le lien est un besoin psychologique si fort
qui peut activé en nous de bas instinct.
un peu comme la faim qui pousse
a des comportements de prédation.
il y’a dans notre manière de relationer
beaucoup de technique instinctive de manipulation
généralement inconsciente qui se révèle
être des fragilités psychologique.
c’est maladresse pousse
par exemple a être posséssif
par instinct de protection.
c’est cette nuance qu’il faut savoir distingué
pour comprendre la différence
entre une relation saine
et une relation d’attachement
« La différence entre dépendance affective et envie de lien » de Séverine Murner :
Cette vidéo explore la distinction, parfois floue, entre la dépendance affective et le désir sain de lien et de partage dans une relation [00:10].
Points clés de la vidéo :
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Désir de lien sain : L’envie de partager sa vie, de souhaiter de la tendresse, de la présence ou du réconfort n’est pas un signe de dépendance [00:44]. C’est un désir de construire une relation (amicale ou amoureuse) tout en restant autonome [07:23]. On peut être triste sans l’autre, mais on ne s’effondre pas [07:53].
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Dépendance affective : Elle survient lorsque le bien-être d’une personne dépend totalement de l’autre [07:00]. Cela se manifeste par un sentiment de vide sans l’autre, une perte de ses propres repères et une peur de l’abandon qui prend le dessus [07:13], [07:18].
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Attentes vs Besoins : La vidéo différencie :
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Les attentes : Des projections implicites sur ce que l’autre devrait faire, qui mènent à la frustration (par exemple, « il/elle doit deviner que je ne vais pas bien ») [01:24], [01:39].
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Les plaintes : Une expression d’insatisfaction sans démarche constructive [02:10].
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L’expression saine des besoins : Identifier ses besoins authentiques et les communiquer de façon claire, respectueuse et assertive [03:14], [03:37].
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Le rôle de l’attachement évitant : Pour les personnes ayant un attachement évitant, toute demande de lien peut être perçue comme une menace de contrôle ou de fusion [08:07], [08:15]. Elles ont appris à se protéger de l’intimité et craignent d’être responsables des émotions de l’autre [08:46], [08:55].
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Solutions proposées :
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Exprimer ses besoins avec clarté et douceur (par exemple, « J’aimerais passer un moment proche avec toi ») [12:12], [12:19].
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Identifier si une demande est un danger réel ou une réactivation d’une ancienne peur de la proximité [12:30].
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Équilibrer le temps pour soi et le temps de qualité priorisé pour le lien [12:59], [13:08].
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En conclusion, la vidéo souligne que demander de la tendresse est une force [13:35]. L’intimité n’est pas une perte de soi, mais « le choix d’être soi avec l’autre » [13:58]. Aimer, ce n’est pas s’attacher ou s’enchaîner, mais « s’approcher avec plus de sécurité » [15:37].
L’envie de lien, telle qu’elle est définie dans le contexte de cette vidéo sur la psychologie relationnelle, est considérée comme un désir sain et constructif de partager la vie avec une autre personne.
Voici ce que cela implique, par opposition à la dépendance affective :
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Désir de partage et de construction : C’est le souhait de bâtir une belle relation (amoureuse, amicale, etc.), d’avoir des projets communs et de partager des moments de qualité, des rires, et de la tendresse.
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Autonomie préservée : L’envie de lien existe tout en maintenant son autonomie et son identité personnelle. On peut être triste sans l’autre, mais on ne s’effondre pas et notre bien-être ne dépend pas totalement de sa présence.
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Proximité et sécurité : Il s’agit de s’approcher de l’autre avec un sentiment de sécurité, et non d’être enchaîné ou de perdre son identité.
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Force de la vulnérabilité : Demander de la tendresse ou de la présence est perçu comme une énorme force, car cela témoigne d’une authenticité et de la volonté d’être soi en relation avec l’autre.
En bref, l’envie de lien est un élan vers l’autre, basé sur un choix et un partage d’autonomie, tandis que la dépendance affective est un besoin viscéral, basé sur la peur de l’abandon et la perte de soi.
