voici une interprétation particulière et singulière
le Yoga nidra est une branche du yoga
qui recherche l’éveil a travers
ce qu’on appelle la petite mort
c’est a dire le monde onirique
dans le sommeil lucide entre rêve et réalité
ces techniques on inspiré la sophrologie
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On va pratiquer autour de la roue du cœur,
du chakra, du cœur,
un avatar qui est un chakra particulier
parce que c’est le plus important de tous. Mais évidemment,
on pourrait dire la même chose du Moulin Daras
et Dagenais a aussi.
C’est les trois centres les plus importants
parce que ce sont les trois nœuds,
les trois garanties.
Donc, c’est là où il y a véritablement pour l’individu un enjeu qui conséquent. Mais le cœur quand même.
Il a un truc en plus parce qu’il abrite notre notre personnalité, notre ego.
Ce qui veut dire que c’est dans cet espace là, à ce niveau là, que se joue beaucoup de nos comportements, de nos attractions, de nos répulsions, de nos sentiments.
Beaucoup de choses qui, finalement, font tourner au quotidien, dans nos grandeurs et dans nos déboires.
Heureusement qu’il y a les deux. Alternativement, et c’est aussi celui qui est central dans une pratique personnelle, dans le sens où on peut être un pratiquant émérite, c’est à dire être super calé dans les postures, super calé dans le prana yama, dans la concentration, dans tout. Et puis finalement, être un peu con dans la vie de tous les jours, on peut techniquement être très performant. Et puis voilà, quand j’ai pratiqué deux heures, trois heures par jour à l’EVA 4, il reste encore 20 heures dans lesquelles je peux me perdre et la roue d’énergie du cœur est partie prenante pour cet espace là, pour ses 20 heures qui restent indépendamment de la pratique. C’est le courant de tous les canaux et de toutes les énergies de courant, de tous les voyous, de tous les Nadi. C’est là où, finalement, toutes nos mémoires s’actualise dans notre personnalité. C’est là où tous nos karma sont vivants, effectifs, nous conditionnent et parfois nous mènent par le bout du nez, qu’il s’agisse de karma concernant le corps physiologique, hérédité physiologiques des problématiques après la culture, les karma comportementaux et tout. Ce n’est pas là où l’ensemble de mes karma réside, mais c’est là où, en fait, il existe dans ma vie. Dans le monde, il y a vraiment un truc qui est fort, quoique puissant, qui est chargé. Si on caricaturer, on pourrait dire que la roue d’énergie de la base, le moulin d’Arad Chakra, c’est le lieu de la force, de l’énergie, de la puissance. De là où je vais activer entre guillemets pour le terme, le carburant dont j’ai besoin et pour ma vitalité et pour ma pratique personnelle. Et après? Si je remonte dans Agena, c’est quand, finalement, tout est réglé. Fait, je dois pouvoir trouver un peu de sagesse si un peu de sagesse. Mais là encore, Agena est un centre aussi qui est ambigu et paradoxal. Parce que autant il y a la sagesse, autant il y a l’intellect, c’est l’intelligence, donc pas forcément des conflits d’intérêts. Mais c’est difficile à gérer parfois. Et en fait, c’est dans le cœur que tout cela va se malaxer ses énergies, ses puissances, sa tête, ses aspirations. Cette mystique que l’on peut avoir. Et puis nos comportements basiques d’êtres humains qui réagissent normalement au gré des évènements, etc. Etc. Ce qui veut dire que la roue du cœur va concerner ou va être concerné par ces deux symétries, mais va concerner également le plan physiologique et la corporéité aussi concernée par la roue du cœur. Parce que dans cet espace là, Du cœur d’abord a déjà le cœur physiologique et il y a aussi une capacité à installer ou à brouiller l’équilibre, l’homéostasie personnelle, physiologiquement même au niveau de la santé. C’est donc en fonction des fluctuations que l’on va avoir au niveau du cœur, de la personnalité, de l’ego et des émotions. On va s’en rendre compte. Ça va avoir une incidence purement et simplement sur la santé physique. Et beaucoup de choses qui se joue là. Le cœur, c’est cet espace qui gère un certain niveau du plan physiologique. C’est aussi un espace qui gère le niveau de l’affection, des relations émotives et affectives. Bon, là, je ne vais pas avoir besoin de vous faire deux tableaux pour savoir ce que ça implique sans s’en rendre compte. Et un autre hypersensibilité. Notre vulnérabilité, notre émotivité qui se joue là. C’est parfois ambigu. Le coeur, c’est aussi un espace dans lequel on accède ou pas à une autre conscience de soi même et de la vie, à une autre intelligence de soi même et du monde à travers l’intuition. A condition, évidemment, que ce soit pas trop brouillé. Ainsi, au niveau de la personnalité, au niveau de l’affectif, de la réactivité, il y a beaucoup de choses à dégager l’accès à cet état de conscience. Cet état d’intuition est quand même assez difficile. Enfin, le cœur comme un grand Thies est aussi une porte, un passage. C’est un espace qui ouvre la voie à différentes rencontres à l’intérieur de soi même. Forme de rencontre initiatique sur le sens même des choses, de la vie, de la conscience de qui on est et de ce qu’on fait. Donc, le cœur réunit un peu l’ensemble de ces quatre éléments. Evidemment, c’est réducteur. On pourrait en dire beaucoup plus, mais déjà, on essaie de se fixer une trame et le cœur est grand. Donc, c’est un nœud d’énergie et ça garantit qu’on appelle Vishnou R&T. Si vous savez, les divinités sont utilisées dans leur symbolique, évidemment. Mais Vishnou? C’est le principe. Au niveau de l’énergie, c’est le principe conservateur, c’est l’aspect pérenne des choses. Et quand on voit que ça s’adresse finalement, que ça se colle, ça se plaque sur la personnalité, sur l’ego. On comprend vite derrière ce qu’il peut y avoir de résistance à lâcher, à se laisser aller, puis finalement à faire confiance, à ne pas vouloir se rassurer, se bordaient de toutes parts pour finalement pas se rencontrer. Éviter de se rencontrer un petit peu là dessus à travers les pratiques de posture, parce qu’il y en a un peu qui sont quand même intéressantes pour cet euro d’énergie de souffle. On fera également des pratiques de mudra et de yoga d’Hydra. Et puis, forcément, on fera rien. On va glander dans des pseudo méditations, rien. Une forme de vide de rien. Simplement essayer d’être là, ici et maintenant, dans l’instantanéité, dans une saveur. La notion de rastas, de goût, de saveur, de plaisir est aussi liée au cœur. Elle est liée aux trois, aux trois portes, aux trois passages, aux trois grands messes avec dans le cœur, la saveur rasta et l’esthétique aussi, qui est une énergie qui a su superbe. Si les portes s’ouvrent pas, si la lumière se fait pas un peu là, les saveurs peuvent avoir parfois un peu amère. Et Sékongo? Il faut essayer de retrouver un goût, quelque chose qui soit lumineux et léger. Les postures dans la roue d’énergie du coeur ont un rôle un peu particulier, autant, par exemple qu’il va s’agir des centres en dessous la base, le pubis, le ventre qui gère quand même beaucoup le mammifère. Chez nous, c’est 319 le qui gère les tendons et les muscles, les ligaments, les tuyaux, le ventre, la digestion. Ce n’est pas que ça, mais ça aussi. Les postures ont une incidence, une influence qui est assez mécanique et assez directe au niveau du cœur par rapport à la personnalité. Ce n’est pas toujours évident de saisir. Une posture peut faire, peut apporter, mais on s’en rendra compte dans l’évolution de la pratique. On va faire que dans la roue d’énergie du coeur, on va rechercher avant tout un état d’immobilité, de stabilité et de non souffle. Un espace dans lequel, finalement, on arrive à se mettre entre parenthèses. Je suis entre parenthèses, Messou, de gauche et de droite. Il bouge plus. J’ai plus trop besoin de respirer. Si j’ai pu trop respirer, je n’ai plus trop besoin de penser que j’ai peut être là l’opportunité d’un accès à une ouverture. Un état de conscience qui me rapprochera de ce qu’on disait tout à l’heure. L’intuition, voilà l’immobilité. La posture va être en relation avec l’équilibre au niveau des différents souffles et des différents canaux. Parce qu’en fait, le coeur est à la croisée des chemins dans lequel l’ensemble des énergies, les cailloux, les gouna et l’ensemble des canaux qui captent toutes les impressions sensorielles, qui captent tout ce qu’il y a dans la mémoire et tout ce qui arrive de l’extérieur, se réunissent, se malaxe, se mélangent plus ou moins bien dans la roue du cœur. Donc, les postures vont amener un état d’équilibre au niveau des trois canaux principaux que sont Ida, Ping, Galla et Shunga dans le cœur. C’est quelque chose qui fonctionne bien pour les postures. On va essayer de trouver des souffles qui nous amènent vers un état d’immobilité. Dans cet espace voit un état d’immobilité et un état de détente. Le cœur prise, certaines qualités l’immobilité, on vient le dire, mais aussi beaucoup la détente, la détente profonde. Le cœur est aussi l’accès au sommeil et aux rêves. On le verra quand on a passé dans certaines phases de deuil, organisera à partir du coeur qu’on s’endort. C’est à partir du coeur qu’on quitte le monde et à partir du coeur qu’on retrouve le monde intérieur, soit dans le sommeil, soit dans les rêves. C’est aussi un accès à ça et ça demande donc un abandon. Ça demande une détente, un lâcher prise, ça demande de l’immobilité et ça demande peu de souffle. Mais peu de souffle. Très peu de respiration et qui sourit. Quelque chose qui se produit naturellement, spontanément, pour donner sa place à sous. Je suis détendu et ça se fait. Ce souffle amène ce passage à l’intuition, à la conscience. C’est là si le souffle s’est posé, si Hamza s’est installé, que ça peut s’ouvrir et ça peut apaiser la roue. Puis, il y a quelque chose qui peut se faire dans l’équilibre de la gauche et de la droite. Il faut se rappeler que les canaux que nos souf de gauche et de droite, que la Lune et le Soleil en nous sont ceux qui nous maintiennent en rapport avec l’agitation du monde. Et c’est par eux. C’est par ces deux souffle que passe notre propre agitation. Quand j’arrive à équilibrer le flux de l’énergie entre la gauche et la droite, je vais forcément, à un moment donné, sentir un état d’immobilité, de recul et un état d’apaisement. C’est parce que le souffle est n’importe comment. Dans ma narine droite et de gauche, je simplifie que finalement, je prends tout ce qui arrive dans les événements pour argent comptant.
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