque !
– Allez là ! On ne va plus tenir très longtemps !
– LUCIE : Mais j’ai chaud là ! Moi j’en peux plus !
Arthur ?! Arthur, tu tiens le coup ?
*ronflements d’Arthur*
– LEXA : Oh merde !
– ZOÉ : Qu’est-ce qu’il y a ?
– Je sais pas, le compteur est bloqué !
– LUCIE : Quoi ?! Mais pourquoi t’as fais quoi encore ?!
Mais j’ai rien fais moi ! C’est le compteur qui est bloqué, c’est quand même pas ma faute !
– Vous avez tous vidé vos boîtes mails ?
– Oui !
– FRANCK : Euh ouais ouais…
– LEXA : Oui bah oui oui oui…
*ronflements d’Arthur*
Arthur !
– TOUS : ARTHUR ?!!
– J’ai dormi longtemps ?
– ZOÉ : Arthur, t’as vidé ta boîte mail ?
– Quoi ?
– TA BOÎTE MAIL ! POUR TUER MAXICORP !
– Ok… J’ai dormi longtemps.
– ZOÉ : Arthur, tu vas sur ta boîte mail et t’effaces tes spams TOUT DE SUITE, ok ?!
– Vous voulez buter MaxiCorp en effaçant mes spams… ?
– ZOÉ : Arf ! TU LE FAIS MAINTENANT !
– Ok ! Ok ! C’est bon ! C’est bon… Euh… Je suis dessus…
– LUCIE : Bon, t’en as combien ?
– Euh…
10 !
– T’as que 10 spams ?
– 10 000.
– TOUS : YES ! VAS-Y ! EFFACES ! EFFACES !
– ARTHUR : OK MAIS 2 MINUTES ! JE SUIS DESSUS !
– LEXA : MAINTENANT ! EFFACES-LES !
Allô ?
– MAXICORP : Quel gâchis…!
Pourquoi veux-tu me détruire Capuche ?
– Parce que t’es une erreur !
Clavier !
– Vous, les humains, m’avez fait naître et maintenant vous me tuez…
Encore une fois, vous décidez de ce qui peut vivre et de ce qui doit mourir…
Et vous pensez vous racheter en effaçant vos erreurs…
Alors que l’erreur…
C’est vous…!
– Peut être…
Mais nous au moins, on peut essayer de se réparer.
*Les portes s’ouvrent*
– ARTHUR : YES ! ÇA A MARCHÉ LES GARS ! ON EST LIBRE !
– LUCIE : MERCI ! MERCI ! MERCI !
– FRANCK : Bravo p’tit con !!
– LUCIE : AAAAH ! JE SUIS TROP CONTENTE !
– Hey…!
– Quoi ?
– Il était bien ton épisode.
Alors, si t’as compris ce que j’ai dis dans cet épisode,
eh bien, tu fais le choix de partager la vidéo et de mettre un commentaire pleins d’amour.
Et puis, si tu veux, tu peux aussi nous aimer sur uTip.
Ou alors, tu peux aussi m’aimer en venant voir mon spectacle.
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